Entre héritage et influence, tradition et mode, ce nouvel épisode tisse une réflexion personnelle autour des prénoms maghrébins, d’hier et d’aujourd’hui.
À travers des souvenirs, des anecdotes et des observations, l’épisode interroge : un prénom, est-ce une étiquette ? Une mémoire ? Une protection ?
Quelles histoires se cachent derrière nos noms ?
Et si, au fond, nos prénoms étaient les hiéroglyphes silencieux de notre identité…
musique
SHADIA Al qalb yhib marrah
Je vous propose aujourd’hui une plongée intime, à la croisée de la musique, de l’exil et de la santé mentale.
S’il est des sujets quelque peu tabous à aborder, le suicide en fait sans doute partie.
Mais avant d’en parler sous un angle clinique, je vous raconte d’abord cette histoire à travers le prisme de mon vécu personnel.
Tout commence avec une chanson que j’ai réellement écoutée, presque par hasard, en France. Derrière la mélodie lascive, j’ai été frappée par la force de ses paroles, qui m’ont ramenée à une histoire douloureuse.
Dans cet épisode, je partage avec vous ce souvenir, le climat de l’époque, et j’y apporte mon regard de psychiatre.
extrait musical: Akim bouaziz Sara
Dans cet épisode, je vous propose d’explorer deux cas cliniques. Nous commencerons notre voyage au-delà des dunes, à la rencontre de notre première patiente dans les profondeurs du désert, avant de remonter vers le nord de l’Algérie pour découvrir une deuxième situation. Ces récits soulèvent des questions sur les différences culturelles entre ces régions… mais la véritable différence n’est peut-être pas là où on l’attend ! Alors, suivez-moi en moonwalk (attention, sur le sable, ça glisse un peu moins bien !) pour découvrir comment l’humain transcende les frontières.
L’environnement joue-t-il un rôle dans l’expression des troubles mentaux ?
Pour répondre à cette question, je vous invite à embarquer pour un voyage fascinant, direction le désert.
Là-bas, au cœur du sud algérien, je partagerai avec vous mon expérience clinique ainsi que les réflexions qu’elle m’a inspirées.
Mais avant de commencer cette expédition, plongeons ensemble dans l’imaginaire de la petite fille que j’étais… Curieux ? Écoutez l’épisode pour découvrir cette aventure unique.
extrait musical: tinariwen toumast tincha
Gaa malades mentaux ?
avant de tenter d'y répondre, je vous raconte une anecdote de ma première année en psychiatrie qui est très parlante.
le chemin emprunté pousse avant tout à se poser des questions, explorant pourquoi aller voir un psy est encore un tabou pour beaucoup, comment l'histoire et la culture populaire ont façonné l'image des troubles mentaux.
Les Algériens, chaab mrid, ou encore malades mentaux, cette rhétorique revient souvent. Ici, je ne l’énonce pas de façon péjorative, bien au contraire.
Je veux qu’on s’arrête sur cette idée, qu’on la creuse, pour explorer un sens plus large du mot ‘mahboul’.
Suivez-moi à travers ma propre expérience. Mais, encore une fois, pour bien comprendre, je vous invite à remonter dans le temps.
Si vous pouviez (re)prendre le bus en Algérie dans les années 90, ça donnerait quoi ?
Pour le savoir, je vous propose d’embarquer à travers cet épisode. Laissez-vous porter par l’expérience, mais attention! montez à bord et soyez attentifs aux détails. Car dans les bus, comme dans la vie, tout ce qui semble banal peut révéler bien plus qu’il n’y paraît.
À travers cette cette scène de vie, je vous explique pourquoi ce podcast s’appelle Avancez l’arrière. La métaphore proposée est une invitation à revenir en arrière pour mieux comprendre, réfléchir, et avancer autrement.
Prêts à monter à bord ? Avancez l’arrière, et laissez-vous guider.
Dans ce premier épisode, je vous embarque dans un voyage à travers l’enfance, dans l’Algérie des années 90, avec des souvenirs qui, bien qu’ordinaires, résonneront chez certains.
Avec légèreté et humour, cet épisode pose les bases de l’esprit du podcast : partir de la banalité du quotidien pour ouvrir des discussions et questionner les tabous autour de la santé mentale.
Prêts pour ce premier pas ? Avancez l'arrière, et bienvenue dans ce voyage introspectif et collectif.