Je m'appelle Audrey, j'ai 36 ans. Et le 5 septembre 2023, j'ai arrêté de boire de l'alcool.
Dans les 6 premiers épisodes, je vous parle des réflexions qui jalonnent mon chemin dans la sobriété. Comment se (re)définir, quand on a construit notre personnalité et notre rapport aux autres autour de l'ivresse ? Est-ce que la sobriété heureuse existe ? Pourquoi arrêter définitivement, et ne pas simplement se modérer ? Est-on alcoolique quand on ne consomme pas le matin, ni tous les jours, ni seul ? Comment le chemin évolue au fil des semaines et des mois d'abstinence, et quels sont les bienfaits de la sobriété ?
J'y partage également des anecdotes intimes, parfois honteuses, sur ma consommation d'avant. Ces moments de vie permettent de s'identifier, de prendre conscience, mais aussi de se déculpabiliser.
A partir du 7ème épisode, je fais intervenir d'autres dépendants. Parce que, même si on se reconnaît dans beaucoup de comportements communs, on a tous notre propre histoire avec l'alcool.
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Je m'appelle Audrey, j'ai 36 ans. Et le 5 septembre 2023, j'ai arrêté de boire de l'alcool.
Dans les 6 premiers épisodes, je vous parle des réflexions qui jalonnent mon chemin dans la sobriété. Comment se (re)définir, quand on a construit notre personnalité et notre rapport aux autres autour de l'ivresse ? Est-ce que la sobriété heureuse existe ? Pourquoi arrêter définitivement, et ne pas simplement se modérer ? Est-on alcoolique quand on ne consomme pas le matin, ni tous les jours, ni seul ? Comment le chemin évolue au fil des semaines et des mois d'abstinence, et quels sont les bienfaits de la sobriété ?
J'y partage également des anecdotes intimes, parfois honteuses, sur ma consommation d'avant. Ces moments de vie permettent de s'identifier, de prendre conscience, mais aussi de se déculpabiliser.
A partir du 7ème épisode, je fais intervenir d'autres dépendants. Parce que, même si on se reconnaît dans beaucoup de comportements communs, on a tous notre propre histoire avec l'alcool.
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Lise nous raconte son histoire avec Charles, son compagnon, qu'elle a rencontré pendant leurs études. Elle nous parle des soirées étudiantes, des préchauffes, mais aussi de la bière après les cours et de la bouteille de vin à chaque dîner. L'alcool était déjà très présent. Mais c'est la vie étudiante et Lise se dit que c'est normal.
C'est en habitant ensemble que Lise réalise le problème de dépendance de Charles. Peu à peu elle est obligée de "fliquer" et de jouer un rôle dont elle ne voulait pas.
Comme beaucoup de proches co-dépendants, Lise va ressentir de la culpabilité, tout le temps. Culpabilité de le surveiller, de ne pas faire assez, mais aussi de penser à elle. Et les fois où ça ira mieux, ce sera la culpabilité de ne pas faire confiance qui se manifestera. Lise nous parle aussi du sentiment d'être seule à s'inquiéter pour Charles, de celui de ne pas avoir le droit d'aller mal, et d'hyper-vigilance.
Alors pour se protéger, Lise va prendre une forme de distance, même si ce n'est pas si simple.
Cette deuxième saison est soutenue par Alcool et Dépendance, le projet de mon coach de sobriété Olivier.
En plus d'accompagner les personnes dépendantes, Olivier accompagne les proches. Au travers de son compte Instagram, d’un module en ligne, d’un groupe de parole et de coachings, il les aide à comprendre et à accompagner leur conjoint, leur parent, leur frère ou leur soeur, tout en se préservant.
Si vous avez un proche dans cette situation, ne restez pas seuls. Vous pouvez contacter Olivier :
www.alcool-et-dependance.com
www.instagram.com/olivier_sansalcool
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