
Un débat sur la vulgarité : L'émission commence par une discussion entre l'animateur, Jean-Yves Lafesse, et un auditeur qui lui reproche d'être grossier et peu "intellectuel". Lafesse répond avec ironie en disant que le fait d'être "non-intellectuel" ne justifie pas la vulgarité, et que son émission est là pour dénoncer l'hypocrisie de la société.
Le jeu de "Poubelle Night" : Les animateurs animent un jeu absurde intitulé "Poubelle Night". La séquence est une succession de questions stupides et de blagues potaches. Un auditeur, un adolescent de 15 ans, appelle pour y participer. Les animateurs lui demandent d'épeler des mots, ce qu'il fait avec de nombreuses fautes, provoquant l'hilarité des animateurs.
Le plagiat et les médias : Un auditeur américain, Steve, appelle pour parler de la radio libre. Il se dit choqué par la vulgarité des radios américaines, mais se sent en phase avec le ton libre de Carbone 14. Un des animateurs l'invite à "plagier" les émissions pour les ramener aux États-Unis. La conversation dérive sur les différences culturelles entre les États-Unis et la France, et se moque de l'attitude des médias et de la "démocratie" américaine.
La vie privée des animateurs : Jean-Yves Lafesse et les autres animateurs n'hésitent pas à exposer leur vie privée de manière exagérée et caricaturale. Lafesse se moque de la mère de José Lopez, de ses problèmes de santé, et de sa vie sentimentale. José Lopez répond avec la même dérision en parlant de la vie intime de Jean-Yves.
Un appel pour un problème de radiateur : Un auditeur appelle pour demander des conseils sur la manière de peindre un radiateur. Les animateurs, dans leur style, se moquent de lui. Ils lui disent que ce problème est trivial et que les auditeurs de l'émission ont des problèmes bien plus importants, comme le chômage, la pauvreté ou les maladies.
Le problème de la censure : L'émission est ponctuée de plaisanteries sur la censure. Les animateurs se moquent de la "grosse tête" qui les surveille, et qui les empêche de parler de sexe ou de politique. Ils rappellent aussi que la station a un numéro de téléphone qui est censé être surveillé (664 19 70).
L'émission est un joyeux chaos. Les animateurs se coupent la parole, rient de leurs propres blagues et provoquent les auditeurs. La musique, des jingles et des chansons décalées, rythme le tout, créant une atmosphère de liberté totale.
Les animateurs se montrent volontairement grossiers et vulgaires pour se moquer de l'hypocrisie de la société et des médias traditionnels de l'époque. Ils utilisent des thèmes de la vie de tous les jours (la vie de couple, les problèmes de chômage, les maladies) pour créer un dialogue avec les auditeurs.
L'émission se termine par un rappel que tout est un jeu. L'animateur dit qu'il ne faut pas prendre l'émission au sérieux, et que les auditeurs, tout comme les animateurs, doivent être capables de rire de tout.
Ambiance et ton de l'émission