Parfois, les choses ne se passent pas comme prévu. Parfois, il est nécessaire de réfléchir à un changement de plan (après tout, c’est le nom de ce podcast !).
Mais comment gérer ça lorsqu’on est responsable ? Pas responsable de ce virage imprévu non, mais responsable du projet, de l’entreprise, de l’équipe que vous avez embarqué. Doit-on tout porter sur ses épaules ? Ou doit-on apprendre à partager sa tartine de merde ?

Dans la newsletter de cette semaine (inscrivez vous !), on abordait le sujet passionnant des deux facettes de notre cerveau : la partie pensante, rationnelle, et la partie intuitive, émotionnelle.
Lequel des deux cerveaux vous dirige ? Vous découvrirez dans la newsletter quelques éléments de réponse. Mais aujourd’hui, je voudrais m’attarder sur la relation entre ces deux frères ennemis, sous la  forme d’une lettre ouverte au cerveau pensant…

« Abandonner un avantage momentané pour assurer une victoire durable ultérieure »
Pour acquérir, il faut investir, alors, comment investir le minimum tout en gagnant le maximum ?

Le work-aholic a souvent tendance à sacrifier ses week-ends. Et l’angoissé va appréhender le lundi. Comment trouver le bon équilibre ?
Voici six petites leçons, tirées des témoignages des entrepreneurs les plus inspirants :

* Rattraper le sommeil en retard
* Passer du temps avec ceux que vous aimez
* Réfléchir à la meilleure stratégie possible pour la semaine qui vient
* Trouver du temps pour ce qui vous donne de l’énergie
* Se débarasser des corvées
* Passer du temps en tête-à-tête avec soi même.

Et vous, quels sont vos trucs pour à la fois profiter au mieux de votre weekend et vous préparer à la semaine qui vient ? Bonne écoute !

Comment se raisonner quand on sait qu’on a tort alors qu’on s’obstine à vouloir avoir le dernier mot ? L’égo est présent partout, voici quelques clés pour le dompter.

Il y a quelques temps, je vous avais conseillé chaleureusement de lire le bouquin de Mark Manson, « L’art subtil de s’en foutre ». Son nouvel ouvrage, « Tout est foutu », est  tout aussi réjouissant, et je ne résiste pas à l’idée de vous en lire les premières pages, qui donne le ton sur le sujet principal du livre : l’espoir, comment il dirige nos vies, comment son absence peut nous plomber, et comment le provoquer.

En programmation neuro-linguistique, on s’intéresse aux différents comportements de l’humain, ce qui amène à des études passionnantes sur ce qui fait que l’on évolue, que l’on réagit, que l’on stagne, et les leçons qu’on peut en tirer pour notre épanouissement individuel et collectif.
Et un des aspects les plus fascinants de l’humain est sa capacité à s’adapter à des situations imprévues. On se croit sclérosé, bloqué dans une situation. Et pourtant, il suffit d’un événement pour que tout change, pour le meilleur et pour le pire. En PNL, c’est ce qu’on appelle le Pattern Interrupt.

Avant de détruire, il faut construire.
Avant d’affaiblir, il faut consolider.
Avant d’abolir, il faut encourager
Avant de prendre, il faut donner
Avant d’attaquer, il faut laisser partir.

Dans sa vie, certaines choses arrivent sans vraie logique. Certaines décisions apparaissent curieuses, sans cohérence.
Prendre du recul sur son passé, se remémorer ces étapes, c’est l’occasion d’en tirer des leçons, de réfléchir à ce qu’on aurait fait différemment.
Mais ça peut être aussi l’occasion de connecter les points.

La route vers la réussite est longue, pour pouvoir tenir tout le long du chemin, allons chercher des petites victoires

Un article dans le Parisien d’aujourd’hui évoque le grand retour de la structure hiérarchique dans les Startups : fini les baby-foots, le Covid a entraîné un grand serrage de boulons.
« Il faut assumer le retour du leader, des rapports très descendants » d’après le directeur de Numa, un accélérateur Parisien.
Comme souvent avec les startups, on se retrouve trimbalés d’un extrême à l’autre. Et, comme souvent, il est nécessaire d’apprendre à tempérer un peu les passions, et surtout à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain.

Le monde de l’entreprise est à la fois une version condensée de la « vraie vie », et quelque chose de radicalement différent, qui obéit à ses propres règles. Une chose est certaine : celui qui n’a aucune stratégie n’a pas beaucoup de chance de s’y épanouir longtemps.
Je ne parle pas ici de fomenter des plans machiavéliques, ni même d’être spécialement ambitieux, mais juste d’agir de manière réfléchie. Car simplement vivre son truc sans chercher à diriger un minimum sa barque est la garantie que quelqu’un d’autre la dirige à votre place.
Et dans les stratégies les plus utiles, l’une d’entre elle consiste à constituer des alliances avec quelques interlocuteurs clé…
Et vous, quelles sont vos stratégies pour survivre en entreprise ?

« Le Général ne demande pas la victoire à ses soldats, mais à la situation ».
Encore un enseignement de Sun-Tzu qui semble évident mais qui est pourtant d’une importance primordiale : plus que la force, c’est la situation qui fait basculer une bataille vers la victoire. Amener son ennemi sur un terrain qui nous est favorable permettra de prendre un avantage décisif, la force militaire n’étant ensuite là que pour convertir cet avantage en victoire.
La bataille en cours entre la Chine, Tik-Tok, et les Etats-Unis, est un parfait terrain d’études pour qui cherche à trouver des exemples contemporains de la pensée de Sun-Tzu. Et vous, avez vous eu à utiliser de ruses récemment ? Racontez nous !

On vit dans un univers fait de bruit : entre la télé, la radio, les réseaux sociaux, les réunions, les visioconférences, chacun est sans cesse sollicité par un bruit incessant. Le silence apparait comme une anomalie, un moment de gêne. Et si on apprenait à la fermer un peu ?

Qui n’a pas entendu parler de la défaite du PSG en finale de la ligue des champions ? Au delà des moqueries sur Twitter, il y a un vrai effet psychologique chez les sportifs qu’on peut observer également dans la création d’un projet.

Dans l’épisode précédent, nous avons vu comment Hans Rosling était capable de démonter notre vision un peu trop caricaturale, car passionnée et orientée, du monde.
Dans cet épisode, nous allons découvrir comment avoir une vision plus factuelle, plus documentée, peut permettre d’appréhender bien plus finement notre environnement, et comment ça peut avoir des conséquences inattendues, même pour des équipes marketing en quête d’une niche de marché…

Le génial Hans Rosling a oeuvré toute sa vie pour que l’humain essaie de penser en se laissant moins guider par son ressenti, ses émotions, et beaucoup plus par des données factuelles.
Une de ses principales découvertes concerne la perception du monde : pour la plupart des occidentaux que nous sommes, le monde est découpé en deux : « nous », en gros les riches, et le tiers-monde, qui est plus ou moins constitué des petits enfants du Sahel qu’on voit mourir de faim à la télévision. Dis comme ça, on se dit bien que cette vision est un peu caricaturale. Et en effet, elle l’est. Mais avant tout, c’est un exemple parlant de notre nature à voir les choses en blanc ou en noir, sans aucune nuance.
L’instinct du fossé, c’est notre capacité à voir beaucoup de choses comme étant découpé en deux camps, bien distincts, avec un énorme fossé entre les deux, symbole d’une grande injustice sociale. La fracture sociale, la fracture numérique, tous ces clichés qui nous parlent parce qu’ils nous « parlent », ils cochent tout de suite une case dans notre cerveau.

Redonner vie à ce qui a vécu pour le faire servir à nos fins est d’une des stratégies les plus courantes. Les nouveaux films s’appuient sur d’anciennes licences, les voitures jouent la carte de la nostalgie. Mais Sun-Tzu nous permet de voir que cette stratégie est millénaire, et que mêmes les religions en ont tiré profit…
Et vous, sur quelle fibre nostalgique avez vous envie de jouer pour votre activité ?

C’est le reproche le plus classique fait au remote : à force de ne voir ses interlocuteurs que par le truchement d’un écran, on finit par perdre énormément de ce qui fait toute la saveur d’un contact direct avec un autre être humain.
C’est totalement vrai.
Ou plutôt, c’est un risque très important, qu’il ne faut surtout pas sous-estimer, même si vous êtes comme moi à tout faire pour favoriser le télétravail.
En tout cas, c’est un des points de vigilances les plus importants qu’il faut avoir en tête en permanence pour ne pas finir par se dégoûter complètement du télétravail.
Avez vous déjà ressenti ce manque de chaleur humaine au point que ça altère vos relations de travail ? Quelles sont vos astuces à vous pour y remédier ?

Faire progresser les autres, c’est se faire progresser soi-même. Devenir une éponge et apprendre de l’évolution que vous provoquez chez ceux qui vous entourent.