La Croix-Rouge française, mobilisée depuis le début de la crise sanitaire, constate une augmentation de 25% des besoins en aide alimentaire. La crise aggrave la situation des plus pauvres et fait basculer de nouveaux publics dans la précarité. Plus de 90% des structures d’aide alimentaire de la Croix-Rouge française accueillent de nouveaux profils : +23% d’étudiants et de travailleurs indépendants et commerçants, +64% de chômeurs, +63% de travailleurs pauvres, +40% de personnes en situation de grande exclusion et +37% de retraités.

Une situation qu’accueillent dorénavant chaque semaine, Constance et les 67 000 bénévoles de la Croix-Rouge française, qui engagés, tentent collectivement de faire changer les choses.

Premiers témoins de cette crise, ils font tous le même constat : « plus d’étudiants », « des familles nouvelles », des « publics qui sont aujourd’hui dans une situation extrêmement précaire, qui ont tout perdu ». Car au-delà de l’aide alimentaire, ils ont à cœur d’accompagner, d’écouter et de protéger ceux qu’ils accompagnent, partout en France.

Voici Constance, bénévole à l'épicerie solidaire dans le XVe arrondissement à Paris.

Elle réussit dans son école de commerce. Elle excelle à l'école de la vie.

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Depuis le début de la crise sanitaire, les 67 000 bénévoles de la Croix-Rouge française font face à une hausse de + 25% des demandes d’aide alimentaire. Une augmentation qui traduit aujourd’hui une réalité inédite : la crise fragilise davantage les plus pauvres et fait basculer de nouveaux publics dans la précarité. Car la crise n’épargne personne : des jeunes et des travailleurs dont les CDD ne sont pas renouvelés, des intérimaires et saisonniers qui ne retrouvent pas de missions, des retraités isolés ou des familles avec enfants… mais aussi des artisans, des travailleurs indépendants et des commerçants, près de chez nous.

Car, s’ils ont tous un parcours personnel et une histoire de vie différente, c’est une même réalité qu’ils subissent dorénavant : alors qu’ils gagnaient leur vie, 2020 voit un tournant majeur dans leur quotidien.

Au cœur de cette situation, Antoine, nouvellement bénéficiaire de l’aide de la Croix-Rouge française depuis quelques mois, nous racontent, comment il a brutalement basculé dans la précarité.

Voici Antoine, ancien vendeur expert en maroquinerie de luxe, sans emploi quand la clientèle d'Asie s'en est allée.

Remercié par la société. Reconnaissant envers la solidarité.

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La Croix-Rouge française, mobilisée depuis le début de la crise sanitaire, constate une augmentation de 25% des besoins en aide alimentaire. La crise aggrave la situation des plus pauvres et fait basculer de nouveaux publics dans la précarité. Plus de 90% des structures d’aide alimentaire de la Croix-Rouge française accueillent de nouveaux profils : +23% d’étudiants et de travailleurs indépendants et commerçants, +64% de chômeurs, +63% de travailleurs pauvres, +40% de personnes en situation de grande exclusion et +37% de retraités.

Une situation qu’accueillent dorénavant chaque semaine, Anne-Marie et les 67 000 bénévoles de la Croix-Rouge française, qui engagés, tentent collectivement de faire changer les choses.

Premiers témoins de cette crise, ils font tous le même constat : « plus d’étudiants », « des familles nouvelles », des « publics qui sont aujourd’hui dans une situation extrêmement précaire, qui ont tout perdu ». Car au-delà de l’aide alimentaire, ils ont à cœur d’accompagner, d’écouter et de protéger ceux qu’ils accompagnent, partout en France.

Voici Anne-Marie, bénévole à l'espace Bébé Parents de Boulogne.

Elle s'occupe des mères. Pour qu'elles puissent redevenir femmes.

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Depuis le début de la crise sanitaire, les 67 000 bénévoles de la Croix-Rouge française font face à une hausse de + 25% des demandes d’aide alimentaire. Une augmentation qui traduit aujourd’hui une réalité inédite : la crise fragilise davantage les plus pauvres et fait basculer de nouveaux publics dans la précarité. Car la crise n’épargne personne : des jeunes et des travailleurs dont les CDD ne sont pas renouvelés, des intérimaires et saisonniers qui ne retrouvent pas de missions, des retraités isolés ou des familles avec enfants… mais aussi des artisans, des travailleurs indépendants et des commerçants, près de chez nous.

Car, s’ils ont tous un parcours personnel et une histoire de vie différente, c’est une même réalité qu’ils subissent dorénavant : alors qu’ils gagnaient leur vie, 2020 voit un tournant majeur dans leur quotidien.

Au cœur de cette situation, Sarah, nouvellement bénéficiaire de l’aide de la Croix-Rouge française depuis quelques mois, nous racontent, comment elle a brutalement basculé dans la précarité.

Voici Sarah, ancienne autoentrepreneur, à la tête de son salon d'esthétique, détruit dans un incendie.

Un bébé en 2020. Pas de lait pour son biberon.

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La Croix-Rouge française, mobilisée depuis le début de la crise sanitaire, constate une augmentation de 25% des besoins en aide alimentaire. La crise aggrave la situation des plus pauvres et fait basculer de nouveaux publics dans la précarité. Plus de 90% des structures d’aide alimentaire de la Croix-Rouge française accueillent de nouveaux profils : +23% d’étudiants et de travailleurs indépendants et commerçants, +64% de chômeurs, +63% de travailleurs pauvres, +40% de personnes en situation de grande exclusion et +37% de retraités.

Une situation qu’accueillent dorénavant chaque semaine, Christian et les 67 000 bénévoles de la Croix-Rouge française, qui engagés, tentent collectivement de faire changer les choses.

Premiers témoins de cette crise, ils font tous le même constat : « plus d’étudiants », « des familles nouvelles », des « publics qui sont aujourd’hui dans une situation extrêmement précaire, qui ont tout perdu ». Car au-delà de l’aide alimentaire, ils ont à cœur d’accompagner, d’écouter et de protéger ceux qu’ils accompagnent, partout en France.

Voici Christian, bénévole à l'Unité Locale de Lille. Il a vu la précarité changer. Les demandes d'aide doubler.

Sa révolte et son engagement ont redoublé.

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Depuis le début de la crise sanitaire, les 67 000 bénévoles de la Croix-Rouge française font face à une hausse de + 25% des demandes d’aide alimentaire. Une augmentation qui traduit aujourd’hui une réalité inédite : la crise fragilise davantage les plus pauvres et fait basculer de nouveaux publics dans la précarité. Car la crise n’épargne personne : des jeunes et des travailleurs dont les CDD ne sont pas renouvelés, des intérimaires et saisonniers qui ne retrouvent pas de missions, des retraités isolés ou des familles avec enfants… mais aussi des artisans, des travailleurs indépendants et des commerçants, près de chez nous.

Car, s’ils ont tous un parcours personnel et une histoire de vie différente, c’est une même réalité qu’ils subissent dorénavant : alors qu’ils gagnaient leur vie, 2020 voit un tournant majeur dans leur quotidien.

Au cœur de cette situation, Christine, nouvellement bénéficiaire de l’aide de la Croix-Rouge française depuis quelques mois, nous racontent, comment elle a brutalement basculé dans la précarité.

Voici Christine, ancienne assistante de direction bilingue, brutalement licenciée à cause du virus.

Ancienne aidante. Aujourd’hui aidée.

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