Lorsqu’une violation intime survient, l’espace de santé devrait être un refuge : un lieu où l’on trouve écoute, soins et dignité. Mais pour les femmes et personnes LBQ en Afrique, ces espaces deviennent parfois des lieux de peur, de jugement et de rejet.
Dans ce nouvel épisode, nous parlons de la prise en charge inclusive et respectueuse : comment construire des services de santé capables d’accueillir sans discriminer, de soigner sans condamner, et de redonner confiance à celles qui ont déjà trop souffert ?
Parce que la guérison ne commence pas seulement avec un traitement médical, mais aussi avec la certitude d’être reconnue comme pleinement humaine. 🌍✨
👉 Rejoins la conversation et engageons-nous pour des espaces de santé sûrs, justes et bienveillants pour toutes.
En terre africaine et particulièrement en République Démocratique du Congo, la justice doit être un droit universel, et non un privilège réservé à quelques-uns. Pourtant, pour les femmes et personnes LBQ, la quête de justice reste souvent un chemin semé d’exclusions, de préjugés et de silences imposés.
Dans cet épisode, nous explorons la question cruciale de l’inclusivité de la justice : comment construire des espaces judiciaires qui reconnaissent la dignité de chaque individu, protègent les victimes de violations intimes et garantissent que personne ne soit laissé·e de côté ?
Parce que la justice véritable est celle qui écoute toutes les voix, sans discrimination. 🌍💜
👉 Rejoins la discussion, et ensemble, imaginons une Afrique où l’égalité et la protection des droits humains sont une réalité pour toutes et tous.
Le silence est souvent imposé par la peur : peur d’être jugée, rejetée, ou réduite au silence par une société qui ne veut pas entendre. Dans ce nouvel épisode, nous abordons un sujet sensible et urgent : la peur de parler ou de dénoncer les violations intimes vécues au sein de la communauté LBQ.
À travers des témoignages et des réflexions, nous mettons en lumière les barrières qui enferment les victimes dans le silence, mais aussi les chemins de libération, de solidarité et de justice. Parce qu’oser prendre la parole, c’est déjà reprendre du pouvoir sur son histoire.
👉 Écoute, partage et fais partie de cette conversation essentielle. Ensemble, brisons les tabous et ouvrons la voie à un monde où chaque voix compte et chaque douleur est entendue.
On parle souvent de violences conjugales dans les couples hétérosexuels, mais trop rarement des violences qui se produisent entre personnes queer. Par peur de ne pas être crue·e·s, par honte, par crainte de renforcer les stigmatisations... on se tait. Et ce silence, parfois, tue.
Il est temps de briser ce silence.
Dans cet épisode, nous allons écouter des témoignages, analyser les mécanismes de pouvoir, d’emprise et de dépendance affective qui peuvent exister dans TOUS les couples — y compris les nôtres. Nous parlerons aussi de l’importance de la reconnaissance institutionnelle, du manque de structures adaptées, et surtout… des chemins possibles vers la reconstruction.
Parce que dans nos communautés, l’amour ne devrait jamais faire mal.
Merci d’être là. Prenez une grande respiration. On commence.
Dans ce nouveau numéro nous vous présentons l'Observatoire mise en place par Oasis RD Congo. Celui-ci a pour objectif de suivre et documenter les cas de violence basée sur l’orientation sexuelle, identité et/ou expression du genre amplifient par les médias pourfendeurs et la société en générale.
Dans ce numéro, nous vous présentons l'ASBL Oasis RD Congo, sa vision, sa mission, ses objectifs, et son système de fonctionnement; tout en soulignant que Oasis RD Congo est une organisation qui, par sa spécificité, ses actions sont orientées essentiellement vers la promotion des droits de personnes lesbiennes, bisexuelles, transgenres et qeer comme faisant partie de la gente féminine perçut à tous les égards comme matrice de la société.
En République Démocratique du Congo, aucune loi ne pénalise l’homosexualité mais les harcèlements, les agressions et la haine contre la communauté LGBTQIA + congolaise sont omniprésents. Ainsi donc, une grande partie des personnes homosexuelles vivent dans la clandestinité et la plupart des personnes qui subissent des violences orienté sur l’identité de genre ne porte pas plainte.