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Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Nina P
38 episodes
2 days ago
Retrouvez ici des magazines, reportages et podcasts avec pour seul point commun : leur créatrice. Pour le plaisir de faire de la radio, de créer des podcast et de donner à voir par l'écoute.
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Episodes (20/38)
Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Emission immersive au MUCEM : comment les costumes traditionnels influencent la haute couture ?

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille, le 11/07/23

Plus de 300 pièces de haute couture et de vêtements traditionnels sont à découvrir au Mucem de Marseille jusqu’au 6 novembre 2023, dans l’exposition Fashion Folklore.

Dans ce podcast vous pourrez suivre les deux commissaires de la nouvelle exposition, Marie-Charlotte Calafat et Aurélie Samuel, dans une visite radiophonique.

Fashion Folklore entraîne le visiteur d'une aire géographique à une autre, pour explorer les identités nationales et régionales, et, comment l'art et le patrimoine populaires influencent la haute-couture contemporaine.

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2 years ago
29 minutes 11 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
En direct du Vieux Port : faire vivre le patrimoine maritime Marseillais avec l'association Boud'Mer

Depuis plus de vingt ans l'association Boud'Mer oeuvre pour rendre la mer accessible à tous, promouvoir l'écologie et le patrimoine maritime Marseillais. dans Commune Planète en Provence, rencontre sur le Vieux Port avec Patrick George, son président, et Jean-Luc adhérent depuis 8 ans, aux pieds de Mercedes, une barquette marseillaise de 1913 bientôt rénovée.



Elle a belle allure la barquette Mercedes sur le Vieux Port de Marseille. Il faut dire qu'elle revient de loin. Cette petite embarcation de pêcheur date de 1913, son bois était mangé, le mât à jeter et les peintures à refaire.

Aujourd'hui la barquette retrouve peu à peu sa gloire d'antan. De la cale jusqu'au mât, des bénévoles et apprentis en charpente marine s'activent pour la remettre à l'eau. C'est un bateau qui rappelle l'époque où une bonne partie de la ville vivait de la pêche.

Comme toutes les barquettes que l'association Boud'Mer retape, Mercedes lui a était donnée par la famille Vallalta. Elle rejoindra la flotte des six bateaux que possède l'association et qu'elle utilise pour organiser des sorties en mer, avec des centres sociaux ou pour des "journées contées" qui retracent l'histoire de Marseille.



Vous aurez noté qu'on ne dit pas pointu mais plutôt barquette. "Les pointus c'est Varois !" nous explique Patrick Georges, président de Boud'Mer.



Une association, quatre missions


Depuis sa création en 2000 l'association Boud'Mer participe à la création d'un réseau d'associations, sociale et environnementale, et porte quatre missions principales.


Rendre la mer accessible à tous, car avoir un bateau est un luxe et beaucoup d'enfants marseillais ne savent pas nager faute d'infrastructures suffisantes, préserver le patrimoine maritime de Marseille, sensibiliser à la protection de l'environnement et promouvoir la culture en organisation des sorties contées.

S'investir auprès de Boud'Mer c'est aimer les échanges entre générations et le travail des mains : peinture, ponçage, menuiserie, un peu d'électricité.

Pour donner à ces vieilles barquettes un coup de jeune l'association leur installe des moteurs électriques. Le Mercedes en sera équipée, elle qui n'a connu que les moteurs thermiques depuis 1913. Vous pourrez découvrir le Mercedes à La Ciotat le 18 mars prochain aux Nauticales.

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2 years ago
28 minutes 55 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Emission immersive : Act For Planet, l'association qui remet du vivant dans les champs

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Ce matin là, journée mondiale des abeilles, Alexis Bertucat fait visiter un verger d'amandiers, implantés aux pieds de l'usine de fabrication du Roy René, célèbre calisson de Provence. Sous un soleil déjà bien présent, il guide un petit groupe de curieux d'arbre en arbre, en n'oubliant pas de mettre à l'honneur toutes les plantes, fleurs et arbrisseaux qui constituent la "prairie provençale", protectrice du sol.


"C'est aussi là que les abeilles et tous les insectes pollinisateurs vont trouver de quoi se nourrir" précise-t-il avec entrain. Son association Act For Planet oeuvre auprès d'exploitants agricoles pour restaurer la biodiversité dans les champs.


Le verger du Roy René sert surtout d'exposition à ce que peut être la biodiversité provençale. Dans ce verger 300 amandiers ont été implantés, diverses essences sont représentées, mais y cohabitent aussi des saules, des pistachiers et un chêne imposant, dominant tout le reste depuis le "tertre templier". "On a failli l'aplanir [le tertre] mais l'INRAP*, même s'ils n'ont rien trouvé en sondant le sol, nous ont dit que ce tertre n'était peut-être pas là par hasard. Donc on l'a laissé et maintenant il sert d'abri à beaucoup d'oiseaux. On ne les voit pas, mais ils nous observent. Ils savent que je suis là, je fais beaucoup de bruit." plaisante Alexis, avant de lancer "avançons !"en direction des ruches.


Les deux ruches, installées dans la nuit par l'apiculteur, pour les besoins de la visite, servent d'exemple à ce que l'apiculture peut apporter à l'agriculture. Pour Act For Planet il faut tout reconnecter, "comme faisaient les anciens finalement" ironise Alexis. Ces deux ruches sont peuplées par des abeilles noires. L'espèce est endémique de Provence, rustique donc résistante au climat et ses aléas. "On pense que l'abeille noire est capable de résister au dérèglement climatique" analyse Alexis avant d'ajouter que si ce n'est pas la plus productive des abeilles, et qu'elle a un sale caractère "bien de chez nous quoi !", privilégier des espèces adaptées au climat local .


Act For Planet se mobilise aussi pour l'agroforesterie. Réintégrer des haies et oasis de verdure au milieu des champs offre des abris pour les oiseaux et petits mammifères des champs, nécessaires au bon équilibre naturel, c'est-à-dire la régulation des nuisibles, des plantes et insectes qui sans prédateurs pourraient être envahissants.


Les racines des arbres peuvent s'étendre jusqu'à 3 ou même 4 fois le diamètre de la "couronne" c'est à dire de ses branches. Remettre des arbres au coeur des champs permet donc à la terre de mieux fixer le carbone grâce aux racines, d'aérer le sol et d'y ramener de la vie, mais aussi empêcher l'érosion des sols.

Dans le verger d'amandiers Alexis Bertucat s'arrête enthousiaste devant une sorte abricotier, un peu spécial. "C'est une greffe !" lance-t-il. De plus en plus, selon les techniques d'agroforesterie, on a recours à la greffe d'une essence d'arbre sur un porte-greffe résistant et adapté au sol et au climat. "Ici la nature en a choisi autrement. On a greffé un abricotier sur un prunier. C'est le prunier qui a gagné" dit Alexis en riant.


L'association Act For Planet est partenaire d'agriculteurs sur toute la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et soutenues par des entreprises privées qui lui permettent d'acheter des terres, des ruches et intervenir auprès d'agiculteurs.



*INRAP : L'institut National de recherches archéologiques.



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2 years ago
29 minutes 2 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Emission immersive : découvrez la brousse du Rove, une AOP de Provence

(Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille)

La brousse du Rove est reconnue comme AOP depuis 2020 seulement. C'est la plus petite appellation d'origine contrôlée de France avec seulement sept exploitants. Son territoire couvre 131 communes, principalement dans les Bouches-du-Rhône, quelques unes dans le sud du Vaucluse et dans l'ouest du Var.


La brousse du Rove est un fromage frais saisonnier, obtenu avec le lait de la race rustique des chèvres du Rove, reconnaissables par leur cornes en formes de feuilles de lierres et leur caractère bien trempé. Selon Eric Prioré, le chevrier de Septèmes-les-Vallons c'est "la chèvre marseillaise dans toute sa splendeur !"


Une chèvrerie communale


La chèvrerie de Septèmes est née en 2002, de la volonté municipale de voir s'installer sur les flancs du massif de l'étoile un chevrier qui produirait en circuit-court des fromages de chèvre de qualité. C'est Guy Chauvelot qui s'installe le premier, sur un terrain de la RTM, soumis à un bail de 99 ans. Et puis vient le temps de la retraite pour Guy, qui cherche une personne à qui transmettre l'affaire.


"Il m'a dit chercher quelqu'un pour reprendre la chèvrerie, je n'ai pas hésité longtemps !" Éric Prioré, chevrier.


En 2014 Guy Chauvelot passe donc la main à Éric Prioré et un chèvrerie officielle est construite sur la parcelle. Guy transmet tout son savoir à Eric, qui apprend le métier sur le tas, mais aussi un peu "sur le tard", s'amuse Eric qui avoue du bout des lèvres qu'il avait "déjà un certain âge" lorsqu'il s'est installé.

Pour Eric Prioré, devenir chevrier n'a pas toujours était une évidence. Après une carrière dans l'imprimerie puis le BTP, il se tourne vers un diplôme de fromager. Ce qu'ensuite que son chemin le mène vers ce métier du fond des âges : chevrier.


C'est un constat dont beaucoup de chefs d'entreprises rêvent : la demande pour la brousse du Rove est largement supérieure à l'offre. L'engouement pour les produits AOP n'a cessé d'augmenter, et pour la brousse du Rove dépasse complètement la capacité de production des chevriers.

"C'est énorme" résume Eric, qui aimerait bien voir d'autres chevriers s'installer en Rove. "On ne serait même pas en concurrence, et comme on dit : il y a du soleil pour tout le monde !"

La demande est tellement forte que les fraudes se multiplient. Eric Prioré insiste sur deux indices qui permettent de débusquer les vendeurs malhonnêtes, le contenant de la brousse doit être conique et transparent et surtout : "on peut vous raconter n'importe quoi, si la brousse ne porte pas le petit écusson AOP Brousse du Rove, ce n'est pas de la vraie brousse du Rove."

En tout cas, à Septèmes, au bout de chemin de Freyguières, en terre battue, les 146 chèvres du Rove d'Eric Prioré continuent à aller et venir dans les collines provençales, ratiboisant toutes les plantes sauvages qui parfumeront leur lait et donnera de la véritable brousse du Rove.

La chèvrerie est ouverte au public tous les jours, sauf le vendredi. Le premier dimanche du mois Eric s'installe sur le marché de la Cité des arts de la rue aux Aygalades, le deuxième dimanche du mois sur le marché à Chateau-Gombert.

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2 years ago
22 minutes 14 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Notre système de consommation crée des esclaves énergétiques - avec Jean-François Mouhot d'A Rocha

(Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille)


A Rocha est une association chrétienne internationale implantée dans 20 pays, qui depuis bientôt 40 ans étudie l'environnement. L'association est d'ailleurs à l'origine du label église verte, repris par le Pape dans le cadre de l'an cyclique Laudato Si.

En France ​A Rocha mène des actions de préservation et de sensibilisation dans ses deux centres basés aux Courmettes près de Nice et dans la vallée des Baux près d'Arles. Jean-François Mouhot est le directeur d'A Rocha France mais également historien spécialisé en histoire de l'environnement. Selon lui, l'étude de l'Homme dans son environnement au fil des siècles nous permet de trouver des éléments de réponse à nos problématiques actuelles, mais également de prendre conscience de certaines ironies de l'Histoire.



Il soutient notamment la thèse d'une nouvelle forme d'esclavage moderne. Un esclavage énergétique non plus basé sur une main d'oeuvre à qui on enlèverait son statut d'être humain, mais sur des machines qui font à notre place tout ce que nous ne voulons pas faire. Ces robots qui cuisinent, nettoient, lavent, et même se mémorisent pour nous, sont autant "d'esclaves énergétiques" qui nous permettent de ne plus voir notre impact environnemental. Ces nouveaux esclaves s'ajoutent à la pollution déjà délocalisée dans les pays du tiers monde.

Jean-François Mouhot se livre également sur l'importance, selon lui, de pouvoir être un témoin de l'espérance chrétienne dans notre rapport à la nature et la Création de Dieu.

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2 years ago
28 minutes 7 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
"La consommation parfaite n'existe pas" : alors comment repenser la société de consommation ?

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Au coeur de la société mondialisée le consommateur a-t-il un pouvoir et une responsabilité personnelle sur ce qu'il achète ? 

Nous posons la question au pasteur Timothée Calvot et au théologien Yannick Imbert. Ils explorent la recherche d'un équilibre entre consommation vertueuse et la réalité des échanges commerciaux qui dépassent la bonne volonté des "consom'acteurs". 

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2 years ago
28 minutes 4 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Faites pousser vos légumes dans votre salon grâce à l'aquaponie

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Vous avez toujours rêvé de cultiver votre jardin et faire pousser vos petits légumes. Mais comment faire quand on vit en ville, en appartement ? L’entreprise locale Aquapouss’ veut démocratiser l’aquaponie – une technologie qui mêle aquarium et jardinage. Théophile Gallardo son co-fondateur est notre invité sur RCF.

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2 years ago
25 minutes 27 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Le mécénat au service de l'agriculture durable

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Redonner aux petits plaisirs simples leur juste place dans nos vies : prendre le temps de cuisiner, le plaisir de bien manger et de partager, c'est la mission que se donne le fond de dotation Epicurien. Il soutient des projets autour de l'agriculture durable partout en Provence. Tatiana de Williencourt, présidente et co-fondatrice du fond est su micro de Nina Pavan sur Dialogue RCF.


La bonne alimentation ne doit pas être réservée aux plus aisés ! C'est l'avis de Tatiana de Williencourt, présidente et co-fondatrice du fond de dotation Epicurien.

Ce fond, et ses membres donateurs, défendent l'implantation et la pérennisation en Provence d'une agriculture durable, qui promeut l'insertion et la sensibilisation des plus jeunes aux enjeux environnementaux.

Grâce à ses capitaux à disposition, ce fond de dotation soutient des projets locaux comme Le Tallus, cette ferme urbaine dans le centre ville de Marseille qui offre aux habitants un accès à de l'alimentation de qualité, ou encore l'Ecole Comestible, qui fait intervenir dans les écoles des maraîchers pour transmettre aux enfants l'amour des bons fruits et légumes et une meilleure connaissance du monde agricole.

La nuit du Bien Commun

Le fond de dotation Epicurien sera de nouveau de la partir pour la Nuit du Bien Commun à Marseille. Le 5 juin prochain, dix projets associatifs se présenteront à des mécènes pour espérer lever des fonds. Lors de la première édition les différentes associations ont pu récolter 408 800 euros !

Participer à ce type d'événement est selon Tatiana de Williencourt s'inscrit parfaitement dans la mission du fond Epicurien. C'est, à nouveau, permettre à ces projets qui favorisent la sensibilisation à l'alimentation durable et son développement sur le territoire de Provence.

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2 years ago
28 minutes 40 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Anotherway : des shampoings et des lessives marseillais en pastilles solides

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Samuel Olichon crée en 2018 Anotherway, une entreprise de lessives en poudre. Très vite, le public est au rendez-vous et l'aventure prend de l'ampleur. Aujourd'hui Anotherway produit à Marseille des shampoings, gels douche et lessives solides, en format pastilles. Au micro de Nina Pavan, Samuel Olichon nous présente son entreprise à mission.

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2 years ago
25 minutes 35 seconds

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Marseille Capitale de la Mer : une vision d'avenir pour la ville

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Emmanuel Macron, lors de sa visite à Marseille en septembre 2021, a fait part de sa volonté de faire de la ville la capitale du Sud. Rencontre avec Marie-Dominique Champloy, l'une des fondatrices de l'association Marseille Capitale de la Mer, qui porte justement le projet de faire de Marseille une ville incontournable en Méditerranée.



Marseille Capitale de la Mer c'est d'abord une vision. Une vision du potentiel de Marseille qui peut devenir une ville incontournable de la Méditerranée.

Lorsqu'elle est arrivée à Marseille, Marie-Dominique Champloy et les cinq autres fondateurs de Marseille Capitale de la Mer ont pu faire un constat : "Marseille tournait le dos à la mer".

L'association Marseille Capitale de la Mer a pour objectif de fédérer les forces vives du territoire pour valoriser la mer comme ressource urbaine. Elle mène donc plusieurs projets concrets pour que les habitants, les entreprises et les institutions publiques associent la mer à l'avenir de la ville.

S'engager pour l'emploi

L'association fait partie des acteurs engagés pour l'emploi sur le territoire de Marseille, elle a notamment participer à la Régate des Possibles, une journée en bateau organisée par la Métropole, pour créer la rencontre entre des employeurs et des candidats à l'embauche. Elle intervient également dans la création d'une cité des métiers de la mer.

L'univers de la mer, des métiers traditionnels aux métiers qu'il faut encore inventer, sera une source d'emplois qu'il faut développer, alors que le port maritime reste encore assez inconnu pour de nombreux marseillais.

Créer un événement emblématique

Pour Marie-Dominique Champloy, ce qui manque à Marseille c'est un événement populaire, conçu autour de la mer, qui parlerait de science, d'écologie, de culture, et qui soit emblématique de la ville de Marseille.

Des événements se créent bien sûr, comme Au bout la mer, organisée en octobre 2021 par la ville de Marseille et auquel MCM a participé, mais rien à voir avec une véritable culture de la mer que l'association Marseille capitale de la mer imagine. "Ce n'est encore qu'un prélude de ce que l'on voudrait atteindre !"

Marseille accueillera les épreuves de voile des Jeux Olympiques en 2024, un coup de projecteur sur la ville qui ne doit pas être une opportunité manquée, et qui sera un accélérateur de développement pour Marseille et les projets portés par Marseille Capitale de la Mer.

Vous avez rendez-vous le 13 février 2022 pour une deuxième édition de Au bout la mer sera un pas de plus vers l'élaboration d'une grand événement populaire autour de la mer à Marseille.

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2 years ago
28 minutes 58 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Plastic Odyssey : une expédition en mer pour favoriser le recyclage

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Amarré à Marseille, le navire de l'association Plastic Odyssey s'apprête à prendre la mer pour un périple de trois ans. Équipé de petites usines portables pour recycler le plastique ce navire a pour objectif de créer des filières de recyclage à l'international.



Dans le port autonome de Marseille, c'est un navire pas comme les autres. Le Plastic Odyssey, navire de l'association du même nom, est armé d'usines portables pour recycler le plastique.

Avant de partir le navire ouvre son pont au public, pour que cette aventure soit partagée mais aussi pour sensibiliser au recyclage et à la lutte contre la pollution plastique.

Du 23 au 25 septembre, un "village" Plastic Odyssey prendra ses quartiers sur le quai du Mucem et sera rythmé d’échanges et de rencontres avec l’équipe du projet, des ateliers ludiques et événements festifs.

Ce village Plastic Odyssey servira aussi à faire découvrir les outils d’exploration de Plastic Odyssey et célébrer le départ d’une expédition de 3 ans au service de l’urgence plastique. Pour rappel, chaque minute 19 tonnes de déchets plastique sont jetés et finissent à l'océan.

Rendre le recyclage rentable

L'association plastic Odyssey s'est lancé le défi d'un périple de 30 étapes dans des villes côtières d'Afrique et d'Asie.

Chaque étape durera trois semaines, dans des régions particulièrement victimes de la pollution plastique pour y développer, main dans la main avec les associations et entreprises locales, une filière économiquement viable du recyclage du plastique.

Pour Simon Bernard, co-fondateur de Plastic Odyssey et Officier de la marine marchande, le recyclage du plastique doit devenir une voie économique qui permet aux villes et communautés de se développer, tout en agissant concrètement contre la pollution plastique.

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3 years ago
26 minutes 27 seconds

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Agir pour le Vivant : le festival du changement à Arles

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


“Comment repenser nos liens avec le vivant et faire naître une nouvelle façon d’habiter le monde ?” Cette question est l’approche choisie pour la 3ème édition du festival “Agir pour le vivant”, qui se déroule à Arles du 22 au 28 août. Philosophes, économistes, scientifiques ou encore artistes viendront aider le grand public à réfléchir à cette problématique complexe. 

Décryptage avec Anne-Sylvie Bameule, membre du directoire d’Actes Sud, co-fondatrice du festival et Anne Drillaux, directrice de l’association arlésienne Petit à Petit, partie prenante du festival.

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3 years ago
27 minutes 7 seconds

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Jour de la Terre : une journée pour s'engager

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Créée en 1970, le Jour de la Terre fédère 193 pays autour d'une sensibilisation à notre impact individuel et collectif sur l'environnement. Pour cette 52e édition c'est le GERES, une ONG née à Marseille qui organise toutes les actions menées en France. Nina Pavan reçoit Gilles Martin-Gillis, Anaïs Padilla et Lucas Winkelmann.



Une journée pour s'engager, une journée pour sensibiliser. Depuis sa création dans les années 1970, le jour de la Terre a su convaincre de plus en plus de personnes. Ce sont désormais 193 pays qui y participent.

Pour la 52e édition du Jour de la Terre, c'est le GERES qui est en charge d'organiser et recenser toutes les activités et sensibilisations proposées.

Le GERES, « Groupement pour l'Exploitation Rationnelle de l'Energie Solaire », est une ONG créée à Marseille en 1976. Elle accompagne les plus démunis, en France et à l'étranger, vers de meilleures conditions de vie et sensibilise à notre impact sociétal et individuel sur l'environnement par notre mode de vie.

Ce Jour de la Terre, en 2022, trouve un écho alarmant dans l'actualité avec le dernier rapport du GIEC, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Ce rapport annonce trois ans à l'humanité pour réduire de façon suffisamment radicale son impact sur l'environnement pour espérer contenir le réchauffement climatique à 1,5 degré.

L'échéance se fait de plus en plus pressante et l'éco-anxiété gagne de plus en plus de citoyens, notamment les jeunes, qui n'arrivent plus à se projeter dans l'avenir. L'éco-anxiété, l'angoisse liée au dérèglement climatique, est d'ailleurs le thème retenu pour ce Jour de la Terre. Pour Anaïs Padilla, du GERES, l'engagement citoyen est l'un des remèdes à cette anxiété, pour ne pas être seul face à cette réalité, mais aussi pour devenir acteur du changement de société.

Passer à l'action vers une écologie intégrale

Dans la même veine que l'encyclique du Pape François Laudato Si, le GERES et ses équipes sont convaincues qu'une transition écologique doit mener vers plus de justice sociale. Ironie cruelle, les plus démunis, ceux dont l'impact environnemental est le plus faible, sont ceux qui souffrent le plus du dérèglement climatique : famines, sécheresse, tempêtes...

Nous faisons partie de la même maison climatique. Alors

n

ous, qui sommes nantis, devons revoir notre mode de vie, pour que chacun puisse vivre de manière décente

. Gilles Martin-Gillis

Environ trois milliards de personnes sont directement concernées par ce changement brutal, soit la moitié de la population la plus pauvre. Pour Gilles Charles-Gillis, directeur du GERES, il est essentiel que nous agissions, dans un "élan de solidarité climatique".

Selon une étude parue en 2019, les consommateurs seraient responsables de 25% de l'empreinte carbone humaine, l'industrie et les entreprises représenteraient 75%. En allant travailler à vélo, en triant mes déchets ou en achetant en vrac, le consommateur n'est-il pas au final que David contre Goliath ?

Pour Gilles Martin-Gillis : nous sommes à la fois David et Goliath. Consommateur et acteur. Client et employé de l'industrie. C'est par la sensibilisation et l'action, à tous les niveaux, que la protection de l'environnement et des plus faibles s'imposera partout.

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3 years ago
28 minutes 7 seconds

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Projet Azur : 3 aventurières de l'environnement !

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Anaëlle, Solène et Philomène ont décidé de faire de la lutte pour la protection de l'environnement une véritable aventure. Ces trois éco-aventurières parcourent les routes, les lacs et les rivages de France pour dépolluer la nature et sensibiliser la population.



Engagées, rigolardes, déterminées, ces trois éco-aventurières se sont bien trouvées. L'idée originale est venu d'Anaëlle Marot, qui, en 2020 se lance dans un périple en kayak, et vélo, long de mille kilomètres.

Sur son chemin, elle ramasse trois tonnes de déchets. Et le Projet Azur, est né. Les deux années qui suivent voient arriver Solène, puis Philomène, qui décident à leur tour de s'engager.

Solène d'abord, qui en 2021, pagaye sur 750 kilomètres, pédale sur 1200 kilomètres et marche encore 130 kilomètres. Plusieurs mairies s'investissent à ses côtés, des centaines de citoyens viennent à sa rencontre, et surtout, elle ramasse 800 kilos de déchets.

La dernière arrivée c'est Philomène. Elle pars le 5 mars prochain our sa première éco-aventure. Elle a voulu amener sa touche personnelle aussi. Alors puisqu'elle est illustratrice, elle veut réaliser une fresque, avec tous les citoyens qui viendront l'aider, de la longueur de son périple.

Et vous pourrez la suivre depuis la page Facebook du Projet Azur.

Le sport pour fédérer

Quitte à dépolluer et se confronter à la terrible réalité de la pollution, autant le faire en se lançant un défi personnel, en faisant la promotion de belles valeurs, et en proposant des activités ludiques à ceux et celles qui se joignent à l'aventure.

Lorsqu'elles partent en mer, les éco-aventurières regroupent les club nautiques. Quand elles partent à vélo, les clubs de cyclisme, ainsi de suite. Toutes les bonnes volontés sont bonnes à prendre et "plus on est de fous, plus on rit" n'aura sûrement jamais été aussi bien incarné.

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3 years ago
28 minutes 6 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
1 déchet par jour : un geste simple, de grandes actions

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


"Le pouvoir est entre tes mains", c'est le crédo simple de l'association 1 déchet par jour, créée à Marseille par Eddy, Georges-Edouard et Romain.

En ramassant un déchet par jour, un geste simple que tous peuvent faire, et en se prenant en photo, c'est un encouragement pour d'autres. C'est de cette idée simple qu'est née l'association.

Mais aussi de l'engagement sans failles d'amoureux de la nature.

Produire moins de déchets

Lors de la troisième grève consécutive du ramassage des poubelles, qui s'est terminée au début du mois de février, l'association 1 déchet par jour, parmi d'autres associations environnementales, a fait paraître une pétition pour demander à la présidente de la Métropole Aix-Marseille Provence, en charge de la collecte des déchets.

Cette pétition, au-delà de demander la reprise au plus vite du ramassage des ordures ménagères, demande la mise en place d'une vraie politique de promotion du zéro déchets.

Alors que Marseille a reçu le Congrès Mondial de la Nature en septembre 2021, les associations environnementales sont convaincues que la ville peut devenir un modèle d'une production de déchets contrôlée.

Un pari ambitieux dans une ville qui a produit en 12 jours de grève des éboueurs autour de 10.000 tonnes de déchets et où les chiffres du tri sélectif par habitants sont en baisse alors que la population augmente.

Love ta Bonne Mère

Ce sera la sixième édition. Ce dimanche 13 février vous avez rendez-vous pour une opération de ramassage de déchets au pieds de Notre Dame de la Garde, la Bonne Mère de Marseille.

C'est une première, sur l'opération Love ta Bonne Mère, un village durable sera installé. Il regroupera de nombreuses associations locales et proposera des ateliers ludiques.

Ce village durable acceptera une monnaie tout à fait unique : des déchets ! Les participants pourront ramener des déchets, trouvés par terre, pour les convertir en monnaie utilisable sur le village.

Ces déchets pourront être utilisés par des associations comme Sauvage Méditerranée qui les transforme en bijoux, ou Recyclop qui incinère les mégots de cigarettes pour en faire de l'électricité verte.

Parmi les ateliers proposés : des stands dédiés au "0 déchet", au fait-maison et à la transition écologique accessible à tous.

Tarpin Propre et World Clean up Day

1 déchet par jour ne manque pas d'idées pour engager les amoureux de la nature dans des actions concrètes. du 27 avril au 1er mai l'association organise Tarpin Propre, des ramassages de déchets en série sur toute la ville de Marseille.

Et en septembre 2022, elle fera partie des organisateurs de la journée mondiale du nettoyage des espaces naturels, le 17 septembre prochain.

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3 years ago
26 minutes 26 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
De l'électricité verte, en circuit court, avec des mégots

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Abdès Bengorine a fondé à Marseille l'association Recyclop, qui récupère et incinère les mégots de cigarettes pour les transformer en électricité. Accompagné de Paola Sgro, bénévole devenue salariée de l'association, ils nous présente l'histoire et l'action de Recyclop à Marseille.


Les mégots représentent 40% des déchets présents en mer Méditerranée. Faut-il le rappeler, la mer la plus polluée au monde.

Ce petit déchet, qui parcourt facilement des centaines de kilomètres au gré des vents, contient environ 2500 produits chimiques et contamine à lui seul jusqu'à 500 litres d'eau.

Créée officiellement en 2015 l'association Recyclop est née d'un constat : les mégots de cigarettes envahissent nos plages, nos espaces naturels et nos fonds marins. Abdès Bengorine a décidé d'agir, en ramassant tous ces mégots mais aussi en les revalorisant.

Recyclop s'est spécialisée, en s'appuyant sur un centre d'incinération industriel Spur Envrionnement à Rognac , sur l'incinération des mégots pour produire de l'électricité.

Pour Abdès Bengorine transformer les mégots en matériaux recyclés (comme des bancs ou de l'isolant) ce n'est pas idéal. La matière recyclée reste un matériau polluant, que les futures générations devront gérées. Recycler ces mégots cela voudrait aussi dire les envoyer dans des usines à l'autre bout du pays,en Bretagne précisément, Recyclop a choisi le circuit court et la destruction contrôlée de ce déchet.

Inclure le fumeur dans un processus vertueux

Abdès Benrogine le sait bien, puisqu'il est lui-même fumeur, la communication doit se faire de manière positive et ne pas stigmatiser en permanence les fumeurs. "Oui, le fumeur fait partie du problème, mais il peut faire partie de la solution."

A ce propos, pour Abdès Bengorine et Paola Sgro, interdire purement et simplement de fumer dans l'espace public c'est "déplacer le problème ailleurs". Des espaces dédiés seraient plus appropriés. C'est d'ailleurs le cas à Marseille puisque certaines plages sont désormais interdites aux fumeurs "ça je le comprends, il y a des enfants, des gens qui veulent profiter de la plage, mais il faut aussi permettre aux fumeurs d'exister et de les inclure dans une démarche qui respecte l'environnement." 

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3 years ago
27 minutes 54 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
L'écologie menstruelle : des protections réutilisables et plus saines

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Et si on vous disait que l'on peut retrouver des traces de glyphosate (ou ses dérivés), de chlore ou encore des phtalates (couramment utilisés pour leurs vertus plastifiantes) comme le DEPH, particulièrement préoccupant car suspecté d’altérer la fertilité, dans les produits d'hygiène féminine ?

En sachant qu'en moyenne une femme est réglée chaque mois pendant 38 ans... l'exposition à ces produits chimiques peut faire peur.

Dans une étude publiée par 60 millions de consommateurs on dénombrait plusieurs produits chimiques dans les produits d'hygiène menstruelle (serviettes, tampons et coupes menstruelles). Premier recours pour s'informer : la composition au dos de la boîte d'emballage. Sauf que les industriels n'ont que l'obligation d'inscrire les produits déjà listés comme allergènes dans une liste établie par l'Union Européenne.

Difficile d'aller plus loin pour savoir avec quoi le corps des femmes est en contact plusieurs jours par mois, tous les mois.

Il existe de plus en plus d'alternatives aux produits conventionnels, et d'abord chez les grands distributeurs. Peut-être un peu forcés par la demande des consommateurs, les grandes marques ont développer des gammes de produits féminins en coton bio, sans revêtement plastifiés ou sans parfums (pour les serviettes et les tampons notamment).

Mais il existe encore une autre option, assez peu utilisée en France : la coupe menstruelle. D'une durée de vie moyenne de 5 ans, qu'il faut choisir en silicone médical, la coupe menstruelle fait partie des produits dits intra-vaginaux.

Ce dispositif permet une utilisation prolongée (8h maximum) pour toutes les femmes, ayant eu ou non des enfants.

Avec la santé des femmes, l'écologie

Avec les serviettes lavables et les culottes menstruelles les coupes menstruelles sont réutilisables. Car au-delà de la santé des femmes, déjà un sujet non-négligeable, le bilan écologique de protections menstruelles non recyclables et à usage unique doit être mentionné.

Se lancer dans le "0 déchets" est à la mode, dans un soucis de protection de l'environnement. Mais difficile pour une femme d'y arriver en devant acheter chaque mois au moins une boîte de tampons ou de protèges-slips ! C'est là où les produits réutilisables ont fait leur apparition.

À Marseille, c'est jamais pareil

À Marseille une jeune entreprise commercialise des produits dont la composition est traçable, le coton des culottes est non seulement français mais aussi bio, le silicone des coupes médical et les serviettes lavables.

Fondée par Morgane Senbel l'entreprise Miü mise sur la qualité et la durée de vie de ses produits. Oui, le prix à l'achat peut paraître plus élevé, mais la rentabilisation, d'une culotte menstruelle par exemple, vaut l'investissement, que l'on soit étudiante ou en difficulté (5 ans moyen d'utilisation on le rappelle).

Oui il faut lâcher 40 euros à l'instant T, mais la culotte va durer 5 ans. Le coton bio par exemple, c'est trois fois plus cher de prendre le coton bio français, plutôt qu'au Portugal par exemple, donc ça est vraiment un choix. C'est sûr, on gagnerait beaucoup plus d'argent si on ne se mettait pas toutes ces contraintes. Mais je voulais prouver qu'on pouvait faire les choses bien et néanmoins être une entreprise rentable. Morgane Senbel.

Retrouvez tous leurs produits sur leur site internet, et pour changer dès maintenant de produits d'hygiène intimes, utilisez le code promo RCF15, que Morgane Senbel a choisi de partager avec nous !

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3 years ago
28 minutes 10 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Pleine Mer : porter son amour pour la méditerranée

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Créée par deux amis, Titouan et Victor, l'entreprise Pleine Mer Marseille c'est d'abord l'histoire de deux jeunes marseillais, épris de la mer et sensibles à l'impact écologique d'une garde-robe venue du bout du monde.

Amoureux de leur territoire, Titouan et Victor, n'ont pu que trouver insupportable la pollution engendrée par l'homme sur le milieu naturel, surtout en mer Méditerranée.

Repenser une industrie polluante

L'industrie textile représente à elle seule une pollution supérieure aux vols internationaux et au trafic maritime réunis.

Selon l'ADEME en 2050, le secteur textile émettrait même 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre si les tendances actuelles de consommation se poursuivent.

L'Asie représente le plus grand acteur dans la production de vêtements. Des produits polluants à la production et qui font aussi plusieurs fois le tour du monde.

De là naît une idée : fabriquer ici à Marseille des t-shirt de bonne qualité, respectueux de l'environnement. Mais une telle idée pose des défis, il faut pouvoir maintenir un prix abordable tout en faisant comprendre aux consommateurs que le prix est ici signe de qualité, trouver une source de coton assez propre (pour Pleine Mer Marseille c'est le Portugal) et enfin

Le prix est là, mais la qualité aussi

Pour le co-fondateur de Pleine Mer Marseille maintenir un prix accessible c'est soutenir aussi les étudiants. Encore jeune, le souvenir de l'époque étudiante n'est pas loin dans sa mémoire. Selon Titouan Blanc, il faut pouvoir acheter des t-shirts éco-responsables même lorsqu'on est étudiants.

Il rappelle en un sourire que si le t-shirt coûte moins cher il sera néanmoins mieux taillé, se déformera moins et durera plus longtemps.

Petit Bonus du couturier : pour chaque t-shirt acheté un euro est reversé à l'association Clean MY Calanques, investie dans la dépollution du littoral Provençal.

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4 years ago
25 minutes 31 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Découvrir Dieu dans les fonds marins

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


Avec 3000 plongées à son actif Chantal Di Meglio est une habituée de la mer. Cette marseillaise à l'accent haut en couleurs y trouve une symbolique spirituelle, qu'elle nous partage dans Commune Planète.

Elle n'aurait pourtant jamais pensé devenir si amoureuse de la mer, par amour pour son mari elle s'est mise à la plongée pour lui.

Depuis 40 ans Chantal Di Meglio et son mari explorent les espaces marins, à la fois proches de la nature et dans la nature. Une expérience qu'elle décrit comme bouleversante.

La mer Méditerranée, l'un des mers les plus polluées au monde, est pourtant l'un des endroits où elle aime particulièrement plonger. Si l'on pourrait croire que la Réunion, ou l'Île Maurice où les deux amoureux ont beaucoup plonger, soient à leurs yeux les plus beaux endroits du monde, il n'en est rien.

Berceau de la plongée sous-marine Marseille, les archipels de Riou et du Frioul sont connus mondialement pour des spot de plongée à couper le souffle. La rade de Marseille tient dans le coeur de Chantal Di Meglio une place toute particulière.

Se recueillir dans le silence

Pour Chantal Di Meglio le silence et la sérénité des fonds marins est un lieu privilégié pour rendre gloire à Dieu. Elle décrit avec émotion les tombées rocailleuses, couvertes de gorgones, ces coraux cornées, doucement éclairées par les rayons du soleil, qu'elle se plaît à contempler.

Un émerveillement qu'elle invite chacun à découvrir, elle le rappelle dans un sourire "il n'y a pas d'âge pour commencer à plonger".

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4 years ago
28 minutes 29 seconds

Reportages et émissions d'une passionnée de radio
Consommation : entre responsabilité et contentement (2/2)

Emission écrite, tournée, réalisée et montée par Nina Pavan pour la radio Dialogue RCF, Marseille


En 2020 le chiffre d'affaire d'Amazon a bondit de 40%. Avec la crise du Covid la consommation mondiale a fortement augmenté malgré la fermeture forcée de nombreux commerces.

L'image d'abondance sans conséquences de la société de consommation moderne s'est vue encore un peu plus fissurée par la crise du Covid-19. Pourtant la consommation n'a pas reculé.

La recherche du contentement peut-elle être une réponse à l'épuisement des ressources, des matières premières et à l'importance de la responsabilité du consommateur ?

Acheter c'est voter ?

De quoi est-on vraiment responsables ? Le consommateur est-il vraiment responsable de toutes les conséquences économies, sociales et environnementales dûes à la production des biens qu'il achète ?

On a parfois l'impression que le consommateur est directement responsable d'avoir tout tout de suite, mieux, plus vite moins cher. Cela fait peser une culpabilité forte sur le consommateur. Pour Yannick Imbert nous sommes responsables mais peut-être pas de tous les aspects de notre consommation, certaines chsoes nous échappent et échappent également aux gouvernements et institutions civiles.

Dire "acheter c'est voter", est dans un certain sens naïf, selon moi

.

Evoquant Jacque Ellul, Yannick Imbert rappelle que la recherche de l'efficacité à tout prix crée une société qui nous échappe. En recherchant un bouc émissaire idéal, c'est là que le consommateur se retrouverait sous le coup de toutes les accusations.

Pour le théologien, tout consommateur n'a pas le même pouvoir. Ni le même pouvoir d'achat, la même assise financière ou la même capacité à mettre en oeuvre les choix qu'il voudrait faire.

Alors comment trouver l'équilibre entre une consommation à impact bénéfique et un contentement dans notre manière de consommer ? Pour aborder ces sujets, Nina Pavan reçoit Yannick Imbert, doyen de la Faculté de théologie d'Aix-en-Provence.

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4 years ago
28 minutes 29 seconds

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