Introduction réalisée par Solen et Mathilda de Rennes, lors du festival d'a2c en juin 2025.
Présentation réalisée par Jessy (Rennes) et Tiffa (Marseille) lors du festival d'a2C en juin 2025.
Introduction faite par Gabriel de Strasbourg lors du festival d'a2c en juin 2025.
Analyse effectuée par Ramy Shaath, membre de Boussole Palestine, lors du festival d'a2c en juin 2025.
Introduction réalisée par Maria et Kim de Rennes lors du festival d'a2c en juin 2025.
Présentation de Jad (Paris) lors du festival d'a2c en juin 2025.
Introduction réalisée lors du festival d'a2c en juin 2025, par Louna de Marseille.
Introduction réalisée par Victor de Strasbourg lors du festival d'a2c en juin 2025.
Introduction réalisée par Gaël de Montreuil lors du festival "Boussoles" organisé par a2c en juin 2025.
Discussion introduite par Nicolas de Paris 20e lors du festival "Boussoles" organisé par a2c en juin 2025.
Présentation réalisée par Manu de St-Brieuc lors du festival "Boussoles" organisé par a2c en juin 2025.
Introduction faite par Dani. de Toulouse à l'occasion du festival "Boussoles" organisé par a2c les 28 et 29 juin 2025.
L’offensive anti-trans en cours à l’internationale est indéniable : lois interdisant les bloqueurs de puberté votée par le Sénat en France, portée par le Labour Party au Royaume-Uni, multiplication des décrets anti-trans en quelques jours par le gouvernement Trump, criminalisation des transitions en Russie…
Les personnes trans apparaissent comme l’une des franges les plus ciblées de notre classe. En tant que révolutionnaires, on se doit de bâtir une réponse à la hauteur.
Cette introduction a été préparée pour le festival de débats révolutionnaires qui a eu lieu le 28/9 juin 2025.
La question de l'intérêt matériel des travailleur-se-s du Nord à l'exploitation des travailleur-se-s du Sud a des impacts stratégiques majeurs, en particulier sur la possibilité de mener des luttes communes et de s'opposer aux entreprises impérialistes de nos pays.
Il est indéniable que les Etats occidentaux se sont construits sur la colonisation du Sud global et surtout du continent africain, et que les conditions de vie des populations au Nord sont meilleures à bien des égards que les conditions de vie de celles du Sud, qui sont largement impactées par les guerres impérialistes, les conséquences du changement climatique ou la misère.
Cependant, des revenus aujourd’hui plus élevés au Nord n'impliquent pas nécessairement une participation à l'exploitation et un intérêt à sa poursuite. Au contraire, les auteur-ice-s qui ont essayé montrer un profit tiré par les travailleur-se-s du Nord sont souvent déconnecté-e-s d’une analyse de classe qui permettrait d’identifier les exploiteur-se-s et les exploité-e-s, au Nord comme au Sud, et iels tendent à homogénéiser à tord les conditions de vie des travailleur-se-s du Nord, masquant les profondes inégalités sociales dans la société. Iels sont aussi contredits par les investissements du patronat, qui préfère investir là où le profit sera le plus élevé, c’est à dire au Nord, où la productivité est largement plus élevée qu’au Sud, ce qui explique en partie les inégalités de revenu.
A A2C, deux topos ont été préparés sur la question, en s'appuyant sur les mêmes boussoles d’autonomie de classe, de lutte anti-raciste et internationaliste, et d’analyse de la trajectoire ud capital. Nous choisissons donc de proposer les deux introductions, qui aboutissent ensemble à la stratégie de l'autonomie de classe, au Sud comme au Nord, dans une perspective internationaliste :
Cette deuxieme partie est une introduction réalisée par Dani lors d'un week-end d'A2C à Marseille en mars 2025, qui se concentre sur un courant de la théorie de la dépendance marxiste brésilien pour montrer que l'exploitation nord sud est due à une collaboration entre les bourgeoisies des deux côtés. La solution stratégique reste l'autonomie de classe et l'unité des travailleur-se-s du monde entier contre les classes dominantes.
La question de l'intérêt matériel des travailleur-se-s du Nord à l'exploitation des travailleur-se-s du Sud a des impacts stratégiques majeurs, en particulier sur la possibilité de mener des luttes communes et de s'opposer aux entreprises impérialistes de nos pays.
Il est indéniable que les Etats occidentaux se sont construits sur la colonisation du Sud global et surtout du continent africain, et que les conditions de vie des populations au Nord sont meilleures à bien des égards que les conditions de vie de celles du Sud, qui sont largement impactées par les guerres impérialistes, les conséquences du changement climatique ou la misère.
Cependant, des revenus aujourd’hui plus élevés au Nord n'impliquent pas nécessairement une participation à l'exploitation et un intérêt à sa poursuite. Au contraire, les auteur-ice-s qui ont essayé montrer un profit tiré par les travailleur-se-s du Nord sont souvent déconnecté-e-s d’une analyse de classe qui permettrait d’identifier les exploiteur-se-s et les exploité-e-s, au Nord comme au Sud, et iels tendent à homogénéiser à tord les conditions de vie des travailleur-se-s du Nord, masquant les profondes inégalités sociales dans la société. Iels sont aussi contredits par les investissements du patronat, qui préfère investir là où le profit sera le plus élevé, c’est à dire au Nord, où la productivité est largement plus élevée qu’au Sud, ce qui explique en partie les inégalités de revenu.
A A2C, deux topos ont été préparés sur la question, en s'appuyant sur les mêmes boussoles d’autonomie de classe, de lutte anti-raciste et internationaliste, et d’analyse de la trajectoire ud capital. Nous choisissons donc de proposer les deux introductions, qui aboutissent ensemble à la stratégie de l'autonomie de classe, au Sud comme au Nord, dans une perspective internationaliste :
Cette première partie est une introduction réalisée par Meriem et Vanina lors d'un week-end d'A2C à Paris en mars 2025. Meriem revient sur l'histoire de l'apparition du capitalisme et de l'expansion coloniale, tandis que Vanina élabore une critique de la théorie de l'aristocratie ouvrière de Lénine, et des théories de la dépendance, dont une conclusion stratégique est la collaboration de classe pour industrialiser les pays du Sud.
Avec les guerres en Ukraine et à Gaza et les bouleversements géopolitiques en cours, l’industrie d’armement se retrouve sous le feu des projecteurs.
Deuxième plus gros vendeur d’armes au monde derrière les USA, l’industrie française semble faire consensus de l’extrême-droite à une grande partie de la gauche, au nom d’enjeux économiques, de “souveraineté nationale” ou encore de sauvegarde de l’emploi.
Pour les révolutionnaires, au contraire, la production de bombes et de missiles ne fait qu’alimenter les guerres et l’impérialisme dont les classes populaires sont les victimes.
Cela fait-il des salarié.e.s et des syndicats de ces industries des complices de leurs patrons et de l’impérialisme ? Où sont-iels au contraire des travailleur.e.s comme les autres ?
Introduction à une discussion réalisée par Jad (Paris 18e)
Nous sommes dans une période d’intense polarisation et d’accélération. La guerre économique lancée par les USA contre la Chine annonce les conflits militaires de demain, s’accompagne du renforcement du nationalisme et du racisme et ouvre la voie au fascisme. Ce conflit entre les deux plus grandes puissances impérialistes entraîne dans son sillage l’ensemble de l’humanité et les classes dirigeantes du monde entier sont en train de franchir un cap dans une course à l’armement qui était pourtant déjà ces dernières années au plus haut.
L’impérialisme français se retrouve contraint de renforcer son influence dans la zone pacifique où se cristallise (sans s’y réduire) le conflit entre les USA et la Chine et doit se relancer dans la course à l’armement. La répression du mouvement pour l’indépendance en Kanaky, les discours belliqueux de Macron et l’austérité à venir doivent être analysés dans ce contexte pour savoir comment les contrer.
Par ailleurs, la guerre coloniale et génocidaire en Palestine illustre les massacres dont sont capables les puissances impérialistes et coloniales. Dans de nombreux pays la solidarité avec la Palestine s’est exprimée de manière massive depuis le 7 octobre 2023. Pourtant, chez nous, le poids de l’islamophobie, et plus largement l’influence du nationalisme au sein de la gauche française rend difficile la construction de mouvements larges contre l’impérialisme.
FOCUS sur :
Les deux guerres mondiales (conflits directs entre grandes puissances)
Les guerres coloniales (Algérie, Indochine puis Vietnam)
La guerre contre l’Irak (février 2003 : plus grandes manifestations jamais vues à l’échelle internationale)
QUELLES RESISTANCES ?
QUELS DEBATS STRATEGIQUES ?
Introduction réalisée par deux camarades lors d’une discussion publique d’A2C Marseille.
Introduction réalisée par deux camarades lors du week-end régional francilien des 15 et 16 mars.
Il s’agit ici d’une première présentation d’un travail d’analyse du RN et de réflexion autour de sa stratégie. Il est centré sur une critique des arguments qui affirment que ce parti n’a plus besoin de construire un mouvement de masse pour prendre le pouvoir, comme l’avaient fait les partis fascistes dans les années 1920 et 1930.
De nombreux sondages ont tenté d’analyser le vote RN du point de vue du revenu ou des PCS de ses électeurs, sans parvenir à saisir ce qui pousse une partie de la population vers les fachos. Au contraire, une analyse de classe permet de voir que la petite bourgeoisie (un groupe qui inclut les petits patrons, petits propriétaires, artisans, commerçants, professions libérales…) est non seulement largement sur-représentée parmi les cadres du RN et des groupuscules fascistes, mais qu’elle a aussi des intérêts économiques immédiats qui la poussent vers le racisme, le protectionnisme, la haine de ceux d’en haut et de ceux d’en bas.
Cette introduction revient sur la position contradictoire de la petite bourgeoisie, une base sociale du fascisme dans les années 30 et aujourd’hui.