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365Histoires
Jean-Louis Gaillard
500 episodes
9 months ago
Chaque dimanche après-midi, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient dans la ville pour distribuer des brochures d’évangélisation. Mais nous étions en hiver et, ce jour là, Il faisait très froid et il pleuvait beaucoup. L'enfant qui était déjà habillé dit: - Papa, je suis prêt Et son père lui demanda : - Prêt à quoi mon fils ? - Papa, il est temps de rassembler nos brochures et de sortir Son père lui répondit : - Rémy, il pleut et il fait très froid dehors ! Le garçon surprit alors son papa et lui demanda : - Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même les jours de pluie ? Son père lui répondit : - Rémy, le temps ne le permet pas ! Le garçon demanda alors : - Papa, est-ce que je peux y aller seul ? S'il te plaît ! Son père hésita un moment, puis lui dit : - D’accord, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent. - Merci, papa ! Et Rémy sortit sous la pluie Ce garçon de 11 ans, alla dans les rues faire du porte à porte, pour distribuer des feuillets à tous ceux qu'il voyait. Après deux heures de marche sous cette intense pluie, il était trempé, mais il ne lui restait qu'une toute dernière brochure. Il s'arrêta au coin de la rue, cherchant à qui il pourrait remettre le feuillet, mais les rues étaient totalement désertes. Il se tourna alors vers la première maison qu'il vit et se permit de sonner. Il sonna, sonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore,encore, et toujours personne, aucune réponse. Enfin, Rémy décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner et àfrapper fort à la porte. Soudain, Il entendit quelque chose qui remuait, là-haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... Debout à la porte, il y avait une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement - Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon enfant ? Avec des yeux et un sourire radieux, le petit garçon lui dit : - Madame, je suis désolé de vous avoir dérangée, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour pour vous ! Et puis, il lui remit son tout dernier feuillet et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit : - Merci, mon garçon ! Et que Dieu te bénisse ! (A suivre)
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Chaque dimanche après-midi, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient dans la ville pour distribuer des brochures d’évangélisation. Mais nous étions en hiver et, ce jour là, Il faisait très froid et il pleuvait beaucoup. L'enfant qui était déjà habillé dit: - Papa, je suis prêt Et son père lui demanda : - Prêt à quoi mon fils ? - Papa, il est temps de rassembler nos brochures et de sortir Son père lui répondit : - Rémy, il pleut et il fait très froid dehors ! Le garçon surprit alors son papa et lui demanda : - Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même les jours de pluie ? Son père lui répondit : - Rémy, le temps ne le permet pas ! Le garçon demanda alors : - Papa, est-ce que je peux y aller seul ? S'il te plaît ! Son père hésita un moment, puis lui dit : - D’accord, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent. - Merci, papa ! Et Rémy sortit sous la pluie Ce garçon de 11 ans, alla dans les rues faire du porte à porte, pour distribuer des feuillets à tous ceux qu'il voyait. Après deux heures de marche sous cette intense pluie, il était trempé, mais il ne lui restait qu'une toute dernière brochure. Il s'arrêta au coin de la rue, cherchant à qui il pourrait remettre le feuillet, mais les rues étaient totalement désertes. Il se tourna alors vers la première maison qu'il vit et se permit de sonner. Il sonna, sonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore,encore, et toujours personne, aucune réponse. Enfin, Rémy décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner et àfrapper fort à la porte. Soudain, Il entendit quelque chose qui remuait, là-haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... Debout à la porte, il y avait une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement - Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon enfant ? Avec des yeux et un sourire radieux, le petit garçon lui dit : - Madame, je suis désolé de vous avoir dérangée, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour pour vous ! Et puis, il lui remit son tout dernier feuillet et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit : - Merci, mon garçon ! Et que Dieu te bénisse ! (A suivre)
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Episodes (20/500)
365Histoires
La Grand-Mère Et Le Fils Du Pasteur (11-387)
Chaque dimanche après-midi, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient dans la ville pour distribuer des brochures d’évangélisation. Mais nous étions en hiver et, ce jour là, Il faisait très froid et il pleuvait beaucoup. L'enfant qui était déjà habillé dit: - Papa, je suis prêt Et son père lui demanda : - Prêt à quoi mon fils ? - Papa, il est temps de rassembler nos brochures et de sortir Son père lui répondit : - Rémy, il pleut et il fait très froid dehors ! Le garçon surprit alors son papa et lui demanda : - Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même les jours de pluie ? Son père lui répondit : - Rémy, le temps ne le permet pas ! Le garçon demanda alors : - Papa, est-ce que je peux y aller seul ? S'il te plaît ! Son père hésita un moment, puis lui dit : - D’accord, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent. - Merci, papa ! Et Rémy sortit sous la pluie Ce garçon de 11 ans, alla dans les rues faire du porte à porte, pour distribuer des feuillets à tous ceux qu'il voyait. Après deux heures de marche sous cette intense pluie, il était trempé, mais il ne lui restait qu'une toute dernière brochure. Il s'arrêta au coin de la rue, cherchant à qui il pourrait remettre le feuillet, mais les rues étaient totalement désertes. Il se tourna alors vers la première maison qu'il vit et se permit de sonner. Il sonna, sonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore,encore, et toujours personne, aucune réponse. Enfin, Rémy décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner et àfrapper fort à la porte. Soudain, Il entendit quelque chose qui remuait, là-haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... Debout à la porte, il y avait une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement - Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon enfant ? Avec des yeux et un sourire radieux, le petit garçon lui dit : - Madame, je suis désolé de vous avoir dérangée, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour pour vous ! Et puis, il lui remit son tout dernier feuillet et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit : - Merci, mon garçon ! Et que Dieu te bénisse ! (A suivre)
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1 year ago
8 minutes 37 seconds

365Histoires
J'ai vu la victoire ! Edmond Rostand 10-367
De santé précaire, Edmond Rostand ne put s'engager dans l'armée française en 1914. Il se dévoua au chevet des blessés hospitalisés près de chez lui. La veille de l'Armistice arriva. Le poète était grippé, mais rien ne put le retenir. Il voulut aller à Paris où il arriva le 11 novembre 1918, au matin. Malgré l'avis de son entourage, il insista pour passer la journée au milieu de la foule en délire. Le soir, il s'alita, atteint par la terrible épidémie de grippe espagnole qui provoqua tant de décès. Avant de s'éteindre, au début de décembre, il murmura à sa femme : —Ne pleure pas... j'ai vu la victoire. D'autres ont salué la victoire de loin sans pouvoir la voir, tel ce soldat français qui périt sur le front au matin même où l'Armistice fut signé. Pour notre part, même si nous n'avons pas vu de nos yeux la victoire remportée par Jésus sur la croix, victoire sur le péché et sur la mort, nous pouvons cependant affirmer avec l'apôtre Jean, par le moyen des yeux de la foi : « Car la vie a été manifestée, nous l'avons vue et nous en rendons témoignage… » 1 Jean 1 : 2. Cependant, nous avons expérimenté sa victoire dans nos vies et l'avons vue à l'œuvre en beaucoup de croyants. Quand la vraie foi est exercée, la victoire en Jésus est manifestée.
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1 year ago
2 minutes 26 seconds

365Histoires
La Foi d'un Enfant Handicapé !( 11-402)
Qu’y a -t- il de plus touchant que la foi toute simple d’un enfant ? Johanne vient d’avoir ses sept ans. Elle semble tellement charmante et heureuse de vivre cette jolie petite fille brune au teint clair ! Mais à l’instant on peut déceler, imperceptible, une ombre passer dans ses yeux noirs et pétillants lorsqu’un groupe d’enfants insouciants la dépasse en courant. Oui, Johanne, c’est seulement en rêve qu’elle court ! Sa démarche est si disgracieuse, affublée de ses grosses chaussures orthopédiques d’où émergent deux petites jambes frêles. En effet Johanne est née avec les pieds bots. Lors d’une promenade avec sa maman, la jeune infirme est attirée par une joyeuse et puissante clameur qui semble provenir de la grande tente qu'elles avaient déjà repérée la veille sur la place du Marché. -'Tu crois qu’on peut y aller aussi Maman ?' -‘Mais oui ma Chérie, pourquoi pas ...’ Elles entrèrent et se mêlant à la foule, elles entendirent un prédicateur appeler les gens à la conversion. Il expliquait que le Seigneur est toujours le même aujourd’hui comme hier, qu’il désirait perpétuer son ministère de miséricorde pour les malades. Puis le serviteur de Dieu annonce qu’il allait prier pour les malades et leur imposer les mains selon l’enseignement de Jésus, lui demandant de les guérir. Plusieurs s’avançaient pour la prière. -‘Maman, si nous y allions … ‘ dit Johanne -‘Mais non, ce n’est pas pour toi ‘ répondit sa mère. Et les yeux pleins de larmes, elle sortit avec la petite infirme. -‘Maman, tu ne crois pas que Jésus puisse me guérir ?’demanda Johanne à sa mère le long du chemin. - 'Mais si ma Chérie ‘ Alors pourquoi m’as- tu- dit que ce n’était pas pour moi ? 'Johanne ', reprit la mère, à la fois gênée et émue par tant de foi, -'Voudrais-tu que nous y retournions demain ?’ -‘Oh oui Maman ! Mais alors il faudra demander au Pasteur de prier pour que Jésus me guérisse, n’est-ce pas Maman ?’ -'Oui ma chérie !’ -‘ Mais alors il faut qu’on aille vite acheter des souliers comme les autres petites filles pour quand je serai guérie. Allons-y tout de suite avant que les magasins soient fermés !’ Entrant dans la boutique la mère de Johanne après avoir fait signe au vendeur, lui demanda une paire de chaussures qui puissent aller à la fillette. -‘j’aimerais des souliers blancs !’ Le soir, elle s’endormit en serrant ses souliers blancs sur son cœur … Le lendemain, quand l’homme de Dieu, après avoir rappelé les promesses de l’Evangile, invita les malades à s’approcher pour la prière, Johanne s’avança au bras de sa mère. -‘Qu’est-ce que tu as dans ce paquet ? demanda -t-il à la fillette. -‘J'ai deux jolis souliers que je vais mettre tout de suite quand Jésus m’aura guérie, répondit-elle ‘ Emu aux larmes par une foi si simple et si confiante, l’homme posa ses mains sur la tête de l’enfant et fit cette courte prière : -‘ Seigneur Jésus, exauce la vraie foi de cette enfant ! ‘ La fillette s’assit et défit ses chaussures orthopédiques. Ses petits pieds étaient toujours tout tordus. Elle prit un premier soulier blanc, fit le geste de l’enfiler et c’est alors, qu’en un instant, devant trois mille personnes, le miracle s’accomplit : Ses pieds se redressèrent ! Et tout de suite, chaussée de ses beaux souliers blancs tout neufs, Johanne, rayonnante, se mit à marcher avec grâce, on aurait dit une petite princesse !
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2 years ago
6 minutes 9 seconds

365Histoires
Une leçon bien donnée !
Dans un village du Liban, une missionnaire regroupait chaque soir quelques enfants pour leur apprendre à lire et elle en profitait pour leur parler du Seigneur Jésus. Parmi ses auditeurs, il y avait aussi un vieillard, à la fois aveugle et sourd. — Vous devriez le renvoyer, lui dit une amie, il ne fait que marmonner sans arrêt. Il gêne vos leçons et vous ne pouvez atteindre son âme, captive comme dans une prison au-dedans de lui. — Ce serait dommage, répondit la missionnaire, car l’enfant qui l’amène sera alors renvoyé aussi. Le vieillard continua à venir régulièrement sous la conduite de son petit-fils, si bien qu’un jour, la missionnaire eut une idée. Elle prit la main du vieil infirme et y traça avec un doigt les caractères arabes qui désignent le nom de Dieu. Il comprit vite ce premier mot : « Dieu » et ne cessa de le répéter. Le lendemain, notre amie continua : « Dieu a tant aimé », puis, le troisième jour : « Dieu a tant aimé le monde », et ainsi de suite jusqu’à ce que le vieillard ait appris le verset tout entier. Dès lors, on le vit chaque jour, assis près du marché, répétant à haute voix à qui voulait l’entendre les mots de la parole de Dieu qui avaient apporté la paix et la joie dans son cœur. Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16.
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3 years ago
2 minutes 31 seconds

365Histoires
L'homme au serpent
O mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! 1 Corinthiens 15 : 55-57. Comment serions-nous face à une telle situation ? Un individu sur la place du village avait attiré une foule de curieux. Autour de son cou était enroulé un serpent d’une espèce très venimeuse et l’animal bien qu’agacé ne parvenait pas à frapper le charmeur. La plupart des spectateurs étaient figés de peur. Face au danger, à la mort, sommes-nous comme ce public effrayé ou comme ce charmeur de serpent sur de lui ? Il s’avéra qu’au milieu de ces spectateurs l’on s’écria :« Ce serpent n’a plus de dard ! ». Et c’était vrai, le dard et le venin avaient été enlevés et le reptile était parfaitement inoffensif. Dans 1 Corinthiens 15 : 56, Paul explique : Pourquoi avons-nous peur de la mort ? Parce qu’elle a une aiguillon terrible : l’aiguillon de la mort, c’est le péché. Hébreux 9 : 27 nous dit aussi : Il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela vient le jugement, Voilà bien ce qui la rend si redoutable pour celui qui va rencontrer Dieu. Mais alors, comment extirper cette aiguillon ? Autrement dit, comment expier le péché ? Ce que nous ne pouvons pas faire, Dieu l’a fait. Christ est mort pour nos péchés. Il les a pris sur Lui, à son compte, comme si c’étaient les siens et il a subi de la part de Dieu le jugement que nous méritions. Christ est mort pour nous, Romains 5 : 8. Est-ce à dire que tous les hommes seront sauvés ? Hélas non ! Il a plu à Dieu de sauver ceux qui croient,1 Corinthiens 1 : 21. La question que nous nous permettons de vous poser est celle-ci : est-ce que vous en faites partie ? Prière pour aujourd’hui : Seigneur, je désire croire en toi pour que le péché soit enlevé de moi. Je ne veux plus avoir peur de mourir mais je veux avoir cette assurance et cette joie que je te verrais au jour que tu as fixé d’avance.
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3 years ago
2 minutes 53 seconds

365Histoires
Ce que vis la jeune chinoise !
A Pékin, près de Notre poste missionnaire, nous avions notre voisine, une dame veuve qui vivait avec ses trois filles. La plus jeune qui avait 17ans environ était atteinte de tuberculose pulmonaire. On entendait dans le silence à travers la porte, la respiration courte de ses poumons rongés de maladie comparable au froissement de papier de soie. Dans ses derniers moments, sa mère et ses sœurs se tenaient à son chevet et pleuraient. Tout semblait fini. Pendant quelques instants, la mère au cœur brisé donna libre cours à sa douleur. Et soudain, la mourante ouvrit les yeux et s’écria avec un visage resplendissant de joie et de paix : je suis revenu pour vous dire que j'ai vu le ciel. Oh c’est merveilleux, c’est merveilleux, j'ai vu le seigneur Jésus, et elle mourut. Plus tard, en faisant allusion à ces moments, la mère nous disant, je ne pouvais plus prier mais seulement louer Dieu. Plusieurs fois, des chrétiens chinois qui avaient été témoins de la mort de parents ou d'amis chrétiens, nous ont dit qu'il leur semblait avoir un avant goût de quelque chose de merveilleux juste avant de franchir le seuil. L’Évangile de Jean au chapitre 14 verset 2 nous dit : il y’a plusieurs demeures dans la maison de mon père, si cela n’était pas je vous l'aurai dit. Je vais vous préparer une place.
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3 years ago
2 minutes 28 seconds

365Histoires
Dieu accomplit ses promesses !
Pendant six ans, Adoniram Judson, le célèbre missionnaire baptiste qui défricha la Birmanie, travailla avec zèle et patience sans obtenir une seule conversion. Quelqu'un lui ayant demandé quelle preuve il avait que le succès couronnerait ses efforts, il répondit : « Le succès me sera donné parce que je crois en Dieu, qui accomplit ses promesses. » Trente et un ans plus tard, il y avait en Birmanie soixante-dix églises avec sept mille membres. « II y a un Dieu qui accomplit ses promesses, aimait-il à répéter. C'est ce Dieu tout-puissant qui a honoré sa foi. Il honorera aussi la nôtre si nous nous fondons sur cette parole de la Bible » : « Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. » Hébreux 10 : 23.
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4 years ago
1 minute 51 seconds

365Histoires
La vraie richesse Yvan le Terrible (11-409)
Au cours du XVIe siècle, Yvan dit le terrible était tsar de toutes les Russies. Il avait l’habitude de s’habiller en mendiant et de se mêler au peuple pour en connaître la vie. Un jour, il parla avec une femme âgée et pauvre. Il en vient à lui parler de Jésus-Christ et lui offrit une Bible en disant : « Tu y trouveras des trésors inépuisables ». Un mois plus tard, Yvan retrouva la vieille femme. Il était en somptueux vêtements, suivi de ses ministres. La femme reconnut alors le tsar. « Comment, lui dit-il, tu es toujours aussi pauvre, et qu’as-tu fait de la Bible que je t’ai donnée ? »
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4 years ago
2 minutes 13 seconds

365Histoires
Les grottes de Qumran (11-408)
En 1947, un jeune berger arabe, gardant son troupeau dans la région de la mer Morte, cherche une chèvre égarée. Dans les falaises proches de Qumran, il découvre l’entrée d’une grotte. Avec beaucoup d’hésitation, il entre en rampant et trouve une grande quantité de cruches d’argile contenant chacune un rouleau de parchemin. Aux premiers siècles, on avait ainsi caché de précieux parchemins pour les protéger des pillards et des faits de guerre ...
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4 years ago
2 minutes 31 seconds

365Histoires
Mary Jones et sa Bible (11-407)
Connaissez-vous l’histoire de Mary Jones ? Cette petite fille avait attendu pendant des années qu’une école s’ouvrît dans un village voisin, à 6km de son domicile. Elle s’y rendait tous les jours (pieds nus !) et apprit à lire dans une Bible. Mais comment obtenir une telle Bible ? Son prix était exorbitant pour une petite fille de huit ans, ainsi que pour ses parents. Pendant six années, elle fit toutes sortes de travaux (raccommodages, couture, garde des vaches...) pour gagner un peu d’argent. Lorsqu’elle économisa le prix de la Bible, elle se rendit, toujours pieds nus, à Bala, à 40km de là, où habitait le pasteur Charles. Mais voilà : il n’y avait plus de Bibles en gallois et l’éditeur londonien avait décidé de ne plus en imprimer ...
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4 years ago
5 minutes 36 seconds

365Histoires
Crayons de couleur (11-405)
Dans un hôpital, une petite fille atteinte de scarlatine se trouvait à l’isolement. Ses parents ne pouvaient la voir qu’à travers une vitre. Mais l’enfant avait trouvé un moyen de communication. Elle faisait coller par sa garde-malade un billet sur sa vitre. Un matin, le père qui passait chaque jour en se rendant au bureau trouva le billet suivant : « Papa, s’il te plaît, apporte-moi une boîte de crayons de couleur. » Le lendemain à son arrivée, il trouva un nouveau billet : « Merci beaucoup papa pour la belle boîte de crayons ! » ...
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4 years ago
2 minutes

365Histoires
Eloge au printemps (07-230)
Par un bel après-midi de printemps, nous nous promenions, Sidonie, Marc, Piff (notre caniche) et moi-même dans le parc des Cascades jouxtant notre demeure. La nature semblait revivre après cet hiver qui n'en finissait pas ; des crocus de toutes couleurs jaillissaient, çà et là, de la pelouse encore recouverte de quelques feuilles d'automne égarées par le vent. Près du lac, où les truites se régalaient goulûment du pain que les promeneurs leur jetaient (sous le regard courroucé du Cygne), étaient assises, sur un banc de pierre, une jeune fille et probablement sa mère, profitant de ce paisible spectacle. Sidonie et Marc se poursuivaient sur le toboggan accompagné des aboiements de Piff qui participait, à sa manière, à leur joyeuse turbulence ; quand, soudain, du banc où était assise une jeune fille trisomique, s'éleva un chant ; plus qu'un chant, cela me faisait penser à un cantique dont chaque mot, martelé de sa voix grave, demeurait incompréhensible. La jeune fille s'était levée, cueillant les crocus, tout en continuant de chanter et tournoyant sur elle-même, comme voulant offrir une danse sacrée à l'Eternel, nullement gênée par le regard réprobateur de certains promeneurs. Elle s'offrait à la nature, réveillée par ces premiers rayons de soleil, sous l'œil médusé des enfants : le spectacle était incroyablement fascinant et bouleversant. Des larmes se mirent à jaillir de mes yeux, émus de tant de beauté. Le cœur plein de tristesse, je me demandai si Dieu, un jour, me permettrait de connaître cette joie immense de pouvoir le louer de tout mon être avec autant de liberté et de simplicité que cette adolescente.
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4 years ago
3 minutes 2 seconds

365Histoires
Dieu m'a dit ! (07-229)
On entend très souvent des « Chrétiens » dire « Dieu m'a dit… » Un jour, un homme marié alla voir ses amis chrétiens pour leur annoncer que Dieu lui avait dit de quitter sa femme et d'épouser sa secrétaire ; l'homme semblait tellement convaincu que ses amis lui conseillèrent d'aller parler avec son pasteur. Le pasteur le reçut dans son bureau et écouta son histoire, puis le pasteur lui dit : « Allons prier ! ». Au bout de deux minutes, le révérend enleva sa chaussure, la prit et se mit à frapper son visiteur. Tout de suite, l'homme cria : — Mais que faites-vous ! Le pasteur répondit : — Le Seigneur m'a dit de prendre ma chaussure et de vous frapper ! L'autre répondit, c'est impossible, le Seigneur ne peut pas vous avoir dit cela ! La réponse du pasteur fusa. — Eh bien, de même que le Seigneur n'a pas pu me dire cela, le Seigneur ne vous a pas dit non plus, qu'il fallait divorcer et épouser votre secrétaire ! L'homme partit tout penaud. Il est remarquable de voir que dans la Parole de Dieu, lorsque Dieu parle à un homme, il parle aussi à d'autres ; par exemple, lorsque l'ange a annoncé à Marie qu'elle serait la mère du Seigneur Jésus, l'ange est parti aussi l'annoncer à Joseph ainsi qu'à sa cousine Elizabeth et à son mari Zacharie.
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4 years ago
3 minutes

365Histoires
La chaîne et la grâce (25-917)
Dans un haut quartier de la ville d’Alger, qui domine le port, et qu’on nomme la Kasbah, on peut encore voir l’ancien palais du Dey, transformé aujourd’hui en musée. Au pied de l’édifice s’ouvre une salle qui donne sur la rue et qui servait auparavant de tribunal. Au fond se tenaient les juges. A leur gauche, on trouvait une porte de prison, noire, qui s’ouvrait sur la geôle où le prévenu attendait le jugement. Au-dessus, des juges pendaient une corde qui permettait, lorsque l’accusé était condamné, de procéder sans délai à son exécution. On devine l’angoisse des délinquants lorsque la sentence de mort était prononcée à leur encontre. Quelques instants seulement les séparaient de la pendaison. Une seule chance de salut s’offrait au coupable. A la porte cochère de la salle était suspendue en demi-cercle une chaîne qui subsiste encore aujourd’hui et que l’on aperçoit de la rue. La coutume voulait que le condamné pût tenter une dernière chance d'éviter l'exécution. S’échappant au travers de la foule qui remplissait la salle, s’il pouvait atteindre la porte et toucher de sa main la chaîne de la grâce, il était sauvé. Les malheureux purent-ils en profiter souvent ? La foule s’ouvrait-elle avec compassion devant eux ? Ou au contraire, resserrait-elle les rangs pour permettre aux juges d'accomplir leur sentence ? Je l’ignore. Ce que nous savons, c’est que nos fautes accumulées nous ont valu une sentence de condamnation. Mais une chance de salut subsiste toujours. Jésus, le fils de Dieu est monté sur la croix. Quiconque tourne vers Lui les regards et met en Lui sa confiance, touche la chaîne du salut. Tous les pécheurs que leur conscience accuse, sont invités par le juge même à recourir à la grâce, et ce, sans tarder.
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4 years ago
3 minutes 36 seconds

365Histoires
La flambeau d'Alexandre Le Grang
L’histoire raconte qu’Alexandre le Grand, chaque fois qu’il mettait le siège devant une ville ennemie, faisait fixer, devant les portes de la cité, un énorme flambeau allumé. Cela signifiait que toute personne qui sortirait vers lui, de jour ou de nuit, tant que le flambeau brûlerait, aurait la vie sauve. Mais, une fois le flambeau éteint, tous ceux qui seraient restés à l’intérieur de la ville seraient, sans miséricorde, frappés par l’épée. Le monde n’est pas en état de siège ; cependant beaucoup de gens, même parmi ceux qui rejettent la parole prophétique de la Bible, ont le pressentiment que les choses ne peuvent pas continuer ainsi et ils sont saisis d’angoisse. Le déséquilibre de l’économie mondiale, la consommation effrénée des ressources naturelles, les perpétuels risques de guerre dans tel ou tel point chaud du globe, les menaces qui pèsent sur l’écologie de la planète, sans parler de la dérive morale de la société, sont autant de sujets d’inquiétude pour tous ceux qui veulent bien regarder les choses en face. Dans la Bible, Dieu a décrit cette ambiance, et en a annoncé l’issue : La terre chancelle, elle chancelle comme un homme ivre, elle vacille comme une cabane. Son péché pèse sur elle, elle tombe et ne se relève plus, Esaïe 24 : 20. Mais le « flambeau » brûle encore. Aujourd’hui, c’est encore le temps de la grâce durant lequel Dieu sauve tous ceux qui se confient en Lui. Au temps favorable, je t’ai exaucé, au jour du salut, je t’ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut, 2 Corinthiens 6. 2. Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Actes 22. 16.
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4 years ago
2 minutes 26 seconds

365Histoires
10-357 Des moineaux effrayés.
Par un soir d’hiver glacial, l’homme entendit un bruit irrégulier martelait la double porte de la cuisine. Il se rendit à la fenêtre et observa des petits moineaux grelottants qui connaissant la chaleur qui habitait de l’autre côté de la fenêtre s’entêtaient désespérément d’entrer par la vitre. Touché, le fermier s’habilla chaudement, se fraya un chemin en traînant les pieds, à travers la neige fraîchement tombée et ouvrit la porte de la grange. Il alluma la lumière, jeta du foin dans un coin et traça sur le sol un sentier à l’aide de petits biscuits salés afin d’y attirer les petits moineaux. Mais effrayés par la présence du fermier, les oiseaux s’étaient envolés dans diverses directions et demeuraient cachés dans la nuit. Il essaya différentes techniques - encercler les oiseaux afin de les faire entrer dans la grange, lancer des miettes dans leur direction, se retirer dans sa maison et observer si les moineaux ne se dirigeraient pas d’eux-mêmes vers leur demeure temporaire. Effrayés par cette énorme créature temporaire, les oiseaux ne parvenaient pas à comprendre que le fermier désirait les aider. Finalement, le fermier entra dans sa maison et surveilla les oiseaux, condamnés à rester à l’extérieur derrière la fenêtre. Soudain une idée le frappa comme un éclair éblouissant dans un ciel tout bleu. Si seulement je pouvais me transformer en un oiseau et devenir l’un d’eux pour un court moment je ne les effraierai pas autant. Je pourrais leur montrer le chemin vers la chaleur et la sécurité. Au même instant il comprit qu’il venait de vraiment saisir le principe de l’incarnation. Un homme qui devient un oiseau, mais qu’est ce que comparer à Dieu qui s’est fait homme. L’idée d’un être souverain aussi grand que l’univers qu’Il a créé, qui accepte d’être confiné aux limitations du corps humain, a toujours été et demeure difficile à croire pour certaines personnes
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4 years ago
3 minutes 24 seconds

365Histoires
Le milliardaire et la femme de ménage !
Alors, cette histoire se passe actuellement dans les escaliers d’une tour de la place de la Défense à Paris. Il y avait un certain milliardaire dont les bureaux se trouvaient au huitième étage d'une immense tour de ce quartier d’affaires. Ce grand PDG avait l’habitude de se rendre à son bureau, en prenant l'ascenseur. Par contre, quand il quittait son bureau, il descendait par les escaliers, histoire de faire de l’exercice. C'était un homme hautain qui avait connu la pauvreté auparavant et qui s'était élevé dans le monde par sa propre force et sa grande énergie. Il paie son loyer régulièrement le premier jour du mois, et s’occupe pleinement de son travail. Et il ne s’arrête pas au fait qu’il y ait des êtres humains qui travaillent dans les ascenseurs ou qui nettoient les fenêtres suspendues à des hauteurs vertigineuses au-dessus du trottoir. Il ne se souvient d’aucun d’eux au moment des étrennes pour leur remettre un pourboire. Non il ne pense qu’à lui ! Mais dans cette tour, il y a une femme qui nettoyait les escaliers ainsi que les étages. Il est passé à côté d’elle souvent, mais il ne l’a jamais vue jusque récemment, car sa tête était dans les nuages, il pensait davantage à sa fortune, et la femme de ménage se trouvaient à mi-chemin dans les escaliers, car elle avait commencé en haut et elle avait donné un premier coup de chiffon sur la toute première marche dans une flaque d’eau , il y avait aussi là, un gros pain de savon et le milliardaire mis le pied dessus, le pied qu’il avait posé sur le savon s’envolant vers le soleil levant et l’autre pied entreprit une expédition toute propre vers le soleil couchant et le milliardaire tomba assis sur la première marche. Il tomba par terre et ne resta pas là ! Comme, il avait eu l’intention de descendre, il descendit donc, mais pas de la manière qu’il avait d’abord conçue, et en descendant il frappa chaque marche, un son se faisait entendre comme s’il s’était agi d’un tambour. Et la femme de ménage se rangea poliment de côté pour le laisser passer ! En se relevant, l’homme se demanda s’il devait courir dans le bureau du gestionnaire de l’immeuble pour demander qu’on renvoie la femme de ménage, mais il se dit que si on lui demandait la raison, cela déclencherait une certaine hilarité parmi les autres habitants de l’immeuble, il décida donc de garder le silence ! Mais depuis ce jour, il remarque la femme de ménage et il passe à côté d’elle avec respect et circonspection ! La saluant à chaque occasion. Car personne, malgré sa puissance, ne peut se permettre d’ignorer ses semblables, car une très humble femme de ménage et un pain de savon jaune bien ordinaire peuvent détourner l’attention d’un grand homme de ses rêves ou de ses difficultés professionnelles avec une rapidité surprenante. Par conséquent, considérez ces choses et ne pensez pas que vous êtes plus grand que le plus humble parmi les enfants de Dieu de peur que par accident, vous ne tombiez de votre piédestal et que vos blessures ne vous fassent souffrir un peu plus du fait que vous pourriez croire que la femme de ménage sourit dans ses bulles de savon ! Qu’elle commence sa journée de travail d’une humeur plutôt joyeuse en repensant au plaisir que vous lui avez procuré, car les temps sont difficiles et celui qui fait sourire une femme de ménage n’a pas vécu en vain ! Nous vous encourageons à faire de même et d’avoir toujours une parole gentille eu égard à tous ceux qui travaillent autour de vous comme le dit si bien, le proverbe 25 et au verset 11 : _ "Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos." Et encore comme a dit Jésus : _"Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert." Luc 22 : 26
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4 years ago
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262. Élève De Liszt
Une jeune fille, peu fortunée, nourrissait sa mère et ses frères et sœurs en donnant des leçons de piano. Un jour, poussée par la misère, et afin de se donner quelque prestige, elle fit mettre dans les journaux l’annonce d’un concert en se donnant comme élève de Liszt. Or, ce n’était pas vrai. Par une coïncidence étrange, le jour même du concert, Liszt arrive dans cette ville. Sans rien savoir, il descend dans l’Hôtel où se donne le concert. Hors d’elle-même, la jeune fille bouleversée se décide à aller trouver le maître pour tout avouer. Le grand artiste se montra plein de bonté envers la jeune fille dont les yeux étaient remplis de larmes. - Pauvre enfant, pauvre enfant, lui dit-il, je vous pardonne ! Le célèbre compositeur demanda alors à la jeune pianiste de se mettre au piano. Il écouta, la rendit attentive à quelques fautes, l’engagea à nuancer certains passages du morceau, puis il ajouta : « Vous pouvez dire maintenant que vous êtes mon élève, et je vous prie de mettre au programme que Franz Liszt jouera le dernier morceau ». Combien de chrétiens ne sont disciples de Christ que de nom ! Oh toi qui portes le nom de chrétien, es-tu vraiment à l’école de Christ ? Va, dis-lui tout. Il te pardonnera et mettra son nom dans le programme de ta vie.
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4 years ago
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L'horloge et l'inspecteur
Voilà plus de cinquante ans, un inspecteur de la Poste arrivait inopinément dans un bureau. Et interrogeait les employés : - Est- ce que vous prenez bien l'heure exacte à la radio chaque jour ? - A vrai dire, j'ai tellement de travail que je la règle plutôt sur l'horloge de la mairie, juste en face. Une horloge toute neuve ! Monsieur l'inspecteur. - Cela ne veut pas dire qu'elle soit exacte parce qu'elle est neuve ! Il est de toute importance d'avoir l'heure juste dans un bureau de poste. Réglez donc votre pendule sur la radio ! L'employé promit qu'il le ferait tout en pensant que l'inspecteur était bien maniaque. À la sortie l'inspecteur jette un regard sur l'horloge de la mairie qui a une bonne apparence dans son aspect de nouveautés. Il aperçoit le concierge devant la porte et l'interpellent : - Vous avez donc une nouvelle horloge à la mairie. - Est-ce qu'elle est bien exacte, au moins ? - Oh ! elle marche à merveille - Mais comment donc, le savez-vous, mon ami ? - Eh bien, je la règle d'après le bureau de poste, car je vois bien qu'elle ne varie pas. Vous savez les postiers, ils ont toujours l'heure exacte. Ainsi chacun était persuadé d'avoir l'heure juste en se fiant aux voisins d'en face ! Mais c'était évidemment une garantie bien précaire N'en n'est-il pas aussi pareillement des chrétiens qui s'efforcent de régler leur conduite sur celle de leurs frères et sœurs dans la foi ? Ces derniers pour leur part utilisent la même façon de faire. En effet, il existe une norme infaillible : Un guide sûr et éprouvé pour nous conduire dans l'obéissance qui glorifie Dieu. Il s'agit de la Bible que nous devions lire et puiser chaque jour, elle nous révèle Jésus ! Lui seul a pu dire dans l’Évangile de Jean au chapitre 14 verset 6 "Je suis le chemin, la vérité et la vie"
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4 years ago
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Le jardin mal tenu
— Je trouve que Dieu est injuste, estimait un cultivateur. Pourquoi ne donne-t-il pas aux hommes tous les moyens d’être heureux ? Bien des choses devraient changer… — Je suis d’accord avec vous, répondit un estivant en vacances dans le village. Par exemple, regardez ce pauvre jardin plein de mauvaises herbes ; tout est sec ; la nature l’a plutôt malmené, ce jardin ! — On voit que vous ne connaissez pas son propriétaire : un paresseux, un ivrogne qui laisse tout aller chez lui. — Peut-être, mais il ne commande ni au soleil, ni à la pluie, ce n’est pas lui qui fait pousser ses légumes. — Pas d’accord avec vous, reprit le premier, c’est tout à fait sa faute. Le jardin d’à côté reçoit les mêmes pluies, le même soleil et voyez comme il est bien entretenu… — Eh bien, mon cher, conclut l’étranger, il en est de même du monde. A qui la faute si au point de vue moral, il est à l’état sauvage ? A Dieu dont la belle création répondait exactement aux besoins de sa créature ? Ou à l’homme qui gâche stupidement ces ressources et a transformé cette terre en une véritable jungle ! L’homme pollue, dévaste et perpétue l’injustice sociale. Et tout cela sans fruits pour Dieu. Mais, il viendra un moment, où Dieu retirera aux descendants d’Adam l’administration de la terre et la confiera à Christ, le roi de l’univers. Alors, seulement règneront l’ordre, la paix et la justice dont l’homme ne peut jouir tant qu’il n’obéit pas à Dieu ». Le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve. Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies, quoiqu’il n’ait cessé de rendre témoignage, Actes 14 : 15-17.
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4 years ago
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Chaque dimanche après-midi, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient dans la ville pour distribuer des brochures d’évangélisation. Mais nous étions en hiver et, ce jour là, Il faisait très froid et il pleuvait beaucoup. L'enfant qui était déjà habillé dit: - Papa, je suis prêt Et son père lui demanda : - Prêt à quoi mon fils ? - Papa, il est temps de rassembler nos brochures et de sortir Son père lui répondit : - Rémy, il pleut et il fait très froid dehors ! Le garçon surprit alors son papa et lui demanda : - Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même les jours de pluie ? Son père lui répondit : - Rémy, le temps ne le permet pas ! Le garçon demanda alors : - Papa, est-ce que je peux y aller seul ? S'il te plaît ! Son père hésita un moment, puis lui dit : - D’accord, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent. - Merci, papa ! Et Rémy sortit sous la pluie Ce garçon de 11 ans, alla dans les rues faire du porte à porte, pour distribuer des feuillets à tous ceux qu'il voyait. Après deux heures de marche sous cette intense pluie, il était trempé, mais il ne lui restait qu'une toute dernière brochure. Il s'arrêta au coin de la rue, cherchant à qui il pourrait remettre le feuillet, mais les rues étaient totalement désertes. Il se tourna alors vers la première maison qu'il vit et se permit de sonner. Il sonna, sonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore,encore, et toujours personne, aucune réponse. Enfin, Rémy décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner et àfrapper fort à la porte. Soudain, Il entendit quelque chose qui remuait, là-haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... Debout à la porte, il y avait une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement - Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon enfant ? Avec des yeux et un sourire radieux, le petit garçon lui dit : - Madame, je suis désolé de vous avoir dérangée, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour pour vous ! Et puis, il lui remit son tout dernier feuillet et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit : - Merci, mon garçon ! Et que Dieu te bénisse ! (A suivre)