Rejoignez notre newsletter "La Formule américaine" - https://royalcheesedigital.com/fr/newsletter-----S’implanter aux États-Unis, ce n’est pas juste traduire sa stratégie française — c’est une transformation radicale, culturelle et opérationnelle.1. L’adaptation totale est non négociableIl ne suffit pas de traduire des contenus pour réussir aux États-Unis : il faut transformer le message, le ton, l’image de marque et même les process internes pour s’aligner sur la culture américaine.2. Copier-coller sa stratégie française est une erreur fataleCroire qu’on peut simplement réutiliser site web, photos ou vidéos du marché français conduit droit à l’échec. Chaque contenu doit être repensé pour le public américain.3. Traduire, c’est aussi traduire culturellementTexte, image, vidéo : tout doit être recréé pour parler au public américain. Il ne s’agit pas seulement de langue, mais de références visuelles, de contextes, de modes de consommation.4. Positionnement produit : il faut souvent tout revoirUn produit haut de gamme en France peut devenir invendable aux USA si les coûts logistiques le rendent trop cher pour le marché. Il faut souvent resegmenter son audience et repositionner le produit.5. Les visuels doivent coller à l’imaginaire américainDes images tournées dans des décors trop européens (petits appartements, ambiance cosy) ne fonctionnent pas. Le public américain attend de grands espaces, des cuisines ouvertes, des maisons spacieuses.6. L’absence de diversité est un handicap majeurLe contenu visuel trop “blanc” est un frein. Aux USA, diversité ethnique, de genre et d’orientation est une norme culturelle et marketing incontournable.7. Les vidéos doivent toucher les émotions, pas juste informerLes vidéos françaises, souvent centrées sur les fonctionnalités, doivent être repensées pour mettre en avant les bénéfices et parler aux émotions du consommateur américain.8. La réactivité et l’agilité sont vitalesNe pas appliquer rapidement les recommandations d’adaptation fait perdre du temps, de l’argent, et nuit à la performance des campagnes marketing.9. L’alignement entre promesse marketing et expérience utilisateur est crucialMême les meilleures campagnes échoueront si le site ou l’expérience post-clic n’est pas cohérente avec le message. L’adaptation doit être complète, jusqu’au moindre détail.10. L’importance de l’audit comme outil de véritéUn audit approfondi peut révéler l’ampleur des transformations nécessaires. Mieux vaut abandonner un projet mal préparé que de lancer une campagne vouée à l’échec.11. L’écart culturel est plus profond qu’on ne le penseLes usages familiaux, les rythmes de vie, les priorités des consommateurs… tout diffère. Ignorer ces différences, c’est créer un produit inutile pour le marché américain.12. Il faut être prêt à repartir de zéroChanger de pays, c’est changer de logique. Branding, contenu, produit, relation client : tout doit être recalibré pour répondre aux attentes du marché américain.Conclusion :S’implanter aux États-Unis, c’est accepter de se déconstruire pour mieux renaître : es-tu prêt à te réinventer complètement ?-----Vidéo créée par Royal Cheese Agency, l'agence marketing des Français aux USA.More: https://royalcheese.agency
Rejoignez notre newsletter "La Formule américaine" - https://royalcheesedigital.com/fr/newsletter-----S'expatrier aux États-Unis, c’est un rêve américain qui peut très vite virer au cauchemar.Car partir entreprendre aux USA est bien plus qu’un projet professionnel : c’est une aventure humaine avant tout.1. Le mythe du rêve américain doit être déconstruitBeaucoup d’entrepreneurs français idéalisent l’expatriation comme un raccourci vers le succès. La réalité exige clarté, patience, et résilience, bien loin du cliché des billets verts faciles.2. Savoir pourquoi on part est fondamentalAvant toute démarche, il est crucial de distinguer les motivations professionnelles des motivations personnelles. Ce double niveau de réflexion conditionne la réussite du projet et sa pérennité.3. L’impact sur la sphère personnelle est souvent sous-estiméUn départ aux États-Unis impacte le couple, les enfants, les proches. Si cette dimension humaine n’est pas anticipée, elle peut tout faire échouer, y compris le business.4. Les associés doivent être sur la même longueur d’ondeSi plusieurs fondateurs sont concernés par l’expatriation, l’effet domino peut rendre les choses bien plus complexes. Alignement des objectifs et communication sont impératifs.5. Anticiper les aspects financiers et logistiques est vitalEntre le coût de la vie, l’assurance santé, la scolarité, les loyers, et les visas, le budget d’une installation aux USA peut vite exploser. Une mauvaise évaluation financière peut compromettre le projet entier.6. Le choix de la ville change toutChaque État, chaque ville a ses spécificités politiques, économiques, éducatives. S’installer à Austin n’a rien à voir avec s’installer à San Francisco. Il faut penser “stratégie de vie”.7. Le conjoint "plus un" doit être inclus dans la réflexionSelon le visa, le partenaire peut ne pas avoir le droit de travailler pendant plusieurs mois. Cela peut générer de la frustration, voire une crise de couple. Il faut prévoir cette phase d’adaptation.8. Avoir un plan B La vie américaine peut ne pas convenir. Il est essentiel d’avoir prévu une issue de secours : retour en France, réorientation professionnelle, repositionnement géographique.9. Définir les critères de réussite à l’avanceRéussir peut vouloir dire obtenir une green card ou juste passer deux ans enrichissants. Avoir une définition claire du succès permet d’éviter la désillusion.10. La green card est un parcours du combattantLe processus est long, incertain, coûteux. L’exemple de l’auteur : 10 ans pour l’obtenir. Il faut une motivation en béton armé pour aller jusqu’au bout.11. Ne pas tout miser sur un seul partenaire localTravailler avec une agence de marketing comme Royal Cheese ne remplace pas un avocat, un expert fiscal, ou un recruteur. Il faut un écosystème complet d’experts.12. Vouloir tout faire soi-même Par peur de dépenser, certains entrepreneurs veulent tout gérer seuls. Résultat : lenteur, erreurs juridiques ou fiscales, perte d’opportunités. Il faut déléguer et s’entourer.13. Le marché américain est exigeant Tout va plus vite. Ce qui prend trois jours en France doit être réglé dans la journée aux USA. Il faut donc être structuré, réactif, et prêt à investir dès le début.14. Une expatriation réussie repose sur l’alignement personnelLe vrai secret : que la famille soit prête. Partir seul dans sa tête, c’est condamner la mission. Il faut que tout le monde adhère au projet et à ses sacrifices.15. Le projet professionnel ne doit pas anéantir la vie personnelleTout donner au business et perdre son couple, ses enfants ou sa santé n’a aucun sens. L’équilibre est la clé. L’aventure doit être enrichissante sur tous les plans.ConclusionEt toi, si tu devais partir demain, serais-tu prêt à assumer chaque conséquence – personnelle, familiale, professionnelle – de ton rêve américain ?
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Voilà le vrai secret d’un pitch à l’américaine 👉 en 30 secondes, crée une connexion émotionnelle et donne envie d’en savoir plus !
Dans cette vidéo, je partage les clés du "pitch à l’américaine", cette méthode redoutable pour convaincre rapidement et efficacement, là où beaucoup échouent.
1. Pitcher, c’est créer une connexion émotionnelle, pas juste présenter son business
Aux États-Unis, le pitch est un art : il ne s’agit pas simplement de dérouler un PowerPoint, mais de capter l’attention et d’établir un lien fort avec son auditoire dès les premières secondes.
2. Un bon pitch repose sur deux piliers : un message clair et la capacité à se vendre
Maîtriser son message, c’est avoir travaillé son branding en amont pour pouvoir formuler des bénéfices concrets, hiérarchiser les informations selon le temps imparti (30 secondes, 3 minutes, 30 minutes), et s’adapter à son interlocuteur.
3. L’adaptation du message selon l’audience est cruciale
Un investisseur, un partenaire stratégique ou un client final n’ont pas les mêmes attentes. Il faut personnaliser le pitch selon leurs intérêts : ROI, synergies, bénéfices utilisateurs, etc.
4. L’erreur classique : un pitch générique pour tout le monde
Utiliser un même pitch pour toutes les audiences est une faute stratégique. Il faut concevoir plusieurs versions selon les profils (investisseur, partenaire, client) pour maximiser l’impact.
5. Le storytelling est la touche magique qui fait toute la différence
Même si le terme est galvaudé, le storytelling reste essentiel : il permet de partager le "pourquoi" derrière le projet, les motivations profondes, et de créer une vraie connexion émotionnelle. Cela renforce la crédibilité et donne envie de suivre l’aventure.
6. L’émotion guide les décisions, la raison les justifie
Les choix d’investissement, de partenariat ou d’achat sont toujours déclenchés par une émotion forte. Le bon pitch sait provoquer cette émotion tout en rassurant par une argumentation structurée.
7. Le "why" personnel du fondateur est central dans le pitch
En liant sa propre histoire au projet, le fondateur montre son implication, sa passion et son sérieux. C’est ce qui attire l’attention et donne envie de s’engager à ses côtés.
8. L’autopromotion est indispensable, même si elle est culturellement difficile pour un Français
Aux États-Unis, se vendre est une norme. Un bon pitch nécessite de savoir parler de soi, mettre en avant ses réussites sans arrogance, et montrer qu’on est la bonne personne pour porter le projet.
9. La culture américaine encourage la prise de parole et l’expression dès l’enfance
Contrairement à la France où parler en public peut être perçu comme prétentieux ou risqué, les Américains sont formés dès le plus jeune âge à s’exprimer, à pitcher, et à se valoriser sans gêne.
10. L’expérience personnelle (ex : jouer sur scène) aide à gagner en aisance
Apprendre à gérer son stress, capter une audience, articuler ses idées : tout cela peut se travailler. L’auteur raconte comment ses expériences musicales l’ont préparé à pitcher avec impact.
11. L’objectif ultime du pitch : créer une relation de confiance, pas juste convaincre
Le business, ce sont des relations humaines. Créer une connexion sincère et émotionnelle dès le pitch permet de poser les bases de relations durables, équilibrées et transparentes.
Conclusion :
Et si le vrai enjeu du pitch n’était pas de convaincre, mais de toucher l’autre, de l’embarquer dans une histoire commune ? Voilà de quoi repenser en profondeur notre manière de parler de nos projets.
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Misez sur Austin, pas sur New York : l’or des entrepreneurs est ailleurs pour entreprendre aux Etats-Unis
De plus en plus de villes américaines, bien loin des habituels New York, Miami ou Los Angeles, deviennent des eldorados pour entrepreneurs malins.
Développer son entreprise aux États-Unis ne rime plus forcément avec New York ou Los Angeles : de nombreuses villes offrent de meilleures opportunités à moindre coût.
1. Les grandes villes stars ne sont pas toujours un bon choix
New York, Los Angeles, Miami font rêver mais sont souvent inaccessibles pour les entrepreneurs qui partent de zéro. Les coûts y sont exorbitants : loyers, salaires, taxes.
2. Deux profils d’entrepreneurs doivent faire des choix très différents
Ceux qui ont déjà un business rodé en Europe peuvent se permettre d’investir dans des villes coûteuses. Ceux qui commencent de zéro doivent viser des villes moins chères pour limiter les risques.
3. Le coût de lancement est un facteur décisif
À Los Angeles, ouvrir une boulangerie coûte 400 à 500 000 dollars. À Denver ou à Austin, le même projet pourrait coûter deux fois moins. Les différences sont énormes, et peuvent être fatales.
4. Il existe des alternatives très compétitives
Austin (Texas), Denver (Colorado), Phoenix (Arizona), Las Vegas (Nevada) sont des villes dynamiques, bien moins chères, et pleines d’opportunités.
5. La répartition du PIB montre d'autres zones très actives
50 % du PIB américain est concentré dans une poignée de zones du territoire, qui ne sont pas forcément celles auxquelles on pense d’abord. Il faut apprendre à lire entre les lignes des cartes économiques.
6. Le Texas : l’État n°2 en puissance économique
Avec une fiscalité attractive, un coût de vie abordable, et une activité économique florissante, le Texas est une terre d’accueil idéale pour les entrepreneurs.
7. La fiscalité locale est un critère crucial
Les taxes varient énormément selon les États. Par exemple, la Californie est l’un des États les plus taxés, alors que le Texas est bien plus favorable pour le développement et la rentabilité d’une entreprise.
8. Le marché francophone est partout aux États-Unis
Il ne faut pas croire que la communauté française est concentrée uniquement dans les grandes métropoles. Des niches francophones existent ailleurs et peuvent être des marchés intéressants et peu exploités.
9. Un bon projet naît d’une bonne étude de marché
Avant de choisir une ville, il faut analyser les besoins non satisfaits d’une population cible, et évaluer les vraies opportunités plutôt que suivre une mode ou un rêve.
10. L’exode californien ouvre de nouvelles opportunités
Beaucoup de Californiens fuient vers l’Arizona, le Nevada ou le Texas, créant de nouvelles dynamiques économiques dans ces États : c’est là que de nouveaux marchés émergent.
11. La clé : choisir avec sa tête, pas avec son cœur
L’envie d’aller dans une ville "cool" peut coûter très cher. Une stratégie réfléchie, basée sur les données économiques et les coûts réels, est bien plus porteuse de succès.
Conclusion :
Réussir aux USA, c’est d’abord savoir où poser ses valises : un bon choix géographique peut transformer une simple idée en succès, ou un rêve en échec cuisant.
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Investir dans la "Lifetime Value" de vos clients (CLTV) est la clé pour surmonter les coûts élevés du marché américain.
Cet épisode explore les défis du marché américain pour les entreprises, notamment les coûts élevés d'acquisition client, et propose des stratégies centrées sur la rétention et la LTV pour maximiser la rentabilité.
1. Les coûts élevés aux États-Unis
- Le marketing numérique peut coûter parfoisdeux fois plus cher qu’en France, notamment en raison de la concurrence accrue et des limitations récentes des outils de tracking (ex. iOS 14 et fin des cookies tiers).
- Les salaires plus élevés et les tarifs des freelances et agences augmentent également les coûts fixes.
2. Adapter les prix ou booster la rentabilité
- Certaines marques, comme Decathlon, augmentent leurs prix aux États-Unis. Cependant, cette stratégie n’est pas applicable à toutes les entreprises.
3. Importance de la CLTV (Client Lifetime Value)
- La LTV mesure combien un client dépense au cours de sa relation avec une entreprise. Augmenter cette valeur est crucial pour compenser les coûts élevés d'acquisition.
4. La rétention pour renforcer la LTV
- Les abonnements (logiciels, plateformes, etc.) assurent une source de revenus récurrente et augmentent la durée de vie des clients.
- Exemple : Adobe a remplacé son ancien modèle d’achat unique par un système d’abonnement mensuel, augmentant ainsi sa LTV.
5. Travailler son branding pour fidéliser à vie
- Une marque forte crée une connexion émotionnelle avec ses clients, augmentant leur fidélité.
- Les clients attachés à une marque recommandent davantage ses produits ou services, que ce soit dans leur cercle personnel ou professionnel.
6. Erreurs de branding et leurs conséquences
- Une mauvaise gestion de la relation client peut rompre la fidélité. Exemple : Hootsuite a doublé ses prix sans réelle justification, poussant des clients fidèles à chercher des alternatives.
7. Anticiper la LTV dès la conception de la stratégie
- Penser à des produits complémentaires ou des services supplémentaires pour encourager les clients à revenir.
- Intégrer la rétention au cœur du business model, surtout pour des marchés compétitifs comme celui des États-Unis.
8. Accepter des pertes initiales
- Les coûts d’acquisition sont souvent plus élevés que les bénéfices initiaux. Miser sur la LTV permet de rentabiliser ces pertes à moyen et long terme.
Pour réussir sur le marché américain, il est crucial de prioriser la rétention client et de maximiser la LTV, au-delà de l’acquisition pure. Cette réflexion ouvre un débat sur l’équilibre entre rentabilité et fidélisation dans un contexte de coûts croissants.
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Pourquoi le branding est-il une arme majeure pour les entreprises américaines ?La domination mondiale des entreprises américaines s'explique, selon moi, par une culture du branding perçue comme une véritable religion aux États-Unis.Qu'est-ce que le Branding ?Le branding est un pilier stratégique en trois étapes :- La stratégie définit le positionnement, la personnalité et l'ADN de la marque.- L'expression visuelle, verbale et parfois sonore ou olfactive traduit cette stratégie.- La perception, ou image de marque, résulte de la cohérence entre stratégie et expression.Un branding maîtrisé dans les secteurs B2C et B2BLes entreprises B2C (Apple, Amazon) et B2B (Intel, Oracle) exploitent le branding pour séduire leurs publics respectifs.Les marques B2B2C, comme Visa ou MasterCard, communiquent également auprès des consommateurs finaux pour renforcer leur notoriété.Différencier les marques, même pour des produits similairesVisa, MasterCard et American Express se démarquent par des positionnements uniques : confiance pour Visa, exploration pour MasterCard, exclusivité pour Amex.Cette différenciation repose sur des stratégies claires et des images distinctes.Les erreurs courantes dans les approches européennesEn Europe, le branding est souvent limité à l'identité visuelle (logo, charte graphique).Cela néglige des éléments essentiels comme le storytelling, les valeurs et la connexion émotionnelle avec l’audience.Le rôle crucial du positionnementUne bonne stratégie de positionnement nécessite une analyse précise du marché, de la concurrence et des lacunes à combler.Ce positionnement permet aux marques de s'implanter dans un espace unique sur le marché.L’importance d’un message clair et efficaceLe "What's in it for me?" est central dans le marketing américain : les bénéfices doivent être communiqués de manière simple, rapide et percutante.Le pitch est un art fondamental pour capter l’attention des clients.Le service client comme vecteur d’image de marqueAux États-Unis, un service client de qualité désamorce les situations négatives et fidélise les clients.Exemple : Chewy personnalise l’expérience client, même dans des circonstances difficiles (décès d’un animal), renforçant ainsi son image humaine et proche des consommateurs.La répétition comme stratégie d’influenceRépéter un message sur plusieurs canaux (publicité, réseaux sociaux, email) renforce la notoriété et la crédibilité d’une marque.Cette stratégie de répétition est particulièrement efficace sur le marché américain, où l’exposition continue au message fait la différence.L’importance d’une cohérence totaleChaque aspect d’une entreprise, du produit au service client, doit refléter les valeurs et l’image voulues par la marque.Un branding cohérent garantit une perception positive et fiable par le consommateur.ConclusionLe branding, véritable religion aux États-Unis, dépasse les frontières du marketing pour devenir une philosophie d’entreprise. Son succès repose sur une maîtrise stratégique, une exécution cohérente et une adaptation continue au marché. Ce modèle inspire une réflexion : comment les entreprises françaises et européennes pourraient-elles s’approprier ces pratiques pour rivaliser sur la scène mondiale ?
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Les coûts marketing aux États-Unis sont bien plus élevés qu’en France, et les budgets nécessaires à une implantation réussie y sont souvent largement sous-évalués.---Le budget marketing aux États-Unis est culturellement plus élevé Les entreprises américaines investissent beaucoup dans leur marketing (10-25 % du chiffre d’affaires), une pratique ancrée dans la culture business locale.Le coût des campagnes publicitaires est nettement plus élevé Le coût par clic (CPC) et par installation d’application est environ deux fois plus cher aux États-Unis qu’en France, augmentant les coûts d’acquisition.L’influence marketing est hors de contrôle Collaborer avec des influenceurs américains coûte beaucoup plus cher, avec des tarifs souvent inaccessibles pour de petites marques.Les salaires et les frais de personnel augmentent considérablement les coûts Engager du personnel qualifié localement, surtout en Californie, peut doubler ou tripler les coûts par rapport à la France, même pour des profils juniors.Les coûts immobiliers et administratifs pèsent lourd Les loyers, travaux et permis liés à l’ouverture d’un local ou d’une boutique physique sont très élevés, avec un risque accru de retard ou d’échec.Exemple concret : les écarts de coûts chez Decathlon Les produits Decathlon coûtent jusqu’à deux fois plus cher aux États-Unis qu’en France, reflet des coûts d’importation, de taxes et de marketing.Sous-estimation des budgets marketing : une erreur commune Toutes les entreprises accompagnées par l’auteur ont initialement sous-évalué leurs besoins financiers pour pénétrer le marché américain.Stratégies d’entrée progressive pour minimiser les risques Plutôt que de viser une implantation nationale immédiate, il est préférable de se concentrer sur un État comme la Californie, puis de tester d’autres marchés.Le marché américain, une échelle incomparable Avec 50 États et une population de 360 millions, l’ampleur du marché justifie les coûts, mais nécessite des investissements stratégiques pour éviter des pertes.L’importance d’un accompagnement local expert Travailler avec des agences spécialisées aux États-Unis, bien que coûteux, est essentiel pour maximiser ses chances de succès sur ce marché exigeant.---Anticiper les coûts réels du marketing aux États-Unis est clé pour éviter les échecs coûteux. Une stratégie progressive et bien accompagnée est indispensable pour se développer efficacement.
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Comprendre et parler anglais ne garantit pas le succès sur le marché américain. Il faut adapter son message à la culture et aux nuances linguistiques locales. --- Comprendre la langue et son sens culturel Parler anglais couramment ne signifie pas saisir le sens profond des expressions ou des nuances culturelles. Adapter son discours va au-delà d’une simple traduction. Les différences entre l’anglais britannique et américain Les expressions, la grammaire et l’intensité du langage diffèrent entre ces deux versions de l’anglais, avec des implications majeures dans la communication et le marketing. L’importance de l’intensité du langage américain L’anglais américain est souvent plus direct et enthousiaste que le français, favorisant des expressions positives comme *amazing* au lieu de phrases modératrices typiques en France. Les subtilités du contexte social et professionnel Le "US Business English" et le langage informel diffèrent considérablement, nécessitant une adaptation constante pour bien communiquer au travail ou en société. Le pouvoir de la créativité linguistique en anglais américain La flexibilité de l’anglais américain permet d’inventer des mots ou des expressions, offrant des opportunités puissantes en branding et marketing. Le défi de l’immersion linguistique Même avec un bon niveau d’anglais, s’immerger dans un environnement anglophone demande un effort intense, notamment pour décoder les expressions et suivre le rythme des conversations. La nécessité d’une adaptation marketing précise Traduire directement du français à l’anglais peut aboutir à un message inefficace, voire inapproprié. Comprendre les attentes culturelles et les nuances de l’audience est crucial. Décoder les sous-entendus américains Certains termes, comme *interesting*, peuvent être interprétés différemment selon le contexte. Comprendre ces subtilités est essentiel pour éviter les malentendus. Les spécificités culturelles locales Les différences culturelles et linguistiques varient également entre les régions des États-Unis, rendant l’adaptation encore plus complexe. Faire appel à des experts Travailler avec des professionnels ayant une compréhension approfondie du marché américain, qu’il s’agisse d’agences ou de freelances, est un atout indispensable pour réussir. --- Réussir aux États-Unis nécessite plus que des compétences linguistiques. Savoir adapter son message à la culture et à la langue locales est essentiel pour connecter efficacement avec son audience, un défi passionnant mais exigeant.
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Ne sous-estimez jamais les différences culturelles entre la France et les États-Unis : un détail essentiel pour réussir.Ce premier épisode d’une série de dix met en lumière les principales différences culturelles et leurs impacts pour les entrepreneurs français souhaitant se lancer aux États-Unis.Différences culturelles profondes : une réalité incontournableContrairement aux idées reçues, la culture américaine ne se résume pas à ce qui est vu dans les séries ou films. Ces différences s’ancrent dans les interactions quotidiennes, professionnelles et sociales. Les vivre sur place permet de les comprendre réellement.Comparaisons biaisées entre France et États-UnisIl est erroné de comparer directement les deux pays. La France est comparable à un État comme la Californie en termes de population et d'économie, mais les 50 États américains possèdent des différences culturelles et linguistiques marquées.La diversité linguistique et culturelle comme opportunité Bien que l’anglais soit majoritaire, certaines régions nécessitent des adaptations linguistiques (espagnol en Californie, coréen dans d'autres régions). Adapter sa communication à ces communautés peut offrir un avantage compétitif.L’importance de la "positive attitude" américaineLes Américains valorisent l’encouragement et l’optimisme, ce qui contraste avec le penchant français pour la critique directe et le réalisme. Ce ton optimiste est essentiel dans les relations professionnelles et pour gagner la confiance.Un rapport au conflit très différentLes Américains évitent le conflit direct, contrairement aux Français qui peuvent aborder les désaccords de manière frontale. Cette approche plus douce et indirecte est cruciale pour maintenir des relations harmonieuses aux États-Unis.La rapidité et l’adaptabilité dans les affairesLe marché américain valorise la vitesse d’exécution. Lancer un produit imparfait (MVP - Minimum Viable Product) et ajuster ensuite est une stratégie commune. Attendre un produit parfait peut signifier perdre du terrain face à la concurrence.L’art du pitch : convaincre en 5 minutesSavoir expliquer clairement et rapidement son projet ou produit est un atout indispensable. Les Français, souvent plus longs dans leurs présentations, doivent maîtriser cet exercice clé.La ponctualité comme marque de respectÊtre en retard, même de cinq minutes, est perçu comme un manque de respect et de professionnalisme. Aux États-Unis, les réunions sont minutées et s'arrêtent souvent avant l’heure prévue.S’adapter à la culture locale avant de se lancer Traduire un produit ou un service en anglais ne suffit pas. Il faut également prendre en compte les usages et attentes locaux. Un exemple frappant est celui d’une application française qui proposait des recettes inadaptées aux habitudes culinaires américaines.Investir dans une analyse préalable du marchéComprendre les attentes, identifier les failles et adapter son produit ou service à la culture américaine est indispensable. Négliger cette étape revient à prendre le risque d’un échec coûteux.-Réussir aux États-Unis nécessite bien plus qu’une simple traduction ou une approche superficielle : c’est un effort d’adaptation culturelle, stratégique et linguistique. Cela soulève la question : sommes-nous prêts, en tant qu’entrepreneurs, à repenser entièrement nos méthodes pour conquérir un nouveau marché ?
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