Avec Audrey Illouz (Sur le qui vive), Randa Mirza (Beirutopia), Philippe Séclier (Répliques 11/03/11).
Animée par Florian Fompérie et François De Gasperi.
The photographs we’ve been shown in brochures and business reports of agricultural corporations in the past century suggest that the Green Revolution was a complete success: the abundant growth of new high-yielding corn varieties is contrasted with meagre harvests from traditional farming. Satisfied farmers sit on new machines that do all the hard work for them. No unwanted weeds in sight. The results are there for everyone to see. But is this the whole truth?
https://www.rencontres-arles.com/en/expositions/view/1552/bruce-eesly
Bruce Eesly interviewed by Sasha Jousselin at Les Rencontres d'Arles, July 2024
Over the last decade, Debi Cornwall has been investigating the fictions fueling America’s idea of itself. Her vivid, formally composed color documentary photographs serve more to provoke than to inform, inviting a closer examination of how state power is performed, consumed, and normalized.
https://www.rencontres-arles.com/en/expositions/view/1531/debi-cornwall
Debi Cornwall interviewed by Jindra Kratochvil at Les Rencontres d'Arles, July 2024
Documenter et fictionner le passé et le présent
Avec François Deladerrière, photographe et Jean-Paul Demoule, archéologue. Animée par Valérie Disdier
Les deux invités ont travaillé notamment sur l'oeuvre collective suivante :
Néolithique Anthropocène. Dialogue autour des 12000 dernières années
Collection “À partir de l’Anthropocène”
Coédition École urbaine de Lyon et Éditions deux-cent-cinq
Néolithique Anthropocène. Dialogue autour des 12000 dernières années donne à lire et à voir des réflexions engagées autour de l’empreinte humaine sur la planète: les empreintes transformatrices au Néolithique, révélatrices de l’interrelation de l’humanité avec le reste du vivant, les empreintes prédatrices sur les ressources et les corps de la culture de plantation dès le début du XVIe siècle, les empreintes toxiques visibles après la Seconde Guerre mondiale constitutives de la “grande accélération”. Questionner l’origine de cette crise de l’habitabilité de la Terre et entrevoir sa complexité, c’est aussi ouvrir les possibles pour l’avenir. S’arrêter sur ces douze mille dernières années permet d’appréhender tout à la fois la richesse et l’ampleur des transformations effectuées par notre espèce, en si peu de temps: si l’on se représente l’existence de la Terre de ses origines à nos jours comme une journée de 24 heures, Homo Sapiens arrive à 23h14!
Pour entendre ou entrevoir cette complexité et répondre à diverses sensibilités, cet ouvrage fait cohabiter plusieurs régimes d’expressions: les entretiens de Thibaut Sardier avec Jean-Paul Demoule et Michel Lussault, de Bérénice Gagne avec Christine Chivallon; les textes de Muriel Gandelin, de Michel Lussault; les cartes d’Axelle Grégoire; les photographies de François Deladerrière; l’exposition La Terre en héritage, du Néolithique à nous du musée des Confluences explicitée par Christian Sermet. Tous participent à une mise en récits de notre histoire en mouvement et en rebondissements.
Une image de et avec Mustapha Azeroual (The Green Ray). Mené par Lou Herrmann.
Entretien et questionnaire A°
Avec Arthur Mettetal (Wagon bar). Mené par François De Gasperi.
Territoires sentinelles et zone critique
Avec Marine Lanier (Le jardin d’Hannibal), Jonàs Forchini, photographe et plongeur, et Nicolas Floc’h (Fleuves océan). Animé par Valérie Disdier et Jindra Kratochvil.