On discute du gap, parfois douloureux, entre nos attentes et la réalité.
« Je ne suis pas la mère que je pensais que je serais ».
C’est une phrase que je me dis souvent et que j’entends de plus en plus, sous une forme ou une autre.
Dans ce gap, on (re)découvre aussi des facettes positives de nous-mêmes.
Et on en ressort avec une meilleure capacité à naviguer les tempêtes.
Mais quand on est en plein dedans, c’est chiant.
Parlons-en.
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