Après un mois de silence, Cappuccino & Croissant revient avec un épisode brut, introspectif et nécessaire. Pas de façade, pas de stratégie : juste une réflexion sincère sur l’épuisement créatif, la perte de sens, et ce que signifie “se recalibrer” dans un monde où tout va trop vite.
Dans cet épisode, Harmonie De Mieville raconte son propre arrêt forcé — celui d’un corps et d’un esprit saturés par la performance, la lumière artificielle et la peur de disparaître quand on cesse de produire. Elle y parle de doute, de dérèglement, de lucidité, mais aussi de renaissance. Une traversée du vide, racontée avec la précision d’une plume journalistique et la douceur acide qui définit Cappuccino & Croissant.
Un épisode sur le vrai sens de la pause, sur la fatigue qu’on ne montre pas, et sur la possibilité de recréer sans se trahir. Parce que parfois, s’arrêter n’est pas une défaite : c’est un acte de survie.
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Mots-clés (pour référencement automatique) : introspection, burnout créatif, santé mentale, authenticité, podcast francophone, cappuccino & croissant, Harmonie De Mieville, créativité, ralentir, reconstruction, réflexion, art de vivre, podcast culture et société, lucidité, narration immersive.
La Fashion Week de Milan Printemps/Été 2026 n’a pas ressemblé à une Fashion Week. Elle a ressemblé à un festival de cinéma. Gucci a projeté une satire filmée avec Demi Moore, Versace a mis en scène Pasolini en talons aiguilles, Diesel a transformé la ville en chasse au trésor interactive, Bottega Veneta a déroulé un documentaire d’archives, et Giorgio Armani a signé son ultime générique de fin.
Dans cet épisode spécial de Cappuccino & Croissant, je décortique ces moments comme un critique ciné plus qu’un journaliste mode. Pas de liste de tendances ni de tissus à la loupe : on parle ici de narration, de dramaturgie, de mise en scène. Parce que Milan a prouvé une chose simple : la mode n’est plus seulement des vêtements, c’est du récit.
🎬 Au programme :
– Gucci : un court-métrage satirique qui transforme le podium en écran.
– Versace : un théâtre sensuel et instable, digne de Pasolini.
– Diesel : un happening participatif, Milan transformée en plateau de jeu.
– Bottega Veneta : un documentaire vivant qui valorise le temps long.
– Armani : une révérence silencieuse, générique de fin d’un maestro.
Un épisode dense, ironique et analytique pour comprendre pourquoi Milan est devenu le Hollywood de la mode.
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Pendant que Gucci et Diesel faisaient du bruit, Bottega Veneta et Armani ont choisi le silence. Louise Trotter a présenté sa première collection comme un documentaire d’archives, sobre et précis. Giorgio Armani, lui, a tiré sa révérence avec un défilé ultime, chorégraphié comme un générique de fin. Dans cet épisode, je raconte comment deux gestes différents rappellent que la mode peut encore être sérieuse, lente et élégante.
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[Bottega Veneta, Louise Trotter, Giorgio Armani, Fashion Week Milan 2026, mode documentaire, générique de fin, archives luxe]
Glenn Martens a hacké la Fashion Week. Cinquante-cinq mannequins enfermés dans des capsules transparentes disséminées dans Milan, QR codes à scanner, looks à débloquer… Diesel a transformé le défilé en chasse au trésor interactive. Dans cet épisode, on analyse cette démocratisation sauvage du luxe : un Pokémon Go du denim qui secoue les hiérarchies. Gadget ou futur de la mode ?
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[Diesel, Glenn Martens, Fashion Week Milan 2026, mode interactive, défilé urbain, mode participative, luxe démocratisé]
"Il y avait une ligne fine entre aimer et détruire… et elle l’a franchie."
C’est la phrase qui ouvre À Travers Ses Yeux. Et c’est aussi la promesse : un roman qui ne cherche pas à rassurer, mais à te hanter.
Emma n’est pas une héroïne parfaite. Elle n’est pas là pour être admirée ni pardonnée. Elle est obsédée, vulnérable, dangereuse. Sa vie bascule lorsqu’elle croise Alex Sterling, mannequin inaccessible et fantasme incarné. Ce qui commence par un regard devient une spirale où la frontière entre admiration et possession disparaît.
J’ai écrit ce livre comme une expérience immersive : tu ne regardes pas Emma, tu deviens Emma. Tu entends ses pas dans le couloir, tu retiens ton souffle devant une porte close, tu ressens la brûlure de ses pensées qui tournent en boucle. Chaque chapitre est une montée en tension, une obsession qui se propage jusque dans ton propre esprit.
À Travers Ses Yeux n’est pas une romance. Ce n’est pas non plus un thriller classique. C’est une plongée dans les failles de notre époque : le voyeurisme numérique, la toxicité des fandoms, la solitude amplifiée par les écrans. C’est un livre qui pose une question dérangeante : jusqu’où peut-on aller quand l’image de l’autre devient notre seul repère ?
La promesse est simple : une lecture qui marque. Pas de confort. Pas de happy end facile. Un texte qui gratte, qui dérange, et qui reste longtemps après la dernière page.
📖 À Travers Ses Yeux est disponible dès maintenant en eBook et papier sur Amazon, et en numérique sur Google Books.
Le couloir est ouvert. La porte est là. Est-ce que tu oses l’ouvrir ?
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Versace a-t-il convoqué Gianni ou Donatella ? Ni l’un ni l’autre : Dario Vitale a préféré Pasolini. Décor façon Théorème, silhouettes sexy mais prêtes à s’effondrer, personnages queer et vamp de soap opera. Dans cet épisode, je décrypte comment Vitale transforme Versace en pièce de théâtre instable, où chaque couture est un cliffhanger. Glamour ou perturbation ? Les deux. » 💡 Poursuivre la discussion & soutenir le studio :
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[Versace, Dario Vitale, Pasolini, Fashion Week Milan 2026, mode théâtrale, Gianni Versace, luxe italien, glamour.]
Gucci a-t-il encore présenté une collection ? Pas vraiment. Demna a remplacé le défilé par un film satirique : The Tiger, signé Spike Jonze et Halina Reijn, avec Demi Moore en héroïne grotesque. Milan a retenu son souffle : la mode devient cinéma. Dans cet épisode, je décortique le geste radical de Gucci, qui transforme ses vêtements en personnages et ses défilés en projections. Provocation ou révolution ? À vous de juger.
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[Gucci, Demna, The Tiger, Fashion Week Milan 2026, mode cinéma, Spike Jonze, Halina Reijn, satire luxe.]
En 2025, tout est devenu spectacle. La musique, la productivité, les indignations, même le luxe. Bienvenue dans Cappuccino & Croissant, où l’on démonte la pop culture comme un croissant feuilleté.
Dans cet épisode, on commence avec TikTok, le nouveau MTV qui décide des hits mondiaux sans présentateur ni clip, juste par l’autorité froide d’un algorithme. On enchaîne avec le culte de la productivité esthétique : carnets beige, latte matcha, bureaux minimalistes… quand organiser sa vie devient une mise en scène anxiogène. Puis cap sur les scandales : ces polémiques express qui génèrent plus d’engagement qu’un chef-d’œuvre et transforment la culture en tribunal permanent. Enfin, on termine sur la Fashion Week de New York, septembre 2025 : COS en béton brut, Coach en denim gritty, Diotima en carnaval caraïbe… et un luxe en pleine crise de légitimité.
Un cappuccino bien chaud, un croissant croustillant, et une question en fil rouge : est-ce qu’on vit encore pour soi, ou uniquement pour être regardés ?
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Un album demande des mois de travail, un livre des années, un film des millions. Mais un scandale ? Dix secondes et c’est viral. Et devine quoi : ça marche mieux. Les chiffres le prouvent : les contenus polarisants, toxiques ou controversés génèrent plus d’engagement que les créations elles-mêmes. Résultat : on parle plus d’un tweet maladroit que d’une chanson, plus d’un clash de casting que d’un scénario. La culture s’est transformée en tribunal permanent, où l’œuvre est un décor et le scandale, la pièce principale. Alors, est-ce qu’on aime encore les artistes pour ce qu’ils créent ? Ou seulement pour les drames qui nous donnent de quoi scroller et commenter ?
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Organiser sa vie ne suffit plus : il faut que ça soit beau. Carnets beige sable, stylos pastel, latte matcha aligné au millimètre. Bienvenue dans le culte de la productivité esthétique, où ta to-do list ressemble à un édito Pinterest. Mais derrière les filtres, c’est un marché énorme — la clean beauty pèsera bientôt 39 milliards — et une pression sociale étouffante. Tout doit être clean, neutre, instagrammable… au point d’exclure celles et ceux qui n’entrent pas dans la norme. Est-ce qu’on organise vraiment sa vie pour soi, ou pour un feed qui doit rester impeccable ? Et surtout, qu’est-ce qu’on perd en cours de route, à force de mettre en scène notre productivité comme une œuvre d’art ?
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MTV a façonné toute une génération dans les années 90 : des clips qui passaient en boucle, des icônes pop mondiales, des tendances qui voyageaient par la télé. Aujourd’hui, MTV est mort… et son héritier s’appelle TikTok. Mais cette fois, pas de présentateurs, pas de choix éditorial, juste un algorithme qui décide quelles musiques explosent, quels artistes percent, quels mots deviennent ton nouveau langage. En 2025, 84 % des morceaux du Billboard Global 200 passent par TikTok. Autrement dit : ce n’est plus une plateforme, c’est le programmateur officiel de ta culture. Alors, est-ce que tu écoutes vraiment ce que tu aimes, ou ce que l’algo veut te faire aimer ?
Suis-moi pour le match complet dimanche : on décrypte pourquoi le TIFF 2025, c’est le vrai championnat du cinéma mondial.
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La Fashion Week, temple du luxe, devait annoncer les tendances. En septembre 2025 à New York, elle a surtout révélé un malaise. COS bétonne son minimalisme en mode brutalisme, Coach vend du denim “gritty” hors de prix, Diotima ose la fête et les couleurs caraïbes. Entre nostalgie des années 90, hashtags viraux boostés par Jung Kook et quête d’authenticité, le luxe ne sait plus qui il est. Inclusif mais excluant, festif mais élitiste, durable mais spectaculaire : la mode ressemble à un adolescent en crise, qui se regarde dans le miroir et se demande s’il est encore crédible. Peut-être que la vraie tendance de cette Fashion Week, ce n’était pas une couleur ou une coupe… mais le doute.
Suis-moi pour le match complet dimanche : on décrypte pourquoi le TIFF 2025, c’est le vrai championnat du cinéma mondial.
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Vogue change de reine, Toronto se transforme en ring, Riyad achète le rire… et Doja Cat enregistre son comeback dans un château français. Oui, tout ça dans le même épisode.
Cette semaine dans Cappuccino & Croissant, on parle de succession à l’américaine avec Anna Wintour qui passe la main à Chloé Malle — mais reste dans l’ombre comme une impératrice du luxe. On file à Toronto où le TIFF fête ses 50 ans en mode bataille royale du cinéma, entre Knives Out, Frankenstein et Sydney Sweeney en boxeuse. On atterrit à Riyad, pour le plus grand festival de comédie du monde, où l’humour devient outil diplomatique. Et on termine en disco-pop provençale avec Doja Cat et Vie, son virage néon 80’s.
Abonnez-vous pour écouter l’épisode complet dimanche, avec l’article détaillé sur le site. Et suivez les Expresso Shots toute la semaine : courts, corsés, et parfaits pour tenir dans le chaos de 2025.
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Le plus grand festival de comédie du monde… n’est pas à New York, ni Londres. Il est à Riyad. Oui, Riyad.
Kevin Hart, Russell Peters, Whitney Cummings, Bill Burr : plus de 50 stars du stand-up débarquent en Arabie Saoudite. Un line-up hallucinant, financé par Vision 2030. Mais voilà le paradoxe : comment faire du stand-up, cet art de la critique sociale et des tabous, dans un pays où la satire est verrouillée ? Certains comédiens assument cyniquement le chèque, d’autres jouent les équilibristes. Au final, c’est peut-être l’événement le plus ironique de l’année : l’humour transformé en vitrine diplomatique.
Abonne-toi pour l’analyse complète dimanche : on parle de rires achetés, de contradictions, et de la comédie comme soft power.
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Doja Cat revient… et cette fois, elle ne rappe pas dans l’ombre. Elle danse dans les néons 80’s. Son nouvel album Vie sort le 26 septembre, enregistré en Provence au Miraval Studios. Exit Scarlet et ses ambiances sombres, place à la disco-pop, aux synthés et aux refrains flamboyants. Premier single Jealous Type, co-produit par Jack Antonoff, cartonne déjà. Et derrière le kitsch, il y a une stratégie claire : se réinventer pour rester imprévisible. Avec sa première tournée mondiale, Doja Cat redéfinit sa place dans la pop.Abonne-toi pour ne pas rater dimanche : on décortique comment Doja Cat transforme son image en franchise pop mondiale.
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Cette année, le TIFF n’est pas un festival… c’est un ring.
Au centre, Knives Out 3, crowd-pleaser calibré Netflix. En face, Guillermo del Toro et son Frankenstein gothique. Dans le coin prestige, Chloé Zhao adapte Hamnet. Et Sydney Sweeney grimpe sur le ring avec Christy, biopic coup-de-poing. Sans oublier un doc sur John Candy pour la touche nostalgie. Toronto devient l’arène où s’affrontent franchises, auteurs, adaptations et boxeuse réelle. Qui sortira vainqueur ? Peu importe. Le vrai spectacle, c’est le combat de visions.
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Après quarante ans, Anna Wintour lâche enfin le trône de Vogue US… mais devinez quoi ? Elle ne lâche rien du tout.Anna Wintour passe le relais à Chloé Malle, éditrice de Vogue.com et fille de Candice Bergen et Louis Malle. Oui, un pur produit “nepo baby”. Mais attention : elle n’a pas juste hérité, elle a bossé pour imposer son style digital. Problème ? Anna reste Global Editorial Director et Chief Content Officer de Condé Nast. Autrement dit, elle contrôle toujours le jeu. Chloé Malle hérite d’un siège royal… sous haute surveillance.Abonne-toi pour le décryptage complet dimanche dans Cappuccino & Croissant : on dissèque comment Vogue essaie de rester Vogue à l’ère des réseaux sociaux.
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En 2025, il n’y a plus d’hymne universel qui envahit les plages ou les soirées — juste des bulles sonores, des playlists algorithmiques et des moments éphémères.
Pourtant, certains artistes, comme Taylor Swift, savent encore créer un événement qui transcende les algorithmes. Dans cet épisode de Cappuccino & Croissant, on explore trois réalités :
• Comment Taylor Swift transforme une annonce d’album en leçon de marketing viral.
• Pourquoi la “chanson de l’été” s’est éteinte… et ce que ça dit de notre culture musicale.
• La montée fulgurante de deux refuges sonores : la Recession Pop et le gospel contemporain.
Derrière les tendances, il y a un même fil rouge : la musique comme outil de régulation émotionnelle collective dans un monde fragmenté. Nostalgie calibrée ou spiritualité pop, chaque choix musical raconte comment on survit à l’ère de l’alerte permanente.
🎯 Pourquoi écouter ? Pour comprendre la mutation profonde de la pop, décoder les stratégies qui fonctionnent encore, et découvrir comment tes playlists disent plus sur toi que tu ne l’imagines.
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[Taylor Swift, Pop Culture, Playlist, Chanson de l’été, Marketing Musical, Recession Pop, Gospel, Cappuccino et Croissant, Podcast Musical, Analyse Culturelle]
Et si l’IA n’était plus un outil… mais un producteur exécutif ? Dans cet épisode de Cappuccino & Croissant, on explore comment des intelligences artificielles comme Sora, Suno ou MusicLM bouleversent Hollywood, la musique, et toute l’économie des créateurs.
🎬 Une IA peut-elle vraiment écrire le prochain Tarantino ?
🎵 Que reste-t-il aux musiciens quand les prompts remplacent les instruments ?
📱 Un créateur reste-t-il un créateur si c’est son clone IA qui publie à sa place ?
🧠 Que devient la voix humaine quand les algorithmes dictent ce qui est "bon" ?
Entre recherches approfondies, sarcasme calibré et narration immersive, cet épisode décrypte les mutations actuelles de la création : datasets flous, fans transformés en cobayes UX, clones vocaux qui publient en automatique, pipelines full-AI… et la résistance fragile de l’humain au milieu de tout ça.
Que tu sois artiste, curieux, créateur ou simplement perdu dans ce monde trop rapide : cet épisode est ton espresso critique, à avaler d’un trait ou à siroter avec un croissant numérique.
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Cappuccino & Croissant explore les nouveaux récits culturels qui redessinent l’imaginaire collectif en 2025.
Partie 1 — L’émergence du New Western avec Shaboozey et la réinvention du mythe cowboy à l’ère post-coloniale et algorithmique.
Partie 2 — Le retour du retro-futurisme féminin à travers les figures de Zendaya et Beyoncé : Space Sirens, chrome, latex et reconquête visuelle.
Partie 3 — Hyperféminité stratégique : coquette, blokette, office siren… quand les esthétiques ultra-genrées deviennent des outils de pouvoir.
Partie 4 — Delulu is the Solulu : comment un mème TikTok devient une spiritualité générationnelle. La croyance comme résistance face au réel.
Un épisode sur la mode, la fiction, l’identité, la narration… et les manières de survivre à l’absurde en haute définition. Tous les épisodes, ainsi que les projets associés (livres, musique, vidéos) sont à retrouver sur le site officiel.
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