Dans ce second épisode on parle préparation physique avec Florent Giboin …
Et dans cette Partie 2 on va parler :
Pourquoi parler de préparation physique ici ?
Aujourd’hui non seulement la préparation physique est devenue une composante majeur de la performance des athlètes, mais derrière, il y a aussi tous les clichés qui pèsent sur les performances physiques des femmes qui sont “moins” que celles des Hommes.
Or, je pense que c’est pas parce qu’il y a une différence physique physiologique réelle que d’une ça conditionne le sport féminin comme étant une sous catégorie du sport masculin et qu’ensuite il faille absolument que le sport féminin et sa dimension physique soient construits sur le modèle masculin …
Pourquoi Florent Gibouin ? Ancien joueur professionnel de rugby, il est actuellement préparateur physique au Stade Rochelais en top 14, et avant ça, il a entrainé les joueuses de Pessac et de Bègles en D2 (handball).
Son parcours m’a intéressé notamment car il a la double expérience du public masculin et féminin, qu’il a étudié l’impact du cycle menstruel sur ses athlètes féminines, et qu’il a su accompagner des joueuses pendant leurs grossesses et jusqu’à leurs reprises de la compétition.
Bonne écoute :)
Dans ce second épisode on va parler préparation physique avec Florent Giboin …
Aujourd’hui non seulement la préparation physique est devenue une composante majeur de la performance des athlètes, mais derrière, il y a aussi tous les clichés qui pèsent sur les performances physiques des femmes qui sont “moins” que celles des Hommes.
Or, je pense que c’est pas parce qu’il y a une différence physique physiologique réelle que d’une ça conditionne le sport féminin comme étant une sous catégorie du sport masculin et qu’ensuite il faille absolument que le sport féminin et sa dimension physique soient construits sur le modèle masculin … Pourquoi Florent Gibouin ?Ancien joueur professionnel de rugby, il est actuellement préparateur physique au Stade Rochelais en top 14, et avant ça, il a entrainé les joueuses de Pessac et de Bègles en D2 (handball).
Son parcours m’intéresse notamment car il a la double expérience du public masculin et féminin, qu’il a étudié l’impact du cycle menstruel sur ses athlètes féminines, et qu’il a su accompagné des joueuses pendant leur grossesse et jusqu’à leur reprise de la compétition.
Dans cette Partie 1 on va parler :
Bonne écoute :)
On se retrouve pour cette seconde partie de notre épisode 01, toujours en compagnie d’Elsa Grossoleil ancienne vice-présidente en charge des commissions liées à la stratégie et au développement du club et de Clément Richou, actuel président du club de Handball de Pessac (SPUC Handball).
Si vous tombez directement sur cette seconde partie, je vous invite du coup à écouter aussi la première disponible également sur le podcast.
Après avoir discuté du processus et des enjeux de la professionnalisation du club, on va glisser dans notre échange sur le développement professionnel du secteur féminin, les stratégies économiques des collectivités et leurs impacts sur les clubs, et sur les missions d’inclusion et de mixité dans le cadre du haut-niveau.
On commence tout de suite avec la question du statut des ligues professionnelles féminines en France.
Pour cet épisode numéro 01, j’ai échangé avec deux personnes ! Il s’agit de Clément Richou et d’Elsa Grossoleil du club de handball de Pessac, dont vous entendrez aussi parler sous le nom de SPUC handball dans l’épisode, et dont l’équipe première évolue aujourd’hui en seconde division.
Pourquoi les avoir sollicités eux, pour ce tout premier épisode ?
A la fois pour leurs rôles au sein du club : puisque Clément est président du SPUC hand depuis de nombreuses années et qu’Elsa a été vice-présidente en charge de plusieurs commissions liées au développement du club.
Mais aussi pour l’évolution de Pessac. Parce que c’est un club qui, il y a moins de 6 ans environ était totalement amateur avec uniquement des joueuses non rémunérées et qui a basculé récemment vers le professionnalisme …
Vous comprenez mieux pourquoi c'était pour moi LE premier épisode idéal pour planter le décor du podcast !
Dernières précisions avant de vous laisser écouter notre échange : premièrement vous aurez certainement une différence de qualité sur l’enregistrement de ma voix parce que c’est Clément et Elsa qui portaient les micros et ensuite cet épisode est publié en deux parties.
Dans l’idéal j’aimerais publier des épisodes de 40 à 50 minutes parce que je souhaite avoir vraiment le temps d’échanger et d’aborder les sujets avec mes invités, mais je suis consciente que ça peut être long, donc en deux parties finalement ça vous laissez le choix de faire comme c'est le plus confortable pour vous.
Je vous laisse écouter cette première partie, dans laquelle on va faire les présentations et puis ensuite découvrir pourquoi le SPUC handball s’est professionnalisé et quels ont été ses principaux enjeux dans ce processus !
Bienvenue sur Bande d’Amatrices : le podcast qui explore les problématiques rencontrées par l’écosystème du sport féminin et qui souhaite proposer des solutions concrètes pour participer à son développement.
Dans cet épisode pilote, je vous dévoile ce qui m'a amené jusqu'à ce projet et ce que je compte y mettre : qui je suis, quel est mon parcours, quels types d'épisodes je souhaite réaliser, quels types d'invités je vais recevoir, de quoi on parlera ensemble ... Je vous laisse découvrir et je vous dit à bientôt pour le premier épisode !
👋🏼, Guillemette.
A propos de moi :
Je m’appelle Guillemette Hosteing, j'ai passé plus de 20 ans sur les terrains de handball, depuis le sport-étude jusqu’à la première division. En parallèle de cette carrière sportive, j’ai étudié puis travaillé dans la communication et le marketing.
Une double expérience riche au cours de laquelle j’ai successivement ou simultanément été licenciée, bénévole, responsable communication et joueuse professionnelle au sein des clubs où j’ai évolué.
Aujourd’hui retraitée du handball depuis 2 ans, j’ai choisi de rester sur le terrain du sport féminin et de lier encore un peu plus mes deux histoires professionnelles pour rendre un peu de ce que le sport féminin m’a donné et apporter mon caillou à l’édifice.