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Pour Nathalie Bompays, être assistant(e) social(e) c’est vivre une nouvelle aventure chaque jour.

Et chaque jour, au sein de l’EPS Ville Evrard, Nathalie coordonne l’action sociale d’une grande équipe de professionnels pour orienter, accompagner, évaluer l’autonomie des patients, leur accès aux droits, leur environnement social.

Les atouts indispensables pour exercer le métier ? De l’énergie et de la ténacité. Des qualités partagées par l’ensemble de l’équipe de Ville Evrard, que nous avons suivie le temps d’une journée.

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Trouver un métier pour allier un engagement idéologique avec de l'action : c'est le choix que fait très tôt Solène Morais-Rebiffe. Attirée par la biologie et la sociologie, inspirée notamment par la découverte des travaux de Simone Veil ou Simone de Beauvoir, Solène veut un métier d'action, un métier concret. 

Sage-femme depuis bientôt 4 ans au Centre hospitalier d'Arpajon, elle travaille essentiellement en salle de naissance, mais également en suite de couches et en service de GHR (grossesses à haut risque). Alterner les jours et les nuits, travailler les jours fériés, exercer un métier physique en salle d'accouchement ne sont pas de nature à l'effrayer : "Je suis jeune. S'il faut le faire, c'est maintenant". La suite ? Gynécologie, PMI, planning familial, recherche, coordination... : comme le rappelle Solène, "on peut faire toute une carrière de sage-femme, complète et variée, sans faire un seul accouchement ».

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Trouver un métier pour allier un engagement idéologique avec de l'action : c'est le choix que fait très tôt Solène Morais-Rebiffe. Attirée par la biologie et la sociologie, inspirée notamment par la découverte des travaux de Simone Veil ou Simone de Beauvoir, Solène veut un métier d'action, un métier concret. 

Sage-femme depuis bientôt 4 ans au Centre hospitalier d'Arpajon, elle travaille essentiellement en salle de naissance, mais également en suite de couches et en service de GHR (grossesses à haut risque). Alterner les jours et les nuits, travailler les jours fériés, exercer un métier physique en salle d'accouchement ne sont pas de nature à l'effrayer : "Je suis jeune. S'il faut le faire, c'est maintenant". La suite ? Gynécologie, PMI, planning familial, recherche, coordination... : comme le rappelle Solène, "on peut faire toute une carrière de sage-femme, complète et variée, sans faire un seul accouchement ».

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Trouver un métier pour allier un engagement idéologique avec de l'action : c'est le choix que fait très tôt Solène Morais-Rebiffe. Attirée par la biologie et la sociologie, inspirée notamment par la découverte des travaux de Simone Veil ou Simone de Beauvoir, Solène veut un métier d'action, un métier concret. 

Sage-femme depuis bientôt 4 ans au Centre hospitalier d'Arpajon, elle travaille essentiellement en salle de naissance, mais également en suite de couches et en service de GHR (grossesses à haut risque). Alterner les jours et les nuits, travailler les jours fériés, exercer un métier physique en salle d'accouchement ne sont pas de nature à l'effrayer : "Je suis jeune. S'il faut le faire, c'est maintenant". La suite ? Gynécologie, PMI, planning familial, recherche, coordination... : comme le rappelle Solène, "on peut faire toute une carrière de sage-femme, complète et variée, sans faire un seul accouchement ».

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Après un BEP et CAP Électrotechnique et un bac pro Équipements et installations électriques, Christophe Tessier intègre le CHU de Rennes en 2000 à l’atelier de maintenance électricité, où il exerce son métier d’électricien pendant 17 ans. En 2017, il devient responsable de l’atelier.

De la conduite des centrales de livraison au système d’appel malades en passant par les tests de maintenance et de sécurité, pour Christophe Tessier la maintenance électrique en milieu hospitalier, c’est avant tout assurer une continuité de service.

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Infirmier de métier, cadre de santé depuis 17 ans, c’est en 2014 que Yoann Gaullier prend ses fonctions dans l’unité Jean Delay au sein du Centre hospitalier Guillaume Régnier, spécialisé en psychiatrie et en médico-social.

Pour Yoann, être cadre c’est faire le lien entre les équipes, les médecins et les patients : un travail totalement invisible, mais indispensable au bon fonctionnement des unités. Constamment au contact tant des patients que de ses équipes soignantes, comme il le dit lui-même : « la place d’un cadre de santé c’est au milieu des patients, de toutes façons ».

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