La maison. Objet mythique, matériel et mental, un espace en frontière avec l’extérieur : l’intérieur du ‘chez soi’. Mais de quelles maisons pouvons-nous parler maintenant – ici en occident (voire ailleurs) ? qu’est-ce qu’on habite désormais ? un logis, une habitation, un toit, un domicile, un logement, un hébergement, une demeure, un abri, …, une résidence, une yourte, un tipi, un appartement, une cité, un foyer, une tente, une cabane, … autant de figures de cet objet essentiel. Et tout autour les espaces partagés : les escaliers, les places, les allées, les routes, les jardins, les terrains, etc. sont-ils habités tout pareil ?
On écoute ici des gens qui travaillent là-dessus ou y réfléchissent, qui tentent d’autres modalités que celles convenues et normées, ou qui font des choix singuliers, qui voient les effets des politiques actuelles ou passées sur les habitant.e.s ou qui partagent d’autres constructions, temporaires ou plus durables, qui vivent les interstices urbains ou d’autres territoires, qui voient des incidences sur les constructions dans l’enfance ou les choix de vie.
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La maison. Objet mythique, matériel et mental, un espace en frontière avec l’extérieur : l’intérieur du ‘chez soi’. Mais de quelles maisons pouvons-nous parler maintenant – ici en occident (voire ailleurs) ? qu’est-ce qu’on habite désormais ? un logis, une habitation, un toit, un domicile, un logement, un hébergement, une demeure, un abri, …, une résidence, une yourte, un tipi, un appartement, une cité, un foyer, une tente, une cabane, … autant de figures de cet objet essentiel. Et tout autour les espaces partagés : les escaliers, les places, les allées, les routes, les jardins, les terrains, etc. sont-ils habités tout pareil ?
On écoute ici des gens qui travaillent là-dessus ou y réfléchissent, qui tentent d’autres modalités que celles convenues et normées, ou qui font des choix singuliers, qui voient les effets des politiques actuelles ou passées sur les habitant.e.s ou qui partagent d’autres constructions, temporaires ou plus durables, qui vivent les interstices urbains ou d’autres territoires, qui voient des incidences sur les constructions dans l’enfance ou les choix de vie.
Laissez-nous ces hangars désaffectés, ces endroits oubliés, où il n’y a rien à perdre, où nous vivons ensemble dans l’enseignement millénaire de la mauvaise herbe. Claude Périard Contexte En suite des émissions traitant de la crise du logement au Québec (#76) et de l’éviction d’un lieu (#77) singulièrement habité et partagé par les membres d’une […]
Un coin quelque part
La maison. Objet mythique, matériel et mental, un espace en frontière avec l’extérieur : l’intérieur du ‘chez soi’. Mais de quelles maisons pouvons-nous parler maintenant – ici en occident (voire ailleurs) ? qu’est-ce qu’on habite désormais ? un logis, une habitation, un toit, un domicile, un logement, un hébergement, une demeure, un abri, …, une résidence, une yourte, un tipi, un appartement, une cité, un foyer, une tente, une cabane, … autant de figures de cet objet essentiel. Et tout autour les espaces partagés : les escaliers, les places, les allées, les routes, les jardins, les terrains, etc. sont-ils habités tout pareil ?
On écoute ici des gens qui travaillent là-dessus ou y réfléchissent, qui tentent d’autres modalités que celles convenues et normées, ou qui font des choix singuliers, qui voient les effets des politiques actuelles ou passées sur les habitant.e.s ou qui partagent d’autres constructions, temporaires ou plus durables, qui vivent les interstices urbains ou d’autres territoires, qui voient des incidences sur les constructions dans l’enfance ou les choix de vie.
