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C dans l'air
France Télévisions
371 episodes
19 hours ago
Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux. Retrouvez C dans l’air en replay sur france·tv : http://bit.ly/c-dans-l-air-podcast 🎙️ Et en podcast sur toutes les plateformes : https://audmns.com/EUDBMds Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux. Retrouvez C dans l’air en replay sur france·tv : http://bit.ly/c-dans-l-air-podcast 🎙️ Et en podcast sur toutes les plateformes : https://audmns.com/EUDBMds Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Episodes (20/371)
C dans l'air
Bruno Maestracci - Mégafeux, canicule...l'Espagne ravagée
C dans l'air l'invité du 15 août 2025 avec Bruno Maestracci, porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de FranceL’Espagne est en proie à de violents feux de forêts. Presque aucune région n’est épargnée et les pompiers, mobilisés par milliers, luttent jour et nuit contre les flammes. En une semaine, près de 60 000 hectares ont été détruits, dont plus de 12 000 dans la province d’Ourense, en Galice. La vague de chaleur extrême, prolongée par une sécheresse historique, alimente ces incendies, qui touchent également le Portugal, la Grèce ou encore l’Albanie. En réponse à l’appel à l’aide de Madrid, la France a envoyé deux Canadairs et un avion de coordination, tandis qu’un détachement de sapeurs-pompiers part aujourd’hui pour Athènes, en Grèce, pour une mission d’un mois.En France, l’été 2025 n’est pas terminé qu’il est déjà celui des records. Selon l’Observatoire européen Copernicus, 238 incendies ont été recensés dans l’Hexagone, dont 236 avant le 28 juillet. Début août, l’Aude a été frappée par l’un des incendies les plus dévastateurs depuis 1949 sur le pourtour méditerranéen français : plus de 17 000 hectares ravagés en seulement deux jours. Selon le parquet de Montpellier, l’incendie « pourrait avoir une cause criminelle résultant d’un acte volontaire ». Dans 90 % des cas, les feux sont liés à une action humaine : brûlage de végétaux, étincelles d’outils agricoles, mégots jetés par la fenêtre, barbecues, pétards…Face à ces catastrophes, les moyens paraissent parfois limités : douze Canadair CL-415 âgés en moyenne de trente ans, quelques avions Dash et hélicoptères pour les largages d’eau. Alors que Météo France a placé vingt-trois départements en risque « élevé » d’incendie, les sapeurs-pompiers se préparent à affronter des températures proches de 40 °C dans le Sud ce week-end. Entre la chaleur, les vents et la sécheresse qui compliquent le travail des pompiers à travers l’Europe, la question se pose : comment mieux protéger les populations et les forêts ? Comment renforcer la lutte contre les incendies à l’échelle européenne ? Et comment prévenir ces épisodes de sécheresse qui multiplient les risques d’incendie ?Bruno Maestracci, contrôleur général des sapeurs-pompiers, fera le point sur les incendies qui ravagent l’Espagne, la Grèce, le Portugal et l’ensemble du Sud de l’Europe, ainsi que sur les 23 départements français désormais en risque « élevé » d’incendie dans les jours à venir. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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18 hours ago
12 minutes 7 seconds

C dans l'air
Trump/Poutine : le monde retient son souffle - Vos questions sms -
C dans l'air du 15 août 2025 - Trump/Poutine : le monde retient son souffleLES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV - Spécialiste des questions internationales- Anne Toulouse - Journaliste franco-américaine- Elena VOLOCHINE - Grand reporter - France 24 - Ancienne correspondante en Russie- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis - Maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 day ago
10 minutes 6 seconds

C dans l'air
Trump/Poutine : le monde retient son souffle - L'intégrale -
C dans l'air du 15 août 2025 - Trump/Poutine : le monde retient son souffleL’"Amérique russe" au centre du monde diplomatique. Donald Trump et Vladimir Poutine ont rendez-vous aujourd'hui à Anchorage, en Alaska, état américain et ancienne possession de l'empire des tsars de Russie. Le sommet historique entre les deux chefs d'Etat pourrait sceller le sort de la guerre en Ukraine. La rencontre est donc extrêmement attendue.C'est la première fois depuis 2019 que les deux hommes se retrouvent. Autour de l'immense base aérienne d'Elmendorf, où vont se tenir les discussions, l'agitation médiatique, très inhabituelle, grandit. La venue du président russe a même attiré plusieurs dizaines de manifestants brandissant des pancartes l'accusant d'être un criminel de guerre.Aucun observateur ne sait vraiment à quoi s'attendre. Une conférence de presse commune est prévue à l'issue de la discussion. Donald Trump a pour sa part affirmé hier qu'il saurait dès les premières minutes si l'entrevue serait une réussite ou un échec. Il a estime à 25% la probabilité d'une issue stérile. Vladimir Poutine, menacé la veille par son homologue de "conséquences très graves" en cas de poursuite du conflit, a cherché à arrondir les angles :"Il s'agit de créer les conditions d'une paix à long terme, tant entre nos pays qu'en Europe et dans le monde entier", a-t-il affirmé.La table des discussions comptera un absent de taille : le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Donald Trump a répété que son objectif était de l’impliquer, si possible "très rapidement ", dans de futurs pourparlers de paix. "Cette rencontre va ouvrir la voie à une autre", incluant le président ukrainien, a-il assuré hier, en avançant l'éventualité d'un futur sommet tripartite.Pour l'heure, la grande interrogation concerne l'échange de territoires évoqué par Donald Trump et incompris par les observateurs.Alors que la rencontre aura lieu dans quelques heures, la relation entre les deux hommes pose question. Donald Trump s'est toujours montré étonnamment bienveillant envers le maître du Kremlin, et ce en dépit de l'inimitié historique entre les deux pays. Le milliardaire nourrit depuis près de vingt ans une fascination ostensible pour son homologue russe. Son empire immobilier a par ailleurs largement bénéficié de capitaux privés russes.De plus, les premiers pas de Trump en URSS, à la fin des années 1980, sont au cœur de rumeurs tenaces. Le magnat de l'immobilier, qui avait l'ambition de bâtir une Trump Tower à Moscou, aurait pu être approché par les services russes. Hasard du calendrier : un mois après son retour d'URSS, il avait publié des tribunes contre l'Otan dans des journaux américains. Sa position n'a jamais changé depuis. L'histoire reste encore aujourd'hui très floue et mal documentée. Donald Trump a, pour sa part, maintes fois démenti ces allégations.Le chef d'Etat américain, qui manifeste un goût prononcé pour les dirigeants à poigne, a lui-même une manière brutale de gérer la présidence de son pays. Dernier exemple en date, la façon dont il dit vouloir "nettoyer" la capitale fédérale Washington DC, qu'il affirme être "envahie par des gangs violents". Donald Trump y a décrété l'état d’urgence et fait déployer la garde nationale, faisant référence à une criminalité galopante... Alors que la ville connaît une baisse sensible de celle-ci, selon les statistiques officielles.Ses attaques contre les juges fédéraux, bien aidées par la Cour suprême, choquent également beaucoup d'observateurs. Pour compléter ce tableau, Donald Trump se dit favorable à "une action en justice majeure" contre le président de la la Réserve fédérale Jerome Powell. Il traite d’"abruti" le chef de l’institution monétaire et menace de le limoger, jugeant les taux d’intérêt fixés trop élevés. Le président de la Fed, incriminé, se bat pour imposer l'indépendance de son poste et tient bon pour l'instant.Quelle peut être l'issue du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine ?Le président américain a-t-il été manipulé par les services russes ?Donald Trump est-il une menace pour l'état de droit dans son propre pays ?LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV - Spécialiste des questions internationales- Anne Toulouse - Journaliste franco-américaine- Elena VOLOCHINE - Grand reporter - France 24 - Ancienne correspondante en Russie- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis - Maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 day ago
1 hour 8 minutes 18 seconds

C dans l'air
Ludovic Dupin - Méduses, canicule...alerte sur les centrales nucléaires
C dans l'air l'invité du 14 août 2025 avec Ludovic Dupin, directeur de l'information de la Société française d'énergie nucléaire (Sfen)Gravelines, la plus grande centrale nucléaire d’Europe de l’Ouest, a été stoppée par un phénomène naturel inattendu. Dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 août, quatre réacteurs se sont automatiquement mis à l’arrêt après la découverte d’un banc de méduses dans les filtres des stations de pompage qui aspirent l’eau de mer pour le refroidissement. EDF assure qu’aucun impact n’a été constaté sur la sûreté des installations, la sécurité du personnel ou l’environnement. La centrale reprend progressivement son activité.En pleine canicule, plusieurs centrales doivent limiter leur production pour respecter la réglementation sur les rejets thermiques et faire face aux fortes chaleurs. Au Bugey, sur le Rhône, et à Golfech, sur la Garonne, où l’eau frôle les 28 °C, la production est réduite ou suspendue. EDF a prolongé l’arrêt d’un réacteur du Bugey alors que les températures approchaient les 40 °C dans le Sud-Est. Ces épisodes illustrent la vulnérabilité des centrales françaises face au réchauffement climatique, même si certaines installations situées dans des régions très chaudes, comme aux Émirats arabes unis ou à Phoenix, fonctionnent sans entrave.La consommation d’électricité baisse en été, mais le recours accru à la climatisation alourdit la demande et soulève des critiques sur son impact environnemental. En 2024, 67 % de l’électricité française provenait du nucléaire, contre 14 % pour l’hydroélectricité, 9 % pour l’éolien et 4 % pour le solaire, selon RTE. La filière reste l’objet de critiques, liées aux risques d’accident et à la gestion des déchets radioactifs. Selon un rapport de la Cour des comptes, 280 000 m³ de déchets faiblement radioactifs, qui le resteront plus de 100 000 ans, ne disposent toujours pas de solution de stockage en France. À cela s’ajoutent des problèmes d’exploitation : l’EPR de Flamanville est à l’arrêt depuis mi-juin 2025 en raison d’un défaut d’étanchéité sur une soupape.Invasion de méduses, canicule, eau trop chaude : jusqu’où le réchauffement climatique peut-il menacer les centrales françaises ?Ludovic Dupin, directeur de l’information de la Sfen, expliquera comment un banc de méduses a paralysé plusieurs réacteurs à Gravelines et pourquoi la canicule freine ou arrête plusieurs centrales chaque été. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 day ago
11 minutes 29 seconds

C dans l'air
Trump/Poutine : tête-à-tête en Alaska - Vos questions sms -
C dans l'air du 14 août 2025 - Trump/Poutine : tête-à-tête en AlaskaLES EXPERTS :- Alain PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste - Spécialiste des enjeux internationaux- Oxana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine- Annie DAUBENTON - Journaliste-essayiste - Ancienne correspondante à Kiev et à Moscou 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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2 days ago
8 minutes 3 seconds

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Trump/Poutine : tête-à-tête en Alaska - L'intégrale -
C dans l'air du 14 août 2025 - Trump/Poutine : tête-à-tête en AlaskaLes manœuvres diplomatiques s'accélèrent avant la rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine prévue demain en Alaska. Donald Trump a mis hier un véritable coup de pression sur le maître du Kremlin en menaçant la Russie de "conséquences très graves" si elle ne mettait pas rapidement fin au conflit. La sortie du locataire de la Maison-Blanche a satisfait les Européens et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.Ces derniers jours leur ont offert des motifs d'espoir. Ils se montrent très soudés. Une visioconférence a d'ailleurs réuni hier Trump, Zelensky et les Européens pour s'entretenir des moyens d’exercer une pression sur la Russie. A l'issue de la discussion, le président américain a évoqué un "très bon appel". Même son de cloche côté européen. Donald Trump a affirmé qu'un cessez le feu était nécessaire et qu'aucun échange de territoire n'aurait lieu sans l'approbation des Ukrainiens. Des garanties de sécurité auraient même été envisagées pour la suite. Malgré ces promesses, l'imprévisibilité du milliardaire américain inquiète toujours les Européens et les invite à la prudence. Ces derniers montrent pour leur part chaque jour leur indéfectible soutien à Kiev. Volodymyr Zelensky était ainsi invité à Berlin par Friedrich Merz hier et il est aujourd'hui reçu par Keir Starmer à Londres.Loin des tractations diplomatiques, sur le front, l'armée russe effectue ces derniers jours une percée d'une ampleur impressionnante. Les troupes de Moscou ont revendiqué plus de 110 km² supplémentaires au 12 août par rapport à la veille. Ces dernières semaines, il leur fallait en moyenne six jours pour une telle progression. Deux importantes villes ukrainiennes se retrouvent ainsi plus que jamais sous la menace de l'ennemi, dont Pokrovsk, l'un des verrous du Donbass. Moscou montre les muscles et cherche à pousser son avantage, au cas où le front devait se figer demain. Cette évolution de la ligne de front intervient au pire moment pour Kiev, qui essaie de rétorquer. L'Ukraine a ainsi tiré des dizaines de drones sur la Russie cette nuit. L'attaque a fait trois blessés et provoqué des incendies dans deux régions du sud du pays, notamment dans une raffinerie de pétrole de Volgograd.Si le territoire russe a été plusieurs fois pris pour cible par Kiev ces derniers mois, c'est bien l'économie du pays qui est fragilisée. Le Kremlin explique que tout va bien mais le Fonds monétaire international ne fait pas la même analyse. L'institution financière a en effet réduit en juillet la prévision de croissance du pays, passée de 1,5 % à 0,9 % pour 2025. Des chiffres bien loin de ceux du début du conflit (4 %, atteints en 2023 et 2024) quand l’Etat avait mis toutes ses ressources financières au service de l'industrie de guerre.Maxim Rechetnikov, le ministre de l’économie russe, a lui-même dû se résoudre à reconnaitre en juin dernier que son pays était "au bord de la récession". C'est que la Russie, dont la vente de pétrole représente la principale source de revenus, est touchée de plein fouet par la baisse des prix de l'or noir. Le baril de Brent se négociait hier à environ 65 dollars sur les marchés alors que les cours flirtaient avec les 80 dollars en début d’année. Dans cette situation, Moscou est plus que jamais dépendant de son principal acheteur : Pékin. C'est la Chine qui maintient la Russie à flot, une situation délicate pour Vladimir Poutine.Donald Trump s'est-il enfin rangé du côté européen à la veille de sa rencontre avec Vladimir Poutine ?La Russie est-elle en train de réaliser une percée décisive ?L'effondrement de l'économie russe, maintes fois professé, est-il en train de se produire ?LES EXPERTS :- Alain PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste - Spécialiste des enjeux internationaux- Oxana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine- Annie DAUBENTON - Journaliste-essayiste - Ancienne correspondante à Kiev et à Moscou 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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2 days ago
1 hour 9 minutes 6 seconds

C dans l'air
Pascale Hebel - Rappel de fromages: peut-on encore manger sans danger?
C dans l'air l'invitée du 13 août 2025 avec Pascale Hebel, économiste et directrice associée de C-WaysEmission présentée par Salhia Brakhlia. .Au moins 21 cas de listériose, dont deux mortels, ont été signalés ces dernières semaines en France. Les autorités sanitaires évoquent un « lien possible » avec plusieurs fromages au lait pasteurisé produits par la fromagerie Chavegrand, basée dans la Creuse, et vendus dans de nombreuses enseignes comme Leclerc, Auchan, Carrefour, Lidl, Système U, Intermarché, Grand Frais, Cora ou Aldi. Les produits rappelés incluent notamment des camemberts, fromages de chèvre, gorgonzolas et bries. Infection grave, la listériose peut avoir une incubation allant jusqu’à huit semaines et provoquer maux de tête, fièvre ou courbatures. Les autorités appellent les consommateurs à vérifier leurs achats et à rapporter en magasin les produits concernés.Foodwatch dénonce « un scandale sanitaire évitable ». L’association de défense des consommateurs affirme avoir repéré, dès le mois de juin, des produits issus de la même fromagerie et présentant la même suspicion de contamination à la listeria. « L’entreprise aurait dû prendre les mesures d’hygiène nécessaires et s’assurer qu’elle ne commercialisait plus de produits dangereux », déclare l’organisation dans un communiqué, estimant que certains rappels sont intervenus trop tard.En France, le dispositif de retrait et de rappel, instauré après la crise de la « vache folle » en 1996, impose de retirer immédiatement des rayons les lots concernés dès l’alerte. Plusieurs affaires ont marqué les dernières années, du lait infantile Lactalis contaminé aux pizzas Buitoni, en passant par les lasagnes à la viande de cheval Findus. En 2024, le nombre d'aliments présentant des risques de contamination s'élevait à 2 087 selon Rappel Conso, soit 5 alertes par jour. Comment sont effectués les contrôles sanitaires ? Comment les produits sont-ils tracés puis retirés du marché ?Pascale Hebel, économiste et directrice associée de C-Ways, reviendra sur les lots de fromages rappelés en France et expliquera comment s’organisent les contrôles sanitaires. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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2 days ago
12 minutes 53 seconds

C dans l'air
Budget: quand la canicule s'en mêle - Vos questions sms -
C dans l'air du 13 août 2025 - Budget: quand la canicule s'en mêleEmission présentée par Salhia Brakhlia.LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l’Institut de Haute Finance - Auteur de « L’Horizon des possibles »- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions – « Les Echos »- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - « La Tribune Dimanche »- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - « Le Nouvel Obs » 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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3 days ago
6 minutes 16 seconds

C dans l'air
Budget: quand la canicule s'en mêle - L'intégrale -
C dans l'air du 13 août 2025 - Budget: quand la canicule s'en mêleEmission présentée par Salhia Brakhlia. Déjà en difficulté, l'économie française est mise à mal par la canicule, qui coûte cher à l'Etat et aux Français. Soumis à de très fortes chaleurs, les employés du bâtiment ou agricoles travaillent moins et la productivité diminue. Alors que le système de climatisation de nombreux trains risquent de tomber en panne sous l'effet des températures élevées, la SNCF est contrainte d'en supprimer par dizaines. Quand aux centrales nucléaires, certaines se retrouvent forcées de mettre des réacteurs à l'arrêt car les rivières étant trop chaudes, l'eau ne peut être prélevée normalement pour les refroidir.En matière budgétaire, l'Etat commence à être à bout de souffle. Le gouvernement de François Bayrou s'apprête ainsi à prendre des mesures drastiques qui font déjà grincer des dents. Car ce sont en effet plus de 43 milliards d'euros qu'il faudra mobiliser pour boucler le budget de l'année 2026.Suppression de l’abattement de 10% sur les impôts des retraités, suppression de jours feriés, économies sur l'assurance chômage ou encore sur le système hospitalier... Le Premier ministre a multiplié les ballons d'essai. Tous ces arbitrages auront lieu en septembre mais on peut d'ores et déjà s'attendre à un serrage de vis difficile à accepter.Parmi les différentes mesures annoncées par François Bayrou, certaines cristallisent les crispations. C'est notamment le cas de la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre avait cité "comme exemple" le "lundi de Pâques" et le "8-Mai". Une mesure qui doit permettre d'économiser "4,2 milliards" d'euros, selon Matignon.Au sein des entreprises, les avis sont unanimes. Une équipe de C dans l'air a pu le vérifier en se rendant dans une usine qui produit des panneaux de bois. Sur place, il est hors de questions pour les ouvriers de se priver de deux jours de congé. La cadence élevée de la production et l'usure à la tâche rendent nécessaires ces temps d'arrêt où les travailleurs peuvent souffler. C'est selon eux une respiration indispensable pour bien faire leur travail. Auprès d'employés de bureau, l'opinion est la même, comme, d'ailleurs, dans le reste de la population. Selon un récent sondage Elabe pour BFMTV, 75% des Français se disent opposés à cette suppression de deux jours fériés. Plus généralement, 72 % des Français trouvent que le Premier ministre ne "répartit pas équitablement les efforts demandés", selon un sondage de l’Ifop publié en juillet pour LCI.Les Français se plaignent également d'une baisse de la qualité des services publics. C dans l'air a suivi un postier qui effectue sa tournée à l'ancienne. Il regrette de voir son entreprise tenter de faire des économies à tout prix. Il dénonce les services à la personne, payants, mis en place par La Poste, comme le fait de passer un peu de temps avec les personnes âgées et isolées. Ce moment simple était autrefois naturel et gratuit. Lui met un point d'honneur à essayer de passer du temps avec les gens qu'il suit. La disparition de ce lien du quotidien fait selon lui partie des éléments qui nourrissent une colère croissante au sein de la population.Entre le vote du budget et une mobilisation sociale qui s'organise pour septembre, la rentrée politique s'annonce compliquée.Comment trouver les 43 milliards d'euros manquants pour finaliser le bugdet 2026 ? L'effort demandé aux Français est-il équitablement réparti ? Les services publics français sont-ils menacés par les futures restrictions budgétaires ?LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l’Institut de Haute Finance - Auteur de « L’Horizon des possibles »- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions – « Les Echos »- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - « La Tribune Dimanche »- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - « Le Nouvel Obs » 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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3 days ago
1 hour 8 minutes 2 seconds

C dans l'air
François Salachas - Hôpital, médicaments: la santé dans le viseur du gouvernement
C dans l'air l'invité du 12 août 2025 avec François Salachas, neurologue à la Pitié-Salpêtrière et membre du collectif Inter-HôpitauxEmission présentée par Salhia Brakhlia 2026 sera « l’année des économies » : en présentant les grandes lignes du budget, le Premier ministre François Bayrou a prévenu qu’« une plus grande efficacité sera demandée à l’hôpital ». Le gouvernement vise 5,5 milliards d’euros d’économies sur la santé, sur près de 44 milliards au total. Les hôpitaux seront en première ligne, avec des objectifs affichés d’optimisation des achats, de réduction des nuitées hospitalières et de développement de la médecine ambulatoire.L’AP-HP, qui regroupe 38 hôpitaux et 100 000 professionnels, prépare une mobilisation contre ce plan. Les syndicats dénoncent le doublement du plafond annuel des franchises médicales, de 50 à 100 euros, et la hausse des montants unitaires : de un à deux euros par boîte de médicaments, de deux à quatre euros par consultation. La ministre de la Santé, Catherine Vautrin, souhaite que ces franchises soient réglées « directement au comptoir, afin de faire prendre conscience que la santé a un coût et que rien n’est gratuit ».Autre mesure contestée : la fin du remboursement intégral de certains traitements pour les affections de longue durée, avec la sortie du dispositif pour les patients jugés moins prioritaires. Le gouvernement veut aussi encadrer davantage les arrêts maladie. Faut-il davantage responsabiliser les patients ? L’augmentation des dépenses sur les médicaments et les consultations va-t-elle fragiliser la santé des Français ? Comment trouver l’équilibre entre économies et qualité des soins ?François Salachas, neurologue à la Pitié-Salpêtrière et membre du collectif Inter-Hôpitaux, reviendra sur les mesures d’économies qui visent directement les hôpitaux. Il réagira aussi au doublement annoncé des franchises médicales, qui ferait passer le coût des médicaments et des consultations du simple au double pour les patients en 2026. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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3 days ago
12 minutes 58 seconds

C dans l'air
40 degrés et plus : ça s’arrête quand ? - Vos questions sms -
C dans l'air du 12 août 2025 - 40 degrés et plus : ça s’arrête quand ?Emission présentée par Salhia Brakhlia LES EXPERTS :- NICOLAS BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - « Le Parisien - Aujourd’hui en France »- FRANÇOISE VIMEUX - Climatologue - Directrice de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement- Charlène DESCOLLONGES - Ingénieure et hydrologue - Co-présidente - Association « Pour une hydrologie régénérative »- MARC LOMAZZI - Journaliste spécialiste des questions environnementales - Auteur de « France 2050. Le scénario noir du climat » 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 days ago
8 minutes 31 seconds

C dans l'air
40 degrés et plus : ça s’arrête quand ? - L'intégrale -
C dans l'air du 12 août 2025 - 40 degrés et plus : ça s’arrête quand ?Emission présentée par Salhia Brakhlia La France suffoque. Une grande partie du pays est soumise à une intense vague de chaleur, exceptionnelle même pour un mois d'août. Météo-France appelle à la plus grande vigilance. Quatre départements du centre-est sont passés en rouge à la mi-journée : l'Ardèche, la Drôme, l'Isère et le Rhône. Dans le Sud-Ouest, ce niveau de vigilance concerne déjà 10 départements. Hier, des pics historiques ont été enregistrés à Bordeaux (41,6°C), Bergerac (42,1°C), Saint-Emilion (41,5°C) ou encore Angoulême (42,1°C). Météo-France précise même que les 40°C pourraient être atteints sur le littoral aquitain par endroits. Pas moins de 64 départements restent par ailleurs en orange.Cette vague de chaleur inquiète car elle pourrait durer jusqu'à mercredi prochain au moins. Si un fléchissement pourrait se produire à l'occasion d'un épisode orageux, cela sera l'une des plus longues vagues de chaleur que le pays aura connues.Face à cet événement, les autorités multiplient les mesures préventives. Une équipe de C dans l'air s'est rendue en reportage à Bordeaux. Sur place, la population commence à s'habituer à ces épisodes extrêmes de plus en plus fréquents. Un soin particulier est apporté aux personnes fragiles, notamment aux personnes âgées. Les vacanciers essaient pour leur part de trouver de l'air et de la fraicheur aux abords des lacs, des étendues d'eau et du littoral. Les travailleurs en extérieur ont, eux, des horaires décalées et des pauses plus nombreuses.Au-delà des fortes chaleurs, le manque d'eau se fait par endroit cruellement sentir. De toute la France hexagonale, ce sont les Pyrénées Orientales qui subissent le plus durement ce fléau de la sécheresse. Le 10 juillet, un comité regroupant les services de l’État, les collectivités et les experts locaux a tiré la sonnette d’alarme. La canicule de la fin du mois de juin combinée à un déficit pluviométrique persistant a eu pour résultat un "changement brutal des conditions hydrologiques", selon les termes de la préfecture. Les débits des cours d’eau chutent et plusieurs nappes phréatiques atteignent des niveaux historiquement bas. Dans certains villages, il n'y a parfois littéralement plus d'eau au robinet.Les habitants s'adaptent et prennent leurs précautions. Certains ont même installé des réservoirs afin de collecter l'eau de pluie. Dans ces zones, les restrictions ont été renforcées et les contrôles accrus. De nombreuses pratiques sont désormais interdites, comme le remplissage et la remise à niveau des piscines privées et collectives.Qu'il s'agisse des températures ou des niveaux des nappes phréatiques, la crise environnementale se fait chaque année un peu plus sentir. Dans ce contexte, les initiatives politiques se multiplient pourtant pour détricoter des objectifs environnementaux contraignants adoptés ces dernières années en matière d’énergie, de transports, de logement et d’agriculture. Qu'il soit question des zones à faibles émissions, de l'autoroute A69, de la loi zéro artificialisation nette ou encore des normes agricoles, une quantité inédite de votes et de décisions politiques portées par la droite et l'extrême droite mettent à mal l’ambition écologique du pays. Ces formations, au discours teinté de trumpisme, dénoncent une "écologie punitive". Le Haut conseil pour le climat s'alarme, lui, de la dérive de notre politique environnementale. "Le cadre national d'action climatique a pris un retard important", notent ainsi les auteurs du rapport annuel de l'institution, publié le mois dernier. "Le monde politique non seulement procrastine, mais il enchaîne même les reculs", déplorait le Réseau Action Climat, le 24 juin dernier. L’ONG liste une quarantaine de reculs environnementaux depuis six mois. La gauche partage ce constat alarmant.Combien de temps cette vague de chaleur va-t-elle impacter le pays ?Comment s'adapter dans la durée à des sécheresses devenues chroniques ?Faut-il s'inquiéter des reculs de notre politique climatique ?LES EXPERTS :- NICOLAS BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - « Le Parisien - Aujourd’hui en France »- FRANÇOISE VIMEUX - Climatologue - Directrice de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement- Charlène DESCOLLONGES - Ingénieure et hydrologue - Co-présidente - Association « Pour une hydrologie régénérative »- MARC LOMAZZI - Journaliste spécialiste des questions environnementales - Auteur de « France 2050. Le scénario noir du climat » 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Nicolas Bouzou - Jours fériés: les français sont-ils prêts à se sacrifier?
C dans l'air l'invité du 11 août 2025 avec Nicolas Bouzou, économiste, directeur du cabinet d’analyses AsterèsEmission présentée par Salhia Brakhlia Dans des lettres adressées vendredi aux partenaires sociaux, le Premier ministre a précisé les contours des économies visées pour 2026, avec deux chantiers : la suppression de deux jours fériés et une nouvelle réforme de l’assurance chômage. Pour les jours fériés, il s’agirait du lundi de Pâques et du 8 mai, comme annoncé le 15 juillet lors d’une conférence de presse sur le budget 2026. Les salariés travailleraient ces deux jours sans hausse de rémunération, afin de rapporter 4,2 milliards d’euros supplémentaires à l’État.Sur sa chaîne YouTube, il y a quelques jours, François Bayrou estimait que la suppression de deux jours fériés constituait « un effort acceptable » pour aider le pays à surmonter ses difficultés. Cette mesure intervient alors que, selon Eurostat, les Français travaillent déjà plus que la moyenne européenne. Les professionnels du tourisme redoutent une baisse de consommation et de fréquentation, avec un impact direct sur leur chiffre d’affaires.En parallèle, l’exécutif veut durcir dès 2026 les règles d’indemnisation du chômage pour réaliser "2 à 2,5 milliards d’euros" d’économies par an en moyenne entre 2026 et 2029, puis "a minima 4 milliards d’euros" à partir de 2030. Deux paramètres seraient modifiés : la durée minimale de travail requise et la période de référence d’affiliation, moins de six mois après l’entrée en vigueur de la dernière convention d’assurance chômage.Dans un communiqué commun publié le 9 août, la CGT, FO, CFDT, CFE-CGC et CFTC dénoncent un « saccage inadmissible » et « une attaque en règle des droits des travailleurs et travailleuses » en plein été. Les syndicats se retrouveront le 1er septembre pour préparer une mobilisation, tandis qu’à gauche comme au Rassemblement national, plusieurs voix menacent de censurer le gouvernement.Nicolas Bouzou, économiste et directeur du cabinet Asterès, fera le point sur la suppression de deux jours fériés et la réforme de l’assurance chômage envisagées par le gouvernement. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Sommet sur l’Ukraine : et si Trump réussissait ? - Vos questions sms -
C dans l'air du 11 août 2025 - Sommet sur l’Ukraine : et si Trump réussissait ?Emission présentée par Salhia BrakhliaLES EXPERTS :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique - Conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie – « Le Monde » - Ancienne correspondante à Moscou- Oksana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Sommet sur l’Ukraine : et si Trump réussissait ? - L'intégrale -
C dans l'air du 11 août 2025 - Sommet sur l’Ukraine : et si Trump réussissait ?Emission présentée par Salhia Brakhlia Une rencontre pour sceller l'issue de la guerre en Ukraine ? Trois ans et demi après le début de l’invasion russe, le président américain Donald Trump a annoncé, sur son réseau Truth Social, qu’il allait rencontrer en personne son homologue russe Vladimir Poutine, ce vendredi, en Alaska. Ce sommet fait grincer les dents des Ukrainiens car, pour l'heure, Volodymyr Zelensky n'a pas été convié aux discussions. D'autant que les déclarations de l'hôte de la Maison blanche sur de possibles "échanges de territoires" n'ont pas rassuré. Des déclarations qui laissent entrevoir que Donald Trump serait tenté de vouloir régler la guerre en Ukraine "comme un conflit entre magnats de l’immobilier", selon les mots du journal allemand Der Spiegel. Moscou convoite et revendique en effet la souveraineté sur la totalité de plusieurs oblasts, dont certains ne sont aujourd'hui qu'en partie sous le contrôle de ses armées, en échange de la paix. Selon le Wall Street Journal, les régions de Donetsk et de Lougansk, en plus de la Crimée, sont concernées.Inquiétudes chez les Ukrainiens donc, mais aussi chez les Européens. De nombreux dirigeants se sont appelés tout le week-end, souhaitant organiser une contre-attaque. Ils ont rappelé hier la nécessité de maintenir la pression sur le Kremlin. S'ils ont conservé un ton diplomatique et salué "le travail du président Trump pour arrêter le massacre en Ukraine", les dirigeants français, italien, allemand, polonais, britannique et finlandais, ainsi que la présidente de la Commission européenne se sont dit convaincus dans un communiqué commun que "seule une approche combinant une diplomatie active, un soutien à l'Ukraine et une pression sur la Fédération de Russie" pouvait réussir.Relégués au rang de simples observateurs, c'est sans eux qu'une nouvelle page de l'histoire va donc peut-être s'écrire vendredi entre deux présidents qui ne se sont pas rencontrés depuis 2019.Très loin de ces négociations, la guerre continue de faire rage sur le sol ukrainien. Une équipe de C dans l'air s'est rendue autour d'un point de stabilisation, situé très proche de la ligne de front. Les sodats blessés y sont évacués pour être ensuite répartis dans les centres de soins. Ils peuvent s'y reposer avant de repartir sur le front. Sur place, les combattants épuisés après trois années de guerre confient rester déterminés à ne rien lâcher. Ils continueront de se battre, car il est pour eux absolument hors de quetions de renoncer à des parties de territoire. Il leur est impossible d'envisager une telle issue pour leur pays.Mais auront-ils le choix s'ils se revrouvent abandonnés par Donald Trump au terme de ces néociations ? Ce dernier se rêve en effet en faiseur de paix. L'obtention du prix de Nobel de la Paix semble même devenue pour lui une véritable obsession. Elle est née d’une rancœur et d’une jalousie tenace vis-à-vis de Barack Obama, que Donald Trump jalouse et déteste. L'ancien président américain avait obtenu ce prix en 2009, neuf mois à peine après son arrivée à la Maison-Blanche. Trump n’a jamais digéré cette distinction. Il a récemment déclaré qu'il aurait déjà dû l’avoir quatre ou cinq fois. Il n'a pas ménagé sa peine en ce sens.N'est-ce pas à son initiative qu'après des années de conflit territorial, l'Azerbaizjan et l'Arménie, se sont engagées vendredi dernier à instaurer une paix permanente ? Mais pour l'heure, en dépit de ses efforts et de ses espoirs, ses écheccs restent patents. Le conflit en Ukraine, qu'il avait promis de régler en 24 heures ne semble pas sur le point de cesser et la bande de Gaza est toujours soumise à la très brutale invasion israélienne.LES EXPERTS :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique - Conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie – « Le Monde » - Ancienne correspondante à Moscou- Oksana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Gaza : qui peut arrêter Netanyahu ? - Vos questions sms -
C dans l'air du 9 août 2025 - Gaza : qui peut arrêter Netanyahu ?Emission présentée par Salhia BrakhliaLES EXPERTS :- George MALBRUNOT - Grand reporter, spécialiste du Moyen-Orient - Le Figaro- Frédérique SCHILLO - Historienne, spécialiste d’Israël- Laurence DEFRANOUX - Journaliste service international - Libération- Guillaume AUDA - Auteur, grand reporter, ancien correspondant à Jérusalem 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 week ago
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Laëtitia Caron - Canicule: où partir en vacances?
C dans l'air l'invitée du 9 août 2025 avec Laëtitia Caron, directrice générale de PAP-Particulier à Particulier.Emission présentée par Salhia Brakhlia Une nouvelle vague de chaleur étouffante a débuté aujourd’hui en France et va s'étendre la semaine prochaine. 28 départements sont placés en vigilance orange canicule ce samedi et 40 seront concernés dimanche. C’est pratiquement toute la moitié Sud du pays qui sera touchée et des températures jusqu'à 41° sont attendues dans certains départements.Ces fortes chaleurs influencent le choix des destinations estivales. Certaines régions habituellement moins prisées l’été ont désormais la cote ! Selon une étude de Particulier à Particulier, les destinations près de la mer restent privilégiées mais la montagne, loin de se limiter aux vacances d’hiver, séduit davantage avec une hausse des réservations de 12,8% en moyenne. Le Massif Central tire particulièrement son épingle du jeu, avec une augmentation de plus de 23 % des demandes.Cette année les Français sont aussi particulièrement attentifs à leur porte-monnaie. Le prix des locations influence donc le choix des vacanciers. Dans ce contexte économique et climatique compliqué, on constate l’essor de nouvelles formules, par exemple la montée en gamme des prestations des campings. La combinaison mobil-home et piscine, offrant confort lors des canicules tout en restant accessible, a le vent en poupe.Quel est l’impact du réchauffement climatique sur le choix des destinations estivales ? Comment les Français adaptent-ils leurs habitudes de vacances face aux fortes chaleurs ? Laetitia Caron, directrice générale de PAP-Particulier à Particulier, reviendra sur la façon dont la canicule redessine la carte des vacances. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Gaza : qui peut arrêter Netanyahu ? - L'intégrale -
C dans l'air du 9 août 2025 - Gaza : qui peut arrêter Netanyahu ?Emission présentée par Salhia Brakhlia En Israël, c'est la stupeur qui domine après l'annonce cette semaine par Benyamin Netanhayu de son intention de "prendre le contrôle" de la bande de Gaza. Ce plan, examiné par le cabinet de sécurité jeudi, vise notamment le quart de territoire qui n'est pas encore sous contrôle israélien, et notamment Gaza ville où vivent 1 million de Palestiniens. Le gouvernement se donne jusqu'à la date symbolique du 7 octobre pour accomplir son objectif. Depuis deux jours, les questions se multiplient : où iront les centaines de milliers de Gazaouis évacués ? Par qui seront-ils gérés ? Et qui administrera l'enclave une fois l'armée israélienne partie ? Pour de nombreux observateurs, le plan de Netanyahu relève davantage de l'idéologie que de la stratégie militaire, en témoigne cette lettre signée par 600 anciens responsables de la sécurité israéliens et adressée à Donald Trump pour lui demander de faire pression sur Israël et de mettre fin à la guerre à Gaza.En Europe, les lignes bougent aussi. Deuxième fournisseur d'armes d'Israël après les Etats-Unis, l'Allemagne a annoncé la suspension de toute exportation d’armes susceptibles d’être utilisées dans le conflit "jusqu’à nouvel ordre". Le ministre des affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, a condamné le plan israélien, estimant que cela "ne ferait qu’aggraver une situation déjà catastrophique". Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU doit aussi se tenir aujourd'hui.Aux États-Unis, celui qui avait pris l'habitude de soutenir bruyamment les décisions de Benyamin Netanyahu est resté étrangement silencieux cette semaine. Soutien tacite ? Toujours est-il qu'après des mois des mois à accorder son blanc sein au Premier ministre israélien, Donald Trump semble un peu plus embarrassé par son allié. Fin juillet, lors d'un voyage en Écosse, il a publiquement démenti Netanyahu qui avait insinué qu'il n'y avait pas de famine à Gaza : "D’après ce que l’on voit à la télévision, (…) ces enfants ont l’air très affamés", avait dit Trump, "ce n’est pas un trucage". Selon la chaîne américaine ABC, Donald Trump se serait même emporté au téléphone quand son allié lui aurait expliqué que ces images étaient manipulées par le Hamas.Côté arabe, le sujet palestinien continue d'embarrasser les monarchies du Golf ou encore l'Égypte, tous soutenus militairement par les États-Unis et certains commerçant encore avec Israël. Le 7 août, l’Égypte a signé un accord d’une valeur de 30 milliards d’euros avec l'État hébreu pour la livraison de gaz naturel israélien. Signe du malaise, en Égypte et en Jordanie, pays frontaliers de la bande de Gaza, les manifestations propalestiniennes, ne sont plus autorisées. Fin juillet, plusieurs pays arabes dont Arabie saoudite, le Qatar et l'Égypte ont publiquement appelé le Hamas à se désarmer, pour confier l'administration de Gaza à l'autorité palestinienne. Le Hamas a répondu en les accusant de lâcher le peuple palestinien.À quoi peut ressembler la mise en œuvre du plan de Netanyahu pour Gaza ? Où vont aller les centaines de milliers de Gazaouis évacués de l'enclave ? Pourquoi les relations entre Donald Trump et Benjamin Netanyahu se sont récemment dégradées ? Et comment expliquer la position des pays arabes avec le peuple palestinien ?LES EXPERTS :- George MALBRUNOT - Grand reporter, spécialiste du Moyen-Orient - Le Figaro- Frédérique SCHILLO - Historienne, spécialiste d’Israël- Laurence DEFRANOUX - Journaliste service international - Libération- Guillaume AUDA - Auteur, grand reporter, ancien correspondant à Jérusalem 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Agnès Levallois - Contrôle de Gaza: Israël choque le monde
C dans l'air l'invitée du 8 août avec Agnès Levallois, présidente de l’Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO) et auteure de Le Livre noir de Gaza (Seuil)Émission présentée par Salhia Brakhlia Dans la nuit du 7 au 8 août 2025, le cabinet de sécurité israélien a approuvé un plan militaire pour prendre le contrôle de Gaza. Défendu par Benyamin Netanyahu, ce plan s’articule autour de cinq objectifs : désarmer le Hamas, libérer les otages, démilitariser le territoire, instaurer un contrôle sécuritaire israélien et mettre en place une administration civile indépendante, ni affiliée au Hamas, ni à l’Autorité palestinienne. L’opération débuterait par la ville de Gaza, où près d’un million de Palestiniens tentent encore de survivre. Le Hamas avertit que cette "aventure criminelle" coûtera cher à l’armée israélienne et entraînera le "sacrifice" des otages.L’annonce de ce plan a déclenché des réactions internationales fortes. L’ONU a demandé à le stopper "immédiatement". Le Royaume-Uni, la Turquie et la Chine dénoncent une escalade dangereuse et appellent à la retenue. L’Allemagne, pour sa part, suspend ses exportations d’armes susceptibles d’être utilisées dans la bande de Gaza. En Israël, la contestation gagne les plus hauts niveaux de l’appareil d’État. Près de 600 anciens hauts responsables, ex-chefs du Mossad, diplomates, généraux, lancent l’alerte : "Cette guerre a cessé d’être juste et fait perdre à Israël son identité."Ce tournant militaire interroge sur les véritables intentions de Benyamin Netanyahu, alors que plusieurs pays européens, dont la France, première à s’être engagée, s’apprêtent à reconnaître officiellement l’État de Palestine.Que sait-on précisément de ce plan ? Et qui peut encore freiner Benyamin Netanyahu ?Agnès Levallois, présidente de l’Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, fera le point sur le projet de Benyamin Netanyahu, qui vise à prendre le contrôle de la ville de Gaza. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Loi Duplomb : camouflet pour les macronistes, la gauche se rebiffe - L'intégrale -
C dans l'air du 8 août 2025 - Loi Duplomb : camouflet pour les macronistes, la gauche se rebiffeÉmission présentée par Salhia Brakhlia Un camouflet pour le gouvernement. Le Conseil constitutionnel a retoqué jeudi l'article 2 de la loi Duplomb, sur la réintroduction partielle de l’acétamipride, un néonicotinoïde réclamé par certaines filières agricoles, mais potentiellement dangereux pour l'environnement et la santé. L'institution, qui s'est appuyée sur l'article 1 de la Charte de l'environnement, souligne que ces produits ont des "incidences sur la biodiversité (…), ainsi que des conséquences sur la qualité de l’eau et des sols et induisent des risques pour la santé humaine". À droite et à l'extrême droite, on se désole de cette décision : "En se comportant comme un législateur alors qu’il n’en détient pas la légitimité démocratique, le Conseil constitutionnel scie la branche sur laquelle il est assis", a déclaré la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen. À gauche, on se félicite de cette censure, mais on espère que la loi sera carrément retirée après la pétition qui a récolté 2 millions de signatures : "Le président Macron devrait permettre une deuxième délibération pour qu’il y ait enfin un examen en Hémicycle et une réponse à la grande mobilisation populaire de cet été contre l’ensemble de la loi", insiste Aurélie Trouvé, la présidente LFI de la commission des affaires économiques à l’Assemblée nationale. Quant au député Laurent Duplomb, il n'exclut pas un nouveau texte pour réintroduire le pesticide, en tenant compte des critères imposés par le Conseil constitutionnel.Cette petite victoire pour les défenseurs de l'environnement ne saurait cacher les nombreux reculs enregistrés ces derniers mois. Fin juin, le Réseau Action Climat a listé au moins 43 reculs sur les six derniers mois : suspension de MaPrimeRenov, soutien aux modes d’élevages industriels, coupe des aides sur les véhicules électriques et le vélo, reprise des travaux pour l’A69, la suppression des ZFE, ou encore des coupes budgétaires pour la transition écologique. Le camp présidentiel qui s'était engagé à faire de la transition écologique une de ses priorités a même participé à certains renoncements, à l'image des zones à faible émissions : "L’analyse des votes montre que, si ces reculs ont souvent été initiés par l’extrême droite ou la droite républicaine, le bloc central en a soutenu plusieurs ou a été trop divisé pour les contrer", analyse le Réseau Action Climat. Signe de ce relâchement, le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre a fortement ralenti l'année dernière, passant de 5,8 % en 2023 à 1,8 % en 2024.À Marseille, on pense les plaies après l'incendie, parti des Pennes-Mirabeau, qui a ravagé 750 hectares le 8 juillet. Un mois plus tard, les habitants du quartier de l'Estaque, où 90 maisons ont brûlé, se sont regroupés dans un collectif pour porter plainte contre X et réclamer des comptes à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Ils estiment que les pompiers sont intervenus trop tard, et que le préfet n'aurait pas dû recommander le confinement aux habitants touchés par les flammes. "Quand [le préfet] a fait sa déclaration en disant qu'il a bien fait de confiner les gens, je me dis que si j'étais resté dans ma maison, j'aurais cramé", témoigne un membre du collectif auprès de Franceinfo.Pourquoi le Conseil constitutionnel a-t-il censuré l'article 2 de la loi Duplomb ? Quel avenir pour ce texte controversé ? Comment expliquer les nombreux reculs sur l'environnement enregistrés cette année ? Et pourquoi des habitants de Marseille portent plainte après l'incendie des Pennes-Mirabeau ?LES EXPERTS :- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Bruno CAUTRÈS - Politologue - Chercheur au CNRS- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - Le Parisien - Aujourd’hui en France- Antoine OBERDOORF - Journaliste politique - L’Opinion 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux. Retrouvez C dans l’air en replay sur france·tv : http://bit.ly/c-dans-l-air-podcast 🎙️ Et en podcast sur toutes les plateformes : https://audmns.com/EUDBMds Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.