Bonjour à tous,
Depuis quelques jours, on assiste à un phénomène de plus en plus frappant sur les marchés :
la réaction post-résultats ressemble désormais à un grand huit de parc d’attractions.
Oubliez les variations sages de l’époque pré-TikTok.
En 2025, un titre peut perdre 40% entre votre café du matin et votre déjeuner.
Même des mastodontes.
Fiserv — 75 milliards le lundi, moins de 40 milliards le mercredi.
Un CFO qui part, des objectifs révisés… et pouf, disparition de valeur façon Houdini.
Deux lectures possibles :
👉 soit le marché est devenu très mauvais pour valoriser les entreprises,
👉 soit il corrige violemment des exubérances tout aussi irrationnelles,
👉 soit — peut-être — certains modèles d’affaires sont réellement remis en cause par la vague IA.
Fiserv vaut désormais environ 7,5 fois ses bénéfices estimés.
On est plus proche des multiples d’un équipementier auto que d’une fintech de qualité.
Ce qui pose une vraie question :
le marché anticipe-t-il la fin de l’histoire… ou juste une crise de panique collective ?
Ce qui est sûr, c’est que l’amplitude des mouvements est devenue délirante.
Hier, sept grosses valeurs du S&P 500 ont perdu plus de 10% — Meta, Cigna, Chipotle, eBay…
En Europe, même punition pour WPP, Kongsberg ou Arcadis.
Bienvenue dans le marché version 2025 :
🧠 narratif,
⚡ instantané,
📱 amplifié par les réseaux et les flux retail,
et souvent, déraisonnablement émotif.
Bonjour à tous,
La séance d’hier avait des allures de grand théâtre monétaire.
La Fed a ouvert le bal avec une nouvelle baisse de taux — un quart de point, comme prévu.
Rien de révolutionnaire, mais un message clair : on rallume un peu la liquidité pour soulager une économie qui commence à tousser côté emploi.
Surtout, la banque centrale américaine met un terme à son programme de réduction de bilan.
C’est fini les cures de désintox’ monétaire, retour à un régime plus hydraté pour Wall Street.
De quoi éviter que les tuyaux du système financier ne se dessèchent trop vite.
Mais attention : Jerome Powell a glissé un avertissement dans son discours.
👉 Décembre n’est pas une certitude pour une nouvelle baisse.
Résultat ?
Le 10 ans US a bondi autour de 4,07%, et la probabilité d’un assouplissement continu en 2025 a perdu quelques plumes — de 90 à 70%.
🎢 Wall Street a brièvement vacillé, puis s’est ressaisi.
Le Nasdaq, lui, vit dans sa propre réalité parallèle : cinquième séance de hausse d'affilée, nouveau record, et un moment symbole…
Nvidia 👑 a franchi la barre des 5 000 milliards de dollars de capitalisation.
Pour situer : c’est plus que l’intégralité du marché français… et un bon morceau de Londres en prime.
Bonjour à tous,
Les milliards d’investissements continuent de pleuvoir,
Donald Trump serre des mains à la chaîne en Asie,
et la Fed s’apprête à baisser ses taux.
Ajoutez à ça des résultats d’entreprises rassurants,
même chez les géants de la tech qui dépensent des fortunes dans l’IA
sans encore savoir si ça rapporte —
et vous obtenez une semaine où tous les voyants passent au vert.
Résultat : les indices américains ont battu hier soir leurs records… de la veille.
Pendant ce temps, l’Europe traîne un peu la patte,
handicapée par son manque de champions IA.
Mais attention, un nouvel acteur a fait une entrée fracassante dans la danse.
Bonjour à tous,
À Wall Street, la machine à records continue de tourner à plein régime.
Avec une seule séance de baisse sur les sept dernières, la bourse américaine reprend sa course effrénée vers de nouveaux sommets.
Le S&P 500 flirte désormais avec la barre des 7 000 points — plus que 1,8% à grimper.
Le Nasdaq 100 n’est plus qu’à 0,7% de la marque des 26 000,
et même le vénérable Dow Jones commence à lorgner les 50 000 points,
une étape encore symbolique mais de plus en plus crédible.
Alors, ces caps seront-ils des caps de Bonne Espérance ou des caps Horn ?
Autrement dit : les prémices d’un nouvel envol, ou les premiers signes d’une tempête boursière ?
Bonjour à tous,
Décidément, Donald Trump ne s’arrête jamais.
Alors que certains passent leur week-end à souffler, lui enchaîne les tournées diplomatiques comme d’autres les cafés serrés.
Vendredi soir, il décollait pour l’Asie.
Ravitaillement samedi au Qatar, rencontre avec l’émir et le Premier ministre directement à bord d’Air Force One.
Dimanche : arrivée en Malaisie, petit pas de danse sur le tarmac, accord de paix entre la Thaïlande et le Cambodge,
signature d’accords commerciaux et miniers avec ces pays,
participation au sommet de l’Asean,
et rencontre avec Lula, le président brésilien.
Bref, une tournée XXL, menée tambour battant.
Bonjour à tous,
Quand les montagnes ne sont pas russes, elles sont… chinoises !
Les marchés financiers continuent de suivre leur ascenseur émotionnel géopolitique, entre frissons, espoirs et rebonds.
Hier soir, Wall Street a retrouvé des couleurs, effaçant une bonne partie des pertes de mercredi.
Le déclencheur ? Une bonne nouvelle diplomatique : la confirmation d’une rencontre entre Donald Trump et Xi Jinping, le 30 octobre prochain, en marge du sommet de l’APEC, l’Organisation de coopération économique Asie-Pacifique.
La nouvelle est tombée vers 19h30, heure de Paris — juste à temps pour réveiller les acheteurs.
Alors oui, il est difficile de dire si cette entrevue accouchera d’un vrai compromis.
Mais pour le marché, peu importe : dès qu’on parle d’apaisement commercial, même symbolique, ça suffit à raviver la flamme.
Bonjour à tous,
Depuis quelques jours, les investisseurs s’emploient à remettre en question les paris les plus gonflés de l’année — l’or, l’intelligence artificielle et les cryptomonnaies.
Trois locomotives de 2025, trois symboles d’une euphorie qui avait fini par s’autoalimenter.
Pas de drame pour autant : ces actifs restent massivement gagnants depuis janvier.
Mais certains commencent à trouver la pente un peu raide, les valorisations un peu grasses, et les fondamentaux parfois… légers.
Bonjour à tous,
Petite question du jour : qu’est-ce qu’un actif à risque ?
Les manuels de finance disent que c’est un placement dont la valeur peut beaucoup varier, à la hausse comme à la baisse.
En clair : plus le risque est élevé, plus le potentiel de gain — ou de perte — l’est aussi.
Dans cette catégorie, on range volontiers la dette spéculative, les produits dérivés, les ETF à effet de levier, les cryptos, et bien sûr les actions, même si Air Liquide et Atos n’ont pas grand-chose à voir en termes de risque.
Mais l’or, lui, n’est normalement pas censé faire partie des actifs risqués.
C’est même l’inverse : un actif “sécurisé”, adossé à un bien physique, rare, universellement reconnu pour sa valeur.
Bonjour à tous,
Les marchés ont remis leur cape d’invincibilité.
En deux semaines, ils ont testé deux fois la solidité de leur tendance haussière… et à chaque fois, ils s’en sont sortis sans une égratignure.
Premier stress : le 10 octobre, lorsque les relations sino-américaines ont recommencé à se tendre.
Deuxième : jeudi dernier, avec la remontée des craintes sur le crédit américain, notamment autour des banques régionales.
Résultat ? Deux mini-souffles, vite effacés.
Hier soir, le S&P 500 terminait en hausse de 1,1%, à 6 735 points, à seulement 18 points de son record du 8 octobre.
En Europe, le Stoxx 600 gagnait 1%, quasiment revenu à ses plus hauts aussi.
Bref, tout va (presque) bien dans le meilleur des mondes boursiers — du moins pour le moment.
Bonjour à tous,
Les marchés ont connu une semaine bien agitée — un concentré de volatilité, de surréactions et de revirements express.
Entre la flambée puis la rechute des métaux précieux, le mini-panic sur les banques régionales américaines et les montagnes russes autour des publications trimestrielles, il y a eu de quoi tenir tout un feuilleton boursier.
Bonjour à tous,
Les marchés financiers ont retrouvé un vieil ennemi hier soir : la peur du crédit.
Une crainte qu’on croyait enfouie depuis la crise des banques régionales américaines en 2023, mais qui refait surface. Et comme souvent, il a suffi de quelques signaux pour rallumer les tensions.
Bonjour à tous !
Les marchés européens ont encore joué à se faire des nœuds au cerveau hier.
Faut-il continuer de miser sur les stars de l’année — défense et finance — ou revenir vers les cycliques et la tech, encore à la traîne ?
La séance d’hier a offert un cas d’école, portée par deux mastodontes : LVMH et ASML, qui ont rappelé à tout le monde que même après un long passage à vide, les grandes valeurs savent encore surprendre.
Bonjour à tous !
Les marchés ont retrouvé un peu de nervosité : entre publications d’entreprises, tensions commerciales relancées entre Washington et Pékin, et discours de Jerome Powell, les investisseurs ont eu de quoi cogiter.
On débriefe une séance en clair-obscur, marquée par des résultats contrastés, une tech en baisse, et des métaux qui font encore des étincelles.
Bonjour à tous !
Ce matin, les marchés digèrent la dernière crise de nerfs de Donald Trump — suivie, évidemment, d’un geste d’apaisement tout aussi spectaculaire.
Résultat : la volatilité est revenue, l’argent et l’or flambent, et les investisseurs se demandent si les valeurs refuges n’ont pas définitivement pris le pas sur les devises.
On parlera aussi de la saison des résultats qui s’ouvre aujourd’hui, et de ce qu’on attend du discours de Jerome Powell ce soir.
Bonjour à tous !
Les marchés commencent la semaine avec un peu plus de tension qu’à l’accoutumée. Donald Trump a ravivé la nervosité des investisseurs après un nouveau bras de fer avec la Chine, avant de calmer le jeu en fin de week-end.
Entre montée de la volatilité, publications d’entreprises qui s’annoncent massives et indicateurs économiques perturbés, on entre dans une semaine charnière.
Bonjour à tous !
Ambiance calme sur les marchés pour finir la semaine. Les investisseurs hésitent entre consolidation et attente avant le coup d’envoi des publications du troisième trimestre.
Aujourd’hui, on revient sur cette accalmie, sur une histoire étonnante autour de l’argent métal, et sur les petits rebonds géopolitiques du moment.
Bonjour à tous !
Les marchés ont retrouvé leur petite routine. Après quelques divergences en début de semaine, tout est reparti de plus belle : nouveaux records à Wall Street, reprise tranquille en Europe, et un moral globalement solide malgré un contexte géopolitique toujours sensible. Ce matin, on parle de Nvidia, de la Fed, du yen japonais, et de la Chine qui ressort ses armes commerciales.
Bonjour à tous !
Ce matin, deux grands sujets dominent :
• Le doute qui s’installe doucement autour du modèle économique de l’intelligence artificielle, malgré les milliards investis,
• Et la flambée spectaculaire de l’or, qui vient de franchir une barre symbolique.
On parlera aussi de la situation politique et de la dynamique des marchés asiatiques avant l’ouverture européenne.
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, on parle du grand bal del’intelligence artificielle, où AMD, Nvidia et OpenAIs’échangent les milliards comme d’autres s’échangent des politesses. On verracomment cette effervescence fait décoller tout le secteur des semi-conducteurs,pendant qu’en Europe, la politique s’invite sur les marchés. Et comme toujours,on jettera un œil rapide à l’Asie et au programme économique du jour.
Bonjour à tous !
Aujourd’hui, on va revenir sur un marché américain qui continue d’enchaîner les records malgré le shutdown, sur l’énorme buzz autour de l’intelligence artificielle, et sur un rebond marqué en Europe dans des secteurs jusque-là en retrait. On jettera aussi un œil à l’Asie-Pacifique, où la tendance est un peu plus contrastée.