Le surf au bout des vignes, c'est une série de podcasts qui parcourt 50 ans d'histoire du Surf en Nord Médoc, des années 70 à aujourd'hui. En seulement deux générations, le surf y a connu un développement fulgurant, comme ailleurs sur le littoral. A travers le témoignage de surfeurs et de surfeuses de chacune de ces générations, des pionniers aux millenials. Le podcast vous embarque en musique pour un voyage dans l'esprit du surf, au creux de la vague.
En partenariat avec Surf Session
Mixage : Rémy Lesperon
Graphisme : Marion Cochat
Discographie (artiste, morceau)
Génériques : ouverture : Hari Sima/ Somnium ; fermeture : Sam Prekop/ September Remember
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Le surf au bout des vignes, c'est une série de podcasts qui parcourt 50 ans d'histoire du Surf en Nord Médoc, des années 70 à aujourd'hui. En seulement deux générations, le surf y a connu un développement fulgurant, comme ailleurs sur le littoral. A travers le témoignage de surfeurs et de surfeuses de chacune de ces générations, des pionniers aux millenials. Le podcast vous embarque en musique pour un voyage dans l'esprit du surf, au creux de la vague.
En partenariat avec Surf Session
Mixage : Rémy Lesperon
Graphisme : Marion Cochat
Discographie (artiste, morceau)
Génériques : ouverture : Hari Sima/ Somnium ; fermeture : Sam Prekop/ September Remember
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Le surf, une histoire de familles, épisode 2
Pour sa 4 ième saison, le surf au bout des vignes s'intéresse aux liens que la pratique du surf peut susciter à l'intérieur d'une famille. Le mot Famille vient du terme latin "fama", autrement dit, la réputation, le blason, l'emblème, c'est à dire au fond les valeurs que partagent les membres d'un groupe unit par les liens du sang, et qui les distinguent des autres.
Ce deuxième épisode et consacré à la famille Trut, et en particulier à Phillipe Trut et à sa fille Marine, ici réunis pour parler de la manière dont le surf résonne dans leurs vies.
J'ai rencontré Philippe Trut un jour d'été, alors que les vagues étaient belles et gentilles... Le pic était quelque peu saturé par la foule des beaux jours. Au moment de partir sur une vague, me voilà stoppé net dans mon effort. Je me retourne, surpris, décontenancé, et je vois alors un bonhomme s'exclamer "Tu me passes devant!" C'était Philippe Truth qui avait attrapé mon leash pour m'empêcher de prendre une vague que, de toute façon, selon moi, il n'aurait pas eu puisqu'il était trop loin...
Quelques temps plus tard, autre jour, autre session, nous nous sommes retrouvés seuls sur le parking, étant arrivés les premiers... Je marchais dans sa direction, la main tendue, et nous voici…
Rencontre avec un grand monsieur du surf en Nord Médoc, un pionnier de la glisse par ici.
Playlist:
Kirikik/ The begining of everything////
Julianna Barwick/ Inspirit////
David Kitt/ Come by hear////
Baby dayliner/ Raid////
Keith Kenniff/ Arches////
Space Ghost/ New Day////
Shima 33/ Taking time
Buffalo Springfield/ For what its worth////
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Le surf, une histoire de familles
Pour sa quatrième saison, Le surf au bout des vignes s'intéresse aux liens que la pratique du surf peut susciter à l'intérieur d'une famille. Le mot Famille vient du terme latin "fama", autrement dit, la réputation, le blason, l'emblème, c'est à dire au fond les valeurs que partagent les membres d'un groupe unit par les liens du sang, et par lesquelles il se distingue des autres.
Nous retrouvons dans ce premier épisode la famille Duprat, qui compte 3 générations de surfeurs et surfeuses unis dans le plaisir de glisser sur les vagues. Nous nous rencontrons dans le fief soulacais du clan, une villa nichée entre les pins, tout près des plages sud de Soulac, pour un entretien au jardin.
Take off !
Playlist:
Générique: Shoko Igarashi/Lovely song
Test Card/Seventeen guitars and one piano
Nick sheppard/Dusk
Moderat/Soft edit
Hiro Ama/From joy to sorrow
Koray Kantarcioglu/schaffhausen
De laurra/Still phasing
N Kramer/Closing
Julius Smack/Ashes in water
Wema/Wema Outro
Stacks/People Around (original)
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Gesa ronge est une artiste surfeuse, ou une surfeuse artiste, et il faudrait pour exprimer justement la place que l'art et le surf occupe dans sa vie qu'aucun des deux termes ne précède ou ne suive l'autre, tant ils sont équivalents chez elle.
Gesa est originaire de Wuppertal, une petite ville d'Allemagne connue pour avoir compté dans ses murs l'immense chorégraphe Pina Bausch, et son célèbre Tanzteater. Mais il y a peut être aussi, entre Gesa et Pina, une parenté autre que géographique, et qui tiendrait à la représentation du corps: un corps qui, bien qu'élancé, blessé ou tourmenté, rayonne d'une mystérieuse aura.
De même, Gesa a pratiqué la danse classique avant de se tourner vers le dessin, la peinture et la sculpture, où son sujet demeure le mouvement, et en particulier le mouvement de surf, une pratique dont la découverte fut pour elle concomitante de son entrée à l'université des beaux arts de Hambourg. C'est là, au sein de cette prestigieuse école, qu'elle décide encore jeune de creuser ce qui deviendra le sujet de sa vie, la vague. Un sujet qu'elle sillonne inlassablement depuis 20 ans avec toutes sortes de support et de matériaux, des planches de surf, des pinceaux, du bois, du papier, des couleurs…
C'est dans son atelier, chez elle, quelque part dans la forêt médocaine, que nous nous sommes rencontrés pour la première fois, avant d'aller taquiner Parlementia par une belle journée de janvier. Je n'avais jamais surfé la célèbre vague. Gesa me prêta une de ses magnifiques planches. En plus d'être initié, je la vis attraper les plus belles vagues de la session, patientant tranquillement outside, et partant parfois pieds joints sur de jolis monstres, à l'ancienne, dans un style admirable.
Magnifiques visions.
En pensant à Gesa Ronge, me viennent à l'esprit ces quelques mots :
Je suis celle qui suis
ou
"Follow the flow"..."
Discographie:
Intro: Herbert-Going to live
Daniel Avery-Illusion of time
Kiwi-waves
Intersum-Mechanist
Cusco-everfrost
Netsh-See you on the other side
Epic 45- Old light
Locus-Answering Now
Klement-Le courage des oiseaux
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C’est l’histoire d’une famille, et cela aurait dû constituer en soi la thématique d’une saison à part entière. Mais, c’est aussi l’histoire de deux sœurs, Ainoah et Sarah Leiceaga, l’histoire de deux championnes de France. Ce qui importe ici, ce qui compte vraiment, ce que nous aimerions faire entendre, c’est la beauté des liens qui unissent cette famille exemplaire de ce que peut être une vie vécue pour le Surf. Entre sacrifice, gloire des victoires et défaite des défaites, une vie engagée à la conquête de l’équilibre.
Take off
Track listing
Générique Mathew Herbert- Going to live
Boards of Canada- Poppy Seed
Aphex Twin- Stone In Focus
Absolute Body Control- Is There an Exit
Mouse on Mars- They know your name
Kid606- Monsters (Doshy remix)
Solvent- For you
Rexy & Grzegorz Bojanek-Narcissist (vic’s Alternative Version)
?-Ultra
Glass candy- Warm in the winter
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Virginie Seveleder est native du pays bigouden, dans le Finistère. Après un éloignement pour cause de carrière, elle fait le choix de revenir y vivre pour contacter ses racines et se tenir tout prés de l’Océan dans lequel elle pratique, entre autres disciplines, le sport des rois.
Son récit est celui d’une très authentique beach girl et, à l’entendre, on se dit que, décidément, les valeurs du surf sont très bien représentées et défendues lorsque les femmes prennent la parole.
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Pamela Thomson est une belle personne, dont la présence modeste et pourtant rayonnante force le respect. Elle nous offre ici le récit de ses voyages en Australie et en Amérique du sud par lesquels elle s'émancipa d'un horizon limité et acquis la force de se tenir debout sur les vagues comme dans la vie.Rencontre avec une pure Beach Girl.
Playlist :
Générique : Herbert
Jet jaguar-Soft orange
Memotone- Walking backwards
Vulpix- Feels like sunday
Megumi acorda- You forgot to say goodbye
Hoyah- Crickets o.t. porch
Ex pilots- Exactly like you
Packed rich- Transcending
Typical girls- Grapefruit
African american sound recordings- ?
GRLMN- Beauty
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A Soulac, il est une silhouette reconnaissable entre toutes, celle d'Eric Ricou Delthil.
Quand les houles d'hiver viennent frapper le banc de sable en mode bien gras et super creux, en hang-five bien calé au fond de la poche, il est là.
L'histoire raconte qu'un jour d'été, Mikey Baxerres, un des frères pionnier du surf à Soulac interpella le jeune Eric qui n'était encore qu'un minot qui pratiquait « la biscotte » comme on disait alors. Et l'ancien de lui dire : « On ne se couche pas dans les vagues ! On se tient debout sur une vague !Viens avec moi ! » « L'Ovni », comme on l'appelait alors, prêta son longboard au jeune Eric qui partit au large et prit une très longue vague, jusqu'au bord. « La première fut la bonne », le flambeau était transmis.
Depuis Eric Delthil ne s'est plus jamais arrêté.
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Récit d'un Beach Boy voyageur.
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Quelque part entre Huckelberry Finn, The dude, Joe l'indien ou Jésus, Yann Rimmer est un homme dont la présence évoque une multitude de figures mythiques.
La douceur de sa voix et sa sensibilité contraste avec la rigueur de son physique, genre trappeur des grandes steppes ou bûcheron kossovar.
Et en effet, nos entretiens vont découvrir une personne marquée par l'expérience d'une vie à la ferme et forestière, une vie bien ancrée dans la terre, où le soin des animaux et une veille constante sur l'environnement rythme les journées au fil des saisons.
Yann Rimmer, c'est un gentleman farmer et surfer, une force de la nature à la parole impeccable quand il s'agit d'évoquer ce que le surf représente dans sa vie.
Générique : Brett Naucke-Vanity well
Hayden Casey-Windows
Gallery six- Kikugahama
Girlpuppy-As much as i can
Johnny Nash-Cristina and Carolina
Eberhard Weber- Fluid rustles
Heiko Voss- This summer
Geddy Laurence- Just one of those things
Atom tm- Almost a unit
Simon Mils-Badhbh
Sulka-Hollow days
Crédit photo Olivier Brugerie di Puglia
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Vincent l=Le Guel est un garçon tranquille.
Il émane de lui quelque chose d'Alexandre le bienheureux.
Un flegme
qui le place d'emblée sous le signe rare de la haute coolitude du vrai beach boy.
Vincent appartient à une génération nouvelle
de néo-hyppies pourrait on dire
qui incarnent bien l'esprit 70's qui habitait le surf avant qu'il ne se vende à la Marchandise.
Tranquillement mais sûrement
cette génération de la grande démission
s'invente de nouveaux modes d'existences,
sans l'illusion ou la prétention de vouloir changer « le système ».
Elle l'ignore tout simplement
et se construit tranquillement une autre vie
loin des administrations fantômes, des bureaux vides, des usines à douleurs de la communication sans limite.
Cette jeunesse là, réputée marginale, est en fait le vrai centre d'un monde en devenir
où s'invente tranquillement, radicalement et de manière décisive une autre manière de vivre.
Générique : Brett Naucke-Vanity well
Shortwave broadcaster-Afraid of AI
Ruby- Imperfector
halftribe- Clearing
Qapaq inti raymi-SCHE
Emily A Sprague- Star gazing
Katin-WEM lagoon jump
Alah-las-Don't you forget it
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La deuxième saison du Podcast Le Surf au bout des vignes vous emmène à la découverte de véritables Beach boys, des garçons qui ont consacré leurs vies au surf.
Gordon Sikora est né en RDA à la fin des années 70. Après avoir voyagé dans le monde pour découvrir le surf, il est arrivé sur la plage de la Torche en 2009 et n'en est jamais parti. Il expose avec une clarté absolue les avantages qu'offre la vie de beach boy, une vie aristocratique où l'on se donne le luxe du temps, mais qui, cependant, ne va pas sans sacrifice.
générique : Brett Naucke-Vanity well
kosmonaute-Electromagnetic fields
Samai Rose Joe Louis- Pity yourself
Business school- Loose you
Backyard feat Catnapp- RIP swirl
Golden brown- The lyre tree
Suumhow-Encore
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Elina et Marie Lou Bertet ont 20 ans. Ces deux sœurs jumelles ont démarré le surf dans l'enfance, au sein du club de leur ville : le kokoloco surf club, à Montalivet. Contrairement aux générations précédentes, elles ont bénéficié d'accompagnement, d'un cadre sécurisant, d'accès à du matériel, signes que la pratique du surf s'est institutionnalisée. Elles témoignent des tensions qui se jouent à l'eau entre garçons et filles, et de la pluralité de styles que l'on trouve aujourd'hui dans la pratique puisque l'une est longboardeuse, pratiquant le surf rétro, et l'autre a opté pour le shortboard.
Le surf au bout des vignes, c'est une série de podcasts qui parcourt 50 ans d'histoire du Surf en Nord Médoc, des années 70 à aujourd'hui. En seulement deux générations, le surf y a connu un développement fulgurant, comme ailleurs sur le littoral. A travers le témoignage de surfeurs et de surfeuses de chacune de ces générations, des pionniers aux millenials. Le podcast, propulsé par Moustic Studio et raconté par Guillaume Moreau, vous embarque en musique pour un voyage dans l'esprit du surf, au creux de la vague.
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Isabelle Lafon commence le surf dans les années 90, à une époque où les premières écoles apparaissent et où des citadins peuvent s'initier à la pratique. Après cette initiation, elle rejoint une bande de surfers qui l'adoptent et l'emmènent dans les vagues. Elle décrit les joies et les difficultés de sa pratique, entre matériel pour mec, puis maternité, il n'est pas toujours facile de pouvoir surfer. Elle décrit les rituels qui jalonnent la pratique, l'avant surf, l'après surf...Elle nous parle de sa reconversion professionnelle, quand le besoin de surf est devenu si brûlant qu'elle entreprît, à quarante ans passé, de passer le diplôme de Moniteur Fédéral...
Le Surf au bout des vignes, c'est une série de podcasts qui parcourt 50 ans d'histoire du Surf en Nord Médoc, des années 70 à aujourd'hui. En seulement deux générations, le surf y a connu un développement fulgurant, comme ailleurs sur le littoral. A travers le témoignage de surfeurs et de surfeuses de chacune de ces générations, des pionniers aux millenials. Le podcast, propulsé par Moustic Studio et raconté par Guillaume Moreau, vous embarque en musique pour un voyage dans l'esprit du surf, au creux de la vague.
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Franck Henry commence le surf dans les années 80, alors que les pionniers Mickey et Pierrot Baxerres ont été rejoint par d'autres et qu'une petite bande commence à sillonner les plages du Nord Médoc. Sa parole dresse le tableau d' une époque où le surf était un art de vivre. Il oppose l'esprit de cette période à celui d'aujourd'hui, où le culte de la performance et l'institutionnalisation de la pratique ont, à ses yeux, dénaturé cet esprit. A travers son récit, on suit l'évolution générale du surf : les planches se raccourcissent, le surf devient plus radical, à l'image d'un rock contaminé par le punk. Mais l'apparition du surf business engendre en Nord Médoc des tensions qui se règle parfois à coup de fusils...
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Le podcast s'ouvre par le témoignage de Mickey et Pierrot Baxerres, deux frères septuagénaires, pionniers du surf en Nord Médoc. Ils décrivent au cours de l'entretien leur découverte du sport dans les années 60, au moment où personne ne le pratiquait encore sur la pointe médocaine. On suit leur voyage jusqu'à Biarritz, où ils rencontrèrent « les tontons surfers », la fameuse bande du pays basque qui fut à l'origine de la pratique en France. Entre ingénuité et ingéniosité, Mickey et Pierrot témoignent du feeling de la glisse. Lorsque le surf se hisse au rang d'une pratique spirituelle.
Le Surf au bout des vignes, c'est une série de podcasts qui parcourt 50 ans d'histoire du Surf en Nord Médoc, des années 70 à aujourd'hui. En seulement deux générations, le surf y a connu un développement fulgurant, comme ailleurs sur le littoral. A travers le témoignage de surfeurs et de surfeuses de chacune de ces générations, des pionniers aux millenials. Le podcast raconté par Guillaume Moreau, vous embarque en musique pour un voyage dans l'esprit du surf, au creux de la vague.
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