Le podcast qui fait de la place aux femmes qui d’habitude en prennent peu.
1m60max met en lumière, à travers une série de portraits, celles qui, en raison de leur taille, restent bien souvent dans l’ombre, alors qu’elles brillent chaque jour dans leur domaine.
Cette première série, dédiée aux femmes sportives, est en partenariat avec ABLOCK.FR, le sport qui fait bouger les lignes.
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Le podcast qui fait de la place aux femmes qui d’habitude en prennent peu.
1m60max met en lumière, à travers une série de portraits, celles qui, en raison de leur taille, restent bien souvent dans l’ombre, alors qu’elles brillent chaque jour dans leur domaine.
Cette première série, dédiée aux femmes sportives, est en partenariat avec ABLOCK.FR, le sport qui fait bouger les lignes.
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Ce podcast vous raconte le parcours de Séverine Guérif, qui du haut de son 1m51 et demi (oui, oui ça compte), a connu beaucoup d'embûches mais s'est relevée à chaque fois.
En l'écoutant, nous pouvons avoir le sentiment d'un discours un brin vindicatif, cependant Séverine reste positive.
Ce sont les épreuves qui forgent un caractère, l'adversité qui donne envie de se dépasser, la maladie qui lui a fait découvrir le sport de haut niveau et ses capacités physiques.
Pour apprécier le portrait de Séverine, posons des dates sur sa frise chronologique :
1975 : Naissance
⬇️
2016 : 41 ans et découverte du triathlon et duathlon après une hystérectomie
2021 : Championne du monde pour la première fois de Duathlon
2022 : Diagnostic d'un cancer du sein de stade 2
2023 : Gagnante par équipe des 24h du Mans vélo.
On s'arrête là mais pas elle.
Sa devise : "Au bout, j'irai" illustre bien que Séverine ne se met pas de limites et surtout pas des limites de taille. Bien au contraire, avec l'âge, elle voit son 1m51 (et demi, hein ?) comme une source d'avantages.
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Que ce soit en entreprises, dans des institutions d'Etats, des métiers souvent perçus comme masculin ou des postes à fortes responsabilités, les femmes d'1m60max ont leur place et doivent se faire une place.
Comment avoir son mot à dire dans un COMEX aux chaises bien trop grandes pour toucher le sol avec ses pieds ?
Comment bannir ce terme de "ma petite" pourtant affectueux mais infantilisant dans les open-spaces ?
Pour ce 4ème portrait, direction les plus hautes instances européennes pour rencontrer Charlotte Vergne, qui du haut de son 1m60 sur sa carte d'identité, mais peut-être 1m59 en vrai, nous a confié son envie de se démarquer des autres.
Comment ? en faisant de longues études, en apprenant des langues, en s'ouvrant au monde, en voyageant, en essayant de ne pas pas penser la même chose que les autres. Bref, d'avoir sa propre identité et réaliser ses rêves.
Lesquels ? Vous le découvrirez en écoutant son portrait réalisé par Marion Griesemann.
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Ce podcast dresse le portrait d'Anaïs Quemener que l'équipe d'1m60max a été interviewer, chez elle, dans son fief de Mitry-Mory.
C'est là que tout a commencé, auprès des siens, auprès de son père entraîneur, qui a rapidement mis le doigt sur son potentiel malgré son 1m51.
Lui-même étant petit, il sait que la taille n'est pas un frein à la performance sportive.
Sans entraînement, sans passion au départ, elle se classe rapidement auprès des meilleures de sa catégorie.
Cependant pour être une championne, il lui conseille qu'il lui faudra un peu plus de discipline.
Depuis nous connaissons l'histoire : double championne de marathon en 2016 et 2022, meilleure Française au marathon de Paris en 2022, vainqueur féminine du mythique semi-marathon du Ventoux en 2023... Le palmarès est beau, et même un peu plus quand on connaît tout le parcours d'Anaïs.
Laissez-vous porter par sa voix douce et apaisante.
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Ce podcast vous présente le double parcours sportif de Mévèna Altiparmak : d'abord, championne de badminton avant la période COVID19 et depuis 1 an, officiellement, championne d'Hyrox, notamment en double mixte.
Vous vous demandez déjà, comment passer d'un sport de raquette à un sport de fitness, avec autant de performance sur chacune des disciplines ?
Alors avant tout, vous devez faire connaissance avec ce petit bout de femme que rien n'arrête, sauf peut-être son cochon, ses biquettes et ses poules : son seul moment de détente dans sa ferme tourangelle. Pour le reste, son emploi du temps est rudement bien ficelé entre son cabinet d'ostéopathie, les entraînements plusieurs fois par semaine et maintenant la rançon la gloire : les shooting-photo, les compétitions internationales...
Si nous vous avons perdu c'est normal, car tout va très vite dans la vie de Mévèna, ses rêves deviennent souvent réalité et elle compte bien en profiter pleinement.
1m60max a réussi à se poser avec elle et voir dans quelle(s) mesure(s) sa taille est un obstacle ou pas dans cette vie à 100KM/H.
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Ce podcast est le troisième d'une longue série consacrée à la thématique "Les femmes et le pouvoir".
Que ce soit en entreprises, dans des institutions d'Etats, des métiers souvent perçus comme masculin ou des postes à fortes responsabilités, les femmes d'1m60max ont leur place et doivent se faire une place.
Comment avoir son mot à dire dans un COMEX aux chaises bien trop grandes pour toucher le sol avec ses pieds ?
Comment bannir ce terme de "ma petite" pourtant affectueux mais infantilisant dans les open-spaces ?
Pour ce 3ème portrait, prenons un peu de hauteur dans une des plus hautes tours de La Défense pour rencontrer Ornela Boré qui a seulement 30 ans a déjà une belle carrière derrière elle.
D'une enfance bienveillante, 🐣
à sa passion pour le théâtre, 🎭
en passant par un programme d'empowerment féminin chez TotalEnergies, 💪🏼
elle vous explique sa recette pour assumer son 1m49.
Et croyez-nous (ou pas), elle a une qualité qui est indiscutable et qui lui permet de tenir la dragée haute à n'importe qui dans toutes circonstances.
Mais si nous vous disons laquelle ça serait pas drôle. 🙃
Vous le découvrirez en écoutant le podcast.
Bonne écoute !
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Ce podcast est le second d'une longue série consacrée à la thématique "Les femmes et le pouvoir".
Que ce soit en entreprises, dans des institutions d'Etats, des métiers souvent perçus comme masculin ou des postes à fortes responsabilités, les femmes d'1m60max ont leur place et doivent se faire une place.
Comment avoir son mot à dire dans un COMEX aux chaises bien trop grandes pour toucher le sol avec ses pieds ?
Comment bannir ce terme de "ma petite" pourtant affectueux mais infantilisant dans les open-spaces ?
Pour ce 2ème portrait, direction Brest et sa fameuse Ecole des Mousses, à la rencontre d'Ingrid Parrot et ses 22 ans de carrière à des postes
de communication et de formation dans la Marine nationale, et de directrice adjointe de l’école des mousses.
Si la taille n'est plus vraiment un critère pour intégrer la Marine Nationale, il y a forcément certaines situations cocasses, qu'il faut apprendre à contourner, parce que oui, Ingrid est devenue une experte dans l'art du contournement et de la stratégie.
Comment ?
Vous le découvrirez en écoutant le podcast.
Bonne écoute !
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Ce podcast est le premier d'une longue série consacrée à la thématique "Les femmes et le pouvoir".
Que ce soit en entreprises, dans des institutions d'Etats, des métiers souvent perçus comme masculin ou des postes à fortes responsabilités, les femmes d'1m60max ont leur place et doivent se faire une place.
Comment avoir son mot à dire dans un COMEX aux chaises bien trop grandes pour toucher le sol avec ses pieds ?
Comment bannir ce terme de "ma petite" pourtant affectueux mais infantilisant dans les open-spaces ?
La première à nous ouvrir les portes de son bureau est Alizée Goerens :
1m52,
à peine trentenaire
et déjà Senior Account Manager chez Snap, le groupe qui possède le fameux réseau social, Snapchat.
Dès nos premiers échanges, la franchise est de mise :
Oui, sa taille a toujours été un sujet.
De sa naissance en passant par sa détermination à postuler chez Facebook, jusqu'à faire taire les "petite Alizée" dans les Open Space.
Vous l'aurez compris notre invitée sait ce qu'elle veut car depuis un certain voyage en Inde, elle sait que tout est possible.
Bonne écoute !
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Ce podcast revient sur l'histoire sinueuse de Marie Martinod, skieuse acrobatique française spécialiste du half-pipe (rampe, ski freestyle), médaillée d'argent olympique à Sotchi en 2014 et à Pyeongchang en 2018 (où elle était la doyenne à l’époque), victorieuse aux X-Games à Aspen en 2017, et deux fois gagnante de la coupe du monde de la spécialité, en 2003-2004 et en 2016-2017.
Alors avant tout, sachez qu’être déter’ chez la championne Marie Martinod, ça se traduit comme une véritable philosophie de vie, qui consiste à dire que chacun de tes problèmes a une solution. Et si vraiment, vraiment, au bout du compte, il s’avère qu’il n’en a pas, crée la.
Quand Marie sur les bancs de l’école a reçu des moqueries sur sa taille (1m58 aujourd'hui), parce que tout le monde la dépassait d’au moins 20 bons centimètres, elle se dit “pas grave, c’est dur mais ça forge”.
Quand un coach de La Plagne décide de l’appeler “Twingo”, là encore “pas grave, à l’époque c’est le nouveau petit modèle très stylé chez Renault”.
Quand elle débarque au lycée, toujours avec une tête en moins mais aussi une passion bien distincte des autres, Marie se réjouit de cette différence.
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Ce podcast passe en revue la jeune carrière d'Elsa Ravinet, 1m54, dans un sport où la taille peut être perçue comme un désavantage.
L'escalade, Elsa l’a dans le sang, elle la vit au quotidien et si j’avais su avant cette interview que c’était aussi pratique pour nous les petites…
Car quand Elsa a commencé l’escalade, sa taille l’a d’abord bloquée, dans ses mouvements et dans sa progression. Une idée reçue peut-être qui rendait les prises plus lointaines ou en tout cas plus difficiles à attraper. Pourtant à force de travail, son corps l’a contredit. Être petite peut être un véritable atout : on est plus souple, plus agile, ce qui rend les choses beaucoup plus faciles quand il s’agit de rapprocher ses pieds de sa tête.
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Ce podcast raconte l’histoire de la para-judoka Sandrine Martinet.
Si vous ne la connaissez pas encore, Sandrine c’est 3 titres de championne du monde, 3 titres de championne d’Europe, une médaille d’or aux Jeux Olympiques de Rio, et l’argent à Pékin, Tokyo et Athènes. Le judo est un sport qui lui a donc ouvert les portes du succès mais qui lui a surtout ouvert grand les bras car aux origines la jeune Sandrine voit dans cette discipline un quasi sanctuaire, loin du jugement et du rejet des autres.
Sandrine est atteinte depuis sa naissance d’achromatopsie, une maladie génétique qui réduit l'acuité visuelle. Cette différence l’a toujours accompagnée. Elle était peut-être encore plus présente dans les yeux des autres que dans les siens mais elle explique certainement pourquoi elle a réussi, malgré d’autres moqueries, à ne pas faire de son mètre 57 un obstacle pour construire sa vie.
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Ce podcast raconte l’histoire d’Anastasia Sanchis, 1m60 et jamais lassée par la vie et ses challenges : surtout quand il s’agit de remporter des compétitions de natation synchronisée ou de danse orientale.
Plutôt grande pour son âge, Anastasia voit la fin de sa croissance à seulement 11 ans. Elle passe ainsi de la plus grande de sa classe à la plus petite, les doutes et les interrogations auraient pu arriver. Mais avec elle, ils n’auront jamais trouvé le moyen de persister. Pour Anastasia, les préoccupations sont ailleurs. Alors qu’on lui claque au nez la porte de la danse classique, prétextant qu’avec sa taille elle aurait tout intérêt à se tourner vers la gymnastique, Anastasia tombe dans la piscine… ou plutôt sur un cours de natation synchronisée au rez de chaussée du club où s’entraîne alors son père. Le coup de foudre est immédiat.
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Ce podcast raconte l’histoire de la judoka Shirine Boukli, 157 cm d’énergie qui foncent à pleine vitesse sur des kilomètres de vie où chaque grand obstacle semble être devenu petit.
Pour Shirine Boukli, la taille est un sujet, pas un tabou. Disons surtout qu’elle s’est habituée. Toujours la plus petite, dans sa catégorie comme dans la vie, elle se construit depuis toujours avec ce fait et les conséquences qui y sont liées.
Des kimonos trop grands qu’il a fallu adapter au style oversize qu’elle a cultivé, Mini Corps, Shishou ou Shish’, celle à qui l’on donne des millions de surnoms plutôt mignons, observe très vite que les personnes qui se préoccupent le plus de son mètre 60 max, ce sont finalement les autres.
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