Bonjour, et bienvenue sur le podcast Belles-mères.
Je vous propose de donner la parole à ces femmes 👩👩🏽👩🏿, qui partagent la vie d’un homme, ou d’une femme et de ses enfants. Retrouvez-moi et la belle-mère du jour tous les mardis, elle nous confiera son histoire. J’espère que cela vous plaira 🙂 Pour ne rien rater des prochains épisodes, il suffit de “s’abonner” sur votre plateforme d’écoute préférée. Vous pouvez également retrouver belles-mères sur l’instagram du podcast “belles.mères.podcast””.
Il faut un village pour élever des enfants, et parfois une belle-mère 🙂
On évoquera leur réalité pour “faire famille”. Nous dirons tout, des bons et des mauvais moments, joies et difficultés rencontrés. Nous parlerons de ce que l'on ressent, des étapes par lesquelles on passe lorsque l'on devient belle-mère (ou marâtre), l'influence que peuvent avoir le choix des mots pour nous nommer, l'impact des horribles marâtres Cendrillon et blanche-neige sur l'image des BM, etc.
L'un des objectifs est de libérer la parole des belles-mères afin de les aider à trouver leur place. Difficile quand les mots qui nous désignent nous associent littéralement à la mère de nos + 1 ou à une mauvaise mère. Les deux bénéficiant d’une image tout à fait flatteuses (lucky us).
Sinon, nous avons aussi un “amoureuse de papa” qui a le mérite de remettre au centre du sujet celui par qui on est arrivées là, mais tronque une partie de la photo de famille.
Ne pas avoir de nom propre à notre situation entretient l'ambiguïté de notre place. La seule chose qui semble claire est que nous devons mettre nos pas dans ceux de mères qui nous ont précédées. Donc enfiler les souliers de vair soit de la mère des enfants de notre conjoint.e. ou sa mère à lui. Comment trouver sa place, définir son rôle, un cadre quand nous n’existons pas vraiment…? Car nommer, c’est faire exister.
Et ne pas avoir de mot qui ne désigne que notre place participe, parfois, à la difficulté de se positionner lorsque l’on rentre dans une nouvelle famille.
Bon, il y a ça, et aussi plein d'autres choses à découvrir grâces à nos merveilleuses BM 🙂
Je m’appelle Emilie, je suis belle-mère depuis un moment, mère depuis un peu moins longtemps, et j’ai envie ici de donner la parole à ces marâtres, dont la réalité est beaucoup plus complexe que ce qu’on nous en dit.
A très bientôt.
A très vite sur BM, et d'ici là, prenez soin de vous
Bisous !
Soutenez-nous sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/podcast-belles-meres/) !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Je vous propose de donner la parole à ces femmes 👩👩🏽👩🏿, qui partagent la vie d’un homme, ou d’une femme et de ses enfants. Retrouvez-moi et la belle-mère du jour tous les mardis, elle nous confiera son histoire. J’espère que cela vous plaira 🙂 Pour ne rien rater des prochains épisodes, il suffit de “s’abonner” sur votre plateforme d’écoute préférée. Vous pouvez également retrouver belles-mères sur l’instagram du podcast “belles.mères.podcast””.
Il faut un village pour élever des enfants, et parfois une belle-mère 🙂
On évoquera leur réalité pour “faire famille”. Nous dirons tout, des bons et des mauvais moments, joies et difficultés rencontrés. Nous parlerons de ce que l'on ressent, des étapes par lesquelles on passe lorsque l'on devient belle-mère (ou marâtre), l'influence que peuvent avoir le choix des mots pour nous nommer, l'impact des horribles marâtres Cendrillon et blanche-neige sur l'image des BM, etc.
L'un des objectifs est de libérer la parole des belles-mères afin de les aider à trouver leur place. Difficile quand les mots qui nous désignent nous associent littéralement à la mère de nos + 1 ou à une mauvaise mère. Les deux bénéficiant d’une image tout à fait flatteuses (lucky us).
Sinon, nous avons aussi un “amoureuse de papa” qui a le mérite de remettre au centre du sujet celui par qui on est arrivées là, mais tronque une partie de la photo de famille.
Ne pas avoir de nom propre à notre situation entretient l'ambiguïté de notre place. La seule chose qui semble claire est que nous devons mettre nos pas dans ceux de mères qui nous ont précédées. Donc enfiler les souliers de vair soit de la mère des enfants de notre conjoint.e. ou sa mère à lui. Comment trouver sa place, définir son rôle, un cadre quand nous n’existons pas vraiment…? Car nommer, c’est faire exister.
Et ne pas avoir de mot qui ne désigne que notre place participe, parfois, à la difficulté de se positionner lorsque l’on rentre dans une nouvelle famille.
Bon, il y a ça, et aussi plein d'autres choses à découvrir grâces à nos merveilleuses BM 🙂
Je m’appelle Emilie, je suis belle-mère depuis un moment, mère depuis un peu moins longtemps, et j’ai envie ici de donner la parole à ces marâtres, dont la réalité est beaucoup plus complexe que ce qu’on nous en dit.
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Il faut un village pour élever des enfants, et parfois une belle-mère 🙂
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L'un des objectifs est de libérer la parole des belles-mères afin de les aider à trouver leur place. Difficile quand les mots qui nous désignent nous associent littéralement à la mère de nos + 1 ou à une mauvaise mère. Les deux bénéficiant d’une image tout à fait flatteuses (lucky us).
Sinon, nous avons aussi un “amoureuse de papa” qui a le mérite de remettre au centre du sujet celui par qui on est arrivées là, mais tronque une partie de la photo de famille.
Ne pas avoir de nom propre à notre situation entretient l'ambiguïté de notre place. La seule chose qui semble claire est que nous devons mettre nos pas dans ceux de mères qui nous ont précédées. Donc enfiler les souliers de vair soit de la mère des enfants de notre conjoint.e. ou sa mère à lui. Comment trouver sa place, définir son rôle, un cadre quand nous n’existons pas vraiment…? Car nommer, c’est faire exister.
Et ne pas avoir de mot qui ne désigne que notre place participe, parfois, à la difficulté de se positionner lorsque l’on rentre dans une nouvelle famille.
Bon, il y a ça, et aussi plein d'autres choses à découvrir grâces à nos merveilleuses BM 🙂
Je m’appelle Emilie, je suis belle-mère depuis un moment, mère depuis un peu moins longtemps, et j’ai envie ici de donner la parole à ces marâtres, dont la réalité est beaucoup plus complexe que ce qu’on nous en dit.
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