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Et si ce qu’on voit dans le miroir ne reflétait pas seulement notre image, mais aussi le regard des autres ?
Dans cet épisode, je rejoins Sasha du podcast “Une tasse de thé avec Alex” pour parler d’apparence, d’identité et de la manière dont on se construit entre ce que l’on montre et ce que l’on ressent. Un échange sincère et intime, co-posté sur nos deux podcasts pour partager nos réflexions à nos audiences respectives.
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Un an de plus, et plein de nouveaux apprentissages en cours !
Dans cet épisode, je vous partage des petites choses que cette dernière année m'a appris, des leçons que je me répétais pour moins me prendre la tête, être plus en paix avec moi-même, avec les autres, et rendre mon quotidien un peu plus doux.
J’espère que ces leçons vous parleront, et qu’on pourra grandir un peu ensemble à travers cet épisode.
Dis-moi sur Insta celle qui t’a le plus parlé ou celle que toi tu aurais ajoutée !
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On passe une bonne partie de notre vie à vouloir plaire.
Et j’ai souvent envie d’être cette personne drôle, intéressante et bienveillante, appréciée de tous.
Mais à force d’essayer de satisfaire tout le monde à la fois, on s’oublie un peu, et on ne se reconnaît plus trop.
Dans cet épisode, je vous parle de people pleasing, de perfectionnisme, de cette peur de ne pas être apprécié, et surtout de ce moment où on décide enfin d’être un peu plus vrai avec soi-même.
Parce qu’au fond, ne vaut-il pas mieux ne pas être apprécié pour ce qu’on est, que d’être aimé pour ce qu’on n’est pas ?
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On m’a souvent dit que j’étais “trop sensible”. Mais qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?
Avec mon ami Oscar, on revient sur ces moments où notre sensibilité a pu sembler “de trop” mais aussi sur son pouvoir et sa beauté. On parle de la différence entre être sensible et hypersensible, comment gérer nos émotions, poser des limites à notre empathie et surtout apprendre à être vulnérable sans honte.
Cet épisode est pour tous ceux qui se sont déjà sentis incompris, trop fragiles, qui se reconnaissent dans ce "trop sensible" et qui veulent enfin le voir autrement.
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Comment est-ce que tu aimes ? Est-ce que tu connais ton "love language" ?
Et surtout… est-ce que c’est le même que tu donnes et que tu reçois ?
Avec Franck, on plonge dans ce sujet qui nous concerne tous : comment on exprime l’amour, comment on espère le recevoir, et pourquoi ça change parfois entre amour et amitié. On parle aussi des "hate languages", ces moments où, quand on va mal, on se retrouve à faire l’inverse de notre façon d’aimer, envers les autres mais aussi envers nous-mêmes. Parce que parfois, au lieu de se donner ce dont on a besoin, on s’éloigne totalement de nos "love languages".
Un épisode intime, drôle et sincère pour mieux comprendre nos relations et lancer des discussions avec les gens autour de toi.
Dis-moi aussi ton "love language" sur Insta, j’adorerais avoir vos retours !
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Au départ, je voulais enregistrer un épisode sur les reproches : comment on les accueille, lesquels on choisit de garder, lesquels appartiennent à des malentendus ou simplement à des façons de faire très différentes. Mais en l'enregistrant, j'ai senti que je devais m'adresser directement à la personne qui m'en avait fait, parce que ça me pesait trop.
Cet épisode est donc une lettre intime partagée de réflexions qui, je l'espère, raisonneront en vous.
Parce que derrière chaque critique, il y a toujours une question plus profonde : qu'est ce que j'en fais ?
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Avez-vous déjà souhaité revenir en arrière pour tout changer ? Pourquoi est-ce qu'on a autant tendance à regarder en arrière ? Est-ce que les regrets viennent d’un manque de confiance en soi ? Et surtout, comment apprendre à se réconcilier avec nos choix, nos « manqués », nos « et si » ?
Dans cet épisode, je retrouve mon amie d’enfance Capucine pour explorer ce poids que sont les regrets, la nostalgie et la peur de passer à côté (la fameuse FOMO).
C’est une conversation honnête et intime, où l’on réalise qu’au fond, l’essentiel reste de s’ancrer dans le présent, d’être plus tolérant envers soi-même, et de se rappeler qu’on fait déjà de son mieux, sans avoir besoin d’en faire toujours plus.
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Ça y est, nous y revoilà.
Toi, moi, la rentrée, et ce drôle de mélange entre fatigue, excitation et un peu de chaos.
Après une longue pause, je redécolle doucement derrière le micro et je partage avec vous ce moment si particulier de la rentrée.
C’est un mélange de motivation qui fait des zigzags, de fatigue accumulée, de stress qui pointe le bout de son nez… mais aussi de nouvelles ambitions et d'envie de repartir sur de bonnes bases. Dans cet épisode, je voulais vous parler de ce drôle de sentiment d’atterrir après les vacances, de ce que ça fait d’avoir l’impression d’être un peu perdus ou dépassés. Parce qu’au fond, se replonger dans la routine et reprendre un rythme n'est jamais facile… alors avançons ensemble, un pas après l’autre parce qu'un marathon ça se prépare.
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Un retour au source qui nous rappelle que l'enfance ne nous quitte jamais vraiment.
Quelques anecdotes, quelques réflexions, et beaucoup de tendresse.
Dans cet épisode, je discute avec ma grande sœur : Pauline. On revient sur notre enfance, ce qu’on en garde, ce qui nous touche, nous fait rire ou nous fait réfléchir. On parle de notre famille, du fait d’être quatre sœurs, des rôles qu’on a joués, des dynamiques… mais surtout de beaucoup d’amour partagé.
C’est doux, plein de souvenirs et sûrement l’un de mes épisodes préférés. Il me relie à ce qu'il y a de plus ancien en moi.
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Il y a des moments dans la vie où l’on ne sait pas qu’on est en train de vivre une dernière fois.
Et puis, il y en a d’autres où, à l’inverse, ces derniers instants sont tous datés, organisés : la dernière fois dans un endroit, la dernière fois avec certains visages, la dernière fois tous ensemble, avant les “au revoir” officieux.
Dans cet épisode, je parle de la fin d’une époque : celle du lycée, des amitiés du quotidien, des routines partagées sans même y penser.
Je parle de ce basculement de fin d’année, de ce que ça fait, à 17 ou 18 ans, de quitter les autres… mais aussi de commencer à se retrouver soi.
De tout ce qu’on laisse derrière, et surtout de tout ce qu’on emporte avec soi.
Si toi aussi tu as senti que ta vie changeait doucement, si tu ressens cette nostalgie douce de l’adolescence, de tes dernières années officielles d’enfance… alors cet épisode est pour toi.
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Un jour, plus rien n’allait. Tout était devenu mécanique. Même les choses censées me faire du bien semblaient dénuées de sens.
Avec Jeremiah, on se connaît depuis longtemps. On s’est rencontrés à l’adolescence, à une époque déjà floue, un peu bancale, où on essayait de devenir quelqu’un sans trop savoir qui. C’est un ami cher, avec qui j’ai pris le temps de parler de ce moment un peu hors du temps : le burn-out.
Aujourd’hui, on revient sur ce moment où, à force d’encaisser, quelque chose lâche. Le corps, le mental, l’élan. Et plus rien n’a de sens. Juste l’envie que ça s’arrête.
On parle d’épuisement, de pression, de trop-plein émotionnel, de se perdre sans savoir comment se retrouver. On ne prétend pas que ce soit diagnostiqué ou une vérité absolue. On vous partage juste nos ressentis, nos parcours, ce qu’il nous semble avoir vécu, dans l’espoir que ça puisse résonner chez vous, dans l’espoir de (peut-être) pouvoir en aider certains.
Cet épisode est pour ceux et celles qui se sentent seuls dans leur épuisement. On vous comprend. Et on en parle.
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Il y a quelques jours, une de mes meilleures amies a croisé ma mère, qui lui a dit que j'avais bien géré mon année. Et ça m'a fait réfléchir... Parce que de l'intérieur, je voyais surtout ce que j’aurais voulu géré. J'avais pas l'impression d'avoir « bien géré », et encore moins d'avoir réussi.
Cette semaine, je vous parle de ce qu’on veut prouver. À qui. Pourquoi. De ce regard trop dur qu’on pose sur soi. Et de la tendresse qu'on mérite, même quand on fait juste ce qu'on peut.
On oublie que nos capacités changent. Qu’on n’est pas constant. On évolue. Et parfois, l’image de ce qu’on devrait être devient plus décourageante que motivante. Alors qu’en vrai… on est déjà, souvent, ce qu’on rêvait d’être avant.
J’espère que ce moment trouvera écho chez celles et ceux qui ont tenu sans toujours savoir comment. Ceux qui se sont un peu oubliés, qui n'ont pas eu la meilleure année, mais qui sont encore là. Et ça compte..
On a rien à prouver. On est déjà tellement.
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Après des années à vivre à l’étranger, j’ai décidé de continuer à m’éloigner un peu plus, en partant étudier à Montréal.
Dans cet épisode, je parle de cette sensation un peu floue d’être toujours entre plusieurs endroits, plusieurs langues, plusieurs versions de moi.
De ne pas avoir de “chez moi” précis. Pas de ville où je reviens chaque année. Pas de maison de famille regorgeant de souvenirs de mon enfance.
Juste des gens que j’aime éparpillés un peu partout, et cette impression constante de laisser une partie de moi à chaque départ.
Je parle de cette envie que tout le monde tienne dans un même lieu, de ce moment un peu étrange à Noël où les gens « rentrent » et moi je me demande : rentrer où ?
C’est un épisode sur les maisons qu’on cherche, celles qu’on invente, et sur ce que ça veut dire de grandir sans ancrage mais avec beaucoup de liens.
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J’ai rencontré Emna en début d’année, et on a tout de suite commencé à échanger sur tous nos projets. Elle m'a impressionnée par sa manière d’être, à la fois confiante, lumineuse et inspirante. Elle est mannequin et actrice, et partage sur son compte Instagram @emna.lassoued_ des vidéos encourageant à prendre confiance en soi, à s’affirmer et à suivre ses ambitions. C'est donc naturellement que j'ai choisi de faire cet épisode avec elle.
Dans cet épisode, on parle ensemble de cette sensation d’en faire beaucoup, parfois trop, et de se pousser à être constamment la meilleure version de soi-même. On aborde comment poursuivre ses ambitions en hiérarchisant ses priorités, tout en se donnant les moyens d’attirer ce qu’on désire vraiment. On évoque la confiance en soi, les choix d’entourage, le besoin d’équilibre, ainsi que l’impact des réseaux sociaux qui nourrissent une comparaison constante, une vision souvent irréaliste de nos capacités, et une pression silencieuse à performer sa vie.
Cette conversation honnête sera parler à toutes celles et ceux qui cherchent à mieux faire, sans se surmener. À accomplir leurs ambitions tout en restant fidèle à leurs passions.
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Dans cet épisode, je reviens sur la fin de ma première année d’université. Ces tout premiers mois à Montréal, ainsi que dans ma vie d’adulte, m’ont laissée pleine de réalisations. Tout est allé si vite que je n’ai même pas eu le temps de comprendre que ça avait vraiment commencé que ma première année est déjà terminée.
Je suis fatiguée. Épuisée, lessivée… crevée, même ! Cette première année m’a bousculée, arrachée à mes repères, poussée loin de ma zone de confort et j'en sors transformée de leçons.
Montréal est devenue, sans que je m’en rende compte, ma nouvelle maison. Celle où j’ai recréé du confort, celle qui m’apporte désormais du réconfort.
Mes amis sont devenus un peu comme une famille choisie. Et j'arpente ces rues que je commence à connaître, à aimer et habiter pleinement.
Je suis fière de tout ce que j’ai traversé, vraiment. Mais je suis aussi un peu inquiète de constater à quel point cette année m’a travaillée.
C'est de cet étrange mélange entre l’accomplissement et l’épuisement, entre la fierté et la tristesse de partir pour l’été, dont j’avais besoin de parler ici.
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Aujourd’hui, je reviens sur ces derniers mois où j’ai eu l’impression de survivre plus que de vraiment vivre.
En quittant le cocon familial, en arrivant à Montréal, en entrant dans la vie universitaire… ma zone de confort a littéralement explosé ! J’ai eu du mal à retrouver ce qui me faisait du bien, à me reconnecter à moi-même. J’ai tenu, j’ai avancé, parfois même de façon mécanique, comme par automatisme.
Et maintenant que l’année se termine, que les examens sont passés, j’essaie de faire le point. Qu’est-ce qu’il reste de cette zone de confort ? Qu’est-ce qui a changé ? Et est-ce que je suis enfin prête à revivre, vraiment ?
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Pour ce nouvel épisode de 2h21, je t’embarque dans un nouveau format : apprendre à rencontrer quelqu’un à travers des questions. C’est la première fois que je teste ce concept, et pour l’occasion, je suis accompagnée de Sasha, curieuse et authentique, que tu connais peut-être grâce à son podcast Une tasse de thé avec Alex 🍵(@alexandra.lvsk).
On a joué au jeu "We’re Not Really Strangers", un jeu de carte pensé pour créer du lien à travers des questions profondes. "Come curious, leave connected", il a tenu toutes ses promesses. On a parlé d’amitié, de vulnérabilité, de ces sentiments qu’on ne sait pas toujours comment apprivoiser, et de tous ces changements qu’on n’aurait jamais imaginés en grandissant.
Ce jeu a ouvert la porte à une discussion comme je les aime, sincère et profonde, entre deux personnes qui apprennent à se découvrir, loin des small talks.
Une rencontre simple et sincère, dans sa chambre (littéralement) et dans sa tête un peu aussi.
Merci Sasha de m’avoir ouvert ta porte, au sens propre comme au figuré. 🫖
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Cet épisode, je l’ai fait pour toi. Et pour moi aussi, énormément.
Je l’ai fait pour toutes celles et ceux qui vivent, ont vécu, ou vivront une période d’examens.
Aujourd’hui, je partage avec toi 10 choses que j’aurais aimé qu’on me dise à ce moment-là.
Des rappels doux, sincères et essentiels — pour ces instants où la pression monte, où le doute s’installe, où la fatigue pèse… Et où, parfois, on oublie l’essentiel.
C’est un épisode à écouter quand tu te sens dépassé, ou simplement pour te rappeler que tu n’es pas seul dans ce que tu traverses.
Alors prends un moment.
Appuie sur pause.
Laisse-toi porter.
Parce que tu n’as pas besoin d’être parfait pour réussir.
Juste d’avancer, un pas après l’autre, en faisant de ton mieux, ici et maintenant.
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Aujourd'hui, je vous parle d'un paradoxe que je ressens souvent : mon envie de créer de nouvelles relations, de me rapprocher de nouvelles personnes, et en même temps, ma nécessité d’être seule pour me retrouver et me recharger. C'est quelque chose qui me travaille particulièrement depuis mon arrivée à Montréal.
Avant, j'étais seule par choix et entourée par défaut. Mais depuis l'université, je peux choisir d'être seule ou non. Toutefois, je me rends compte que je prends de moins en moins de temps pour me recharger. Je finis par utiliser ces moments pour m'organiser ou faire des tâches moins agréables plutôt que de les prendre pour me retrouver.
Depuis mon arrivée à Montréal, je me sens parfois un peu perdue, entre l'envie de connexion avec toutes les personnes intéressantes que je croise et mon besoin de prendre du recul. La ville regorge de possibilités de rencontres, de nouvelles personnes, d’histoires à découvrir, et c’est comme si mon énergie sociale était constamment sollicitée. Je veux être avec ceux qui m'entourent, échanger, découvrir… Mais en même temps, je sais que je dois aussi m’offrir des moments à moi, pour ne pas m’épuiser.
Alors, comment savoir quand s’ouvrir aux autres et quand se retirer pour préserver son énergie ? C'est une question qui me trotte dans la tête et pour être honnête, je n’en ai pas la réponse. Mais simplement se poser la question et essayer de comprendre, c’est déjà un premier pas pour résoudre ce paradoxe !
N'hésitez pas à me partager vos réflexions et me donner vos retours sur mon compte instagram @sun_y_math. J'ai hâte de vous lire !
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J'avais besoin de comprendre. Mon esprit cogitait sans cesse, mes pensées se bousculaient, m'empêchant de dormir. Cet épisode est né après une série de nuits blanches, tentant de répondre à la question qui me tracassait depuis des semaines : pourquoi ai-je attendu qu'il me quitte ?
Aujourd'hui, je vous parle de la difficulté à rompre, même quand les signes d’échec sont évidents. Pourquoi avons-nous tant de mal à partir ?
C’est l’attachement excessif et la fidélité aveugle qui nous poussent à croire en un potentiel de la relation, même quand tout nous montre le contraire. C’est difficile d’admettre l’échec amoureux, surtout lorsqu’on se met la pression de "réussir" après de nombreuses déceptions. On se dit "je suis enfin en couple, ça doit marcher". J'avais honte de savoir au fond de moi que ça n’allait pas, mais j’attendais que la décision vienne d’ailleurs, que quelqu’un d’autre prenne les choses en main.
Au début, je lui en voulais, je m'en voulais, et je nous en voulais que ça n'ait pas marché. J'avais honte que ça ne se soit pas passé comme je le souhaitais, et c'était difficile de voir mes espoirs et histoires s'envoler en fumée. Mais en y réfléchissant, j’ai énormément appris sur moi-même. Cette expérience m’a permis d’évoluer et m’a amenée à comprendre mes peurs.
Avez-vous déjà vécu une situation où, malgré les signes évidents, il vous était difficile de partir ? Bien que je parle principalement d'exemples amoureux, ce dilemme résonne aussi dans mes relations amicales, et je suis sûre que vous pourrez vous y retrouver.
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