La femme est plurielle. La féminité a de multiples facettes.
Et elles se révèlent à chaque étape majeure de la vie d’une femme.
Ces facettes nouvelles sont taillées à sa mesure selon son audace à les laisser naître et à les incarner.
Mère, épouse, femme-enfant, femme fatale, femme libre, je les ai incarnées. Il n’y avait aucune qui était meilleure que d’autres, aucune qui était plus grisante ou intéressante ou à éviter à tout prix.
Elles ont progressivement révélé celle que je suis aujourd’hui. Et cette révélation n’est jamais finie.
Une nouvelle facette de ma féminité semble prendre place en moi, se consolider et se laisse montrer au monde. Et cette facette intimide, car une femme complète, consciente, dans la maîtrise de soi est pleinement dans sa Puissance. Elle est consciente de ce qu’elle est, de sa valeur, de ce qu’elle apporte, de ce qui se joue en elle, dans un lien. Elle est vraie. Peu influençable, peu manipulable.
Souveraine.
Il y a un moment dans la vie d’une femme où elle ne cherche plus à convaincre, à s’expliquer, ni à se battre. Ce moment-là signe sa montée en royauté intérieure.
Et l’homme n’est plus le centre de sa vie. C’est elle qui en est la reine, la souveraine.
Et tout cela réveille des peurs chez l’homme sur sa place, son rôle et le demande à sortir de sa zone de confort pour la rencontrer dans une nouvelle dynamique relationnelle.
Cette nouvelle féminité, je ne suis pas la seule à l’incarner. Ce n’est pas du féminisme, car elle s’affranchit de toute forme de combat. Elle revient à sa nature profonde, à son corps, à sa dimension sacrée, à la puissance de l’énergie de Vie qui vibre dans ses entrailles.
Elle reconsidère son rôle, son « utilité » aux yeux de la société. Cette utilité prend une autre dimension. Être utile, c’est aussi demeurer dans sa Présence divine et servir le monde tout en étant parfaitement au cœur de sa vie, guidée par sa joie et ses élans. Elle ne fait qu’un avec la Vie qui se déverse à travers elle. Elle en est l’instrument.
Sa Présence est aussi puissante et impactante que discrète et aimante.
Si ces quelques mots te « parlent », cet épisode est pour toi. Il n’est pas réservé qu’aux femmes, car si tu es un homme et tu lis ces mots, toi aussi tu es concerné. Dans cet épisode, je partage avec toi quelques étapes de l’alchimie intérieure qui s’est opérée en moi pour en arriver là. Ce n’est pas l’étape ultime, à laquelle je t’invite à aspirer. Ma parole t’offre simplement quelques repères et, je l’espère, cette sensation que oui, on peut être enfin en paix avec soi-même, tout en étant ce que l’on est.
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La femme est plurielle. La féminité a de multiples facettes.
Et elles se révèlent à chaque étape majeure de la vie d’une femme.
Ces facettes nouvelles sont taillées à sa mesure selon son audace à les laisser naître et à les incarner.
Mère, épouse, femme-enfant, femme fatale, femme libre, je les ai incarnées. Il n’y avait aucune qui était meilleure que d’autres, aucune qui était plus grisante ou intéressante ou à éviter à tout prix.
Elles ont progressivement révélé celle que je suis aujourd’hui. Et cette révélation n’est jamais finie.
Une nouvelle facette de ma féminité semble prendre place en moi, se consolider et se laisse montrer au monde. Et cette facette intimide, car une femme complète, consciente, dans la maîtrise de soi est pleinement dans sa Puissance. Elle est consciente de ce qu’elle est, de sa valeur, de ce qu’elle apporte, de ce qui se joue en elle, dans un lien. Elle est vraie. Peu influençable, peu manipulable.
Souveraine.
Il y a un moment dans la vie d’une femme où elle ne cherche plus à convaincre, à s’expliquer, ni à se battre. Ce moment-là signe sa montée en royauté intérieure.
Et l’homme n’est plus le centre de sa vie. C’est elle qui en est la reine, la souveraine.
Et tout cela réveille des peurs chez l’homme sur sa place, son rôle et le demande à sortir de sa zone de confort pour la rencontrer dans une nouvelle dynamique relationnelle.
Cette nouvelle féminité, je ne suis pas la seule à l’incarner. Ce n’est pas du féminisme, car elle s’affranchit de toute forme de combat. Elle revient à sa nature profonde, à son corps, à sa dimension sacrée, à la puissance de l’énergie de Vie qui vibre dans ses entrailles.
Elle reconsidère son rôle, son « utilité » aux yeux de la société. Cette utilité prend une autre dimension. Être utile, c’est aussi demeurer dans sa Présence divine et servir le monde tout en étant parfaitement au cœur de sa vie, guidée par sa joie et ses élans. Elle ne fait qu’un avec la Vie qui se déverse à travers elle. Elle en est l’instrument.
Sa Présence est aussi puissante et impactante que discrète et aimante.
Si ces quelques mots te « parlent », cet épisode est pour toi. Il n’est pas réservé qu’aux femmes, car si tu es un homme et tu lis ces mots, toi aussi tu es concerné. Dans cet épisode, je partage avec toi quelques étapes de l’alchimie intérieure qui s’est opérée en moi pour en arriver là. Ce n’est pas l’étape ultime, à laquelle je t’invite à aspirer. Ma parole t’offre simplement quelques repères et, je l’espère, cette sensation que oui, on peut être enfin en paix avec soi-même, tout en étant ce que l’on est.
Le monde de l’entreprise a été pendant plus de 15 ans mon terrain de jeu. J’ai connu des structures à dimension internationale et d’autres, à taille humaine, avec des responsabilités opérationnelles et stratégiques. J’ai managé, accompagné, recruté, fait évoluer mes équipes et comme elles, je vivais la réalité de l’entreprise de l’intérieur. C’est l’aventure humaine qui m’a le plus marquée, bien plus que des résultats ou des postes occupés. Je suis faite ainsi. Partout où il y a de l’humain, ça m’intéresse, ça me nourrit.
L’entreprise a besoin d’un nouveau souffle aujourd’hui, or, elle est toujours gérée à l’ancienne, avec des process, une structure pyramidale, des compétences cloisonnées, des aspirations individuelles souvent freinées. Elle est un terrain d’expression d’insatisfaction, de rapports de force, de jeux psychologiques et puis, de l’expansion, du déploiement, de tous les possibles. Elle est une expression parfaite d’un collectif d’humains imparfaits, en compétition et aussi en co-création, capable du pire comme du meilleur.
Mais, elle ne respire plus. Elle est gérée et peu vivante. L’intelligence suprême de la Vie n’y est pas autorisée, car trop dangereuse, imprévisible pour ce monde qui a besoin de structure, de fiches de postes et de plans à 5 ans.
Ce nouveau souffle viendra des hommes et pas nécessairement des dirigeants.
C’est un changement culturel profond auquel elle sera confrontée. L’homme sera au cœur de cette mutation naturelle, puisque c’est lui qui est à la fois l’expression et l’auteur du changement.
C’est une implosion qui ne prévient pas.
Le changement est un mouvement qui ne se décide pas, il naît à l’intérieur de soi.
L’époque actuelle est révélatrice. Nous ne pouvons pas l’anticiper. Et l’entreprise devra apprendre à évoluer dans un environnement incertain. Apprendre à danser avec la Vie avec souplesse et agilité sera son nouveau défi.
Dans cet épisode inspiré, six ans après avoir quitté le salariat, je pose un nouveau regard sur l’entreprise, sur ma posture de Leader avant et aujourd’hui. Je m’inspire du vivant, de l’entrepreneuriat, de l’intelligence collective pour offrir une direction dans laquelle j’aimerais voir l’entreprise évoluer. Et puis, je mets en lumière ce qui me semble indispensable pour que cette douce utopie devienne réelle.
Je sais que ce n’est pas tout à fait pour demain ce type d’entreprise. Mais le rôle de certains d'entre nous est de rendre l’impossible ordinaire.
SEMENCES SOLAIRES
La femme est plurielle. La féminité a de multiples facettes.
Et elles se révèlent à chaque étape majeure de la vie d’une femme.
Ces facettes nouvelles sont taillées à sa mesure selon son audace à les laisser naître et à les incarner.
Mère, épouse, femme-enfant, femme fatale, femme libre, je les ai incarnées. Il n’y avait aucune qui était meilleure que d’autres, aucune qui était plus grisante ou intéressante ou à éviter à tout prix.
Elles ont progressivement révélé celle que je suis aujourd’hui. Et cette révélation n’est jamais finie.
Une nouvelle facette de ma féminité semble prendre place en moi, se consolider et se laisse montrer au monde. Et cette facette intimide, car une femme complète, consciente, dans la maîtrise de soi est pleinement dans sa Puissance. Elle est consciente de ce qu’elle est, de sa valeur, de ce qu’elle apporte, de ce qui se joue en elle, dans un lien. Elle est vraie. Peu influençable, peu manipulable.
Souveraine.
Il y a un moment dans la vie d’une femme où elle ne cherche plus à convaincre, à s’expliquer, ni à se battre. Ce moment-là signe sa montée en royauté intérieure.
Et l’homme n’est plus le centre de sa vie. C’est elle qui en est la reine, la souveraine.
Et tout cela réveille des peurs chez l’homme sur sa place, son rôle et le demande à sortir de sa zone de confort pour la rencontrer dans une nouvelle dynamique relationnelle.
Cette nouvelle féminité, je ne suis pas la seule à l’incarner. Ce n’est pas du féminisme, car elle s’affranchit de toute forme de combat. Elle revient à sa nature profonde, à son corps, à sa dimension sacrée, à la puissance de l’énergie de Vie qui vibre dans ses entrailles.
Elle reconsidère son rôle, son « utilité » aux yeux de la société. Cette utilité prend une autre dimension. Être utile, c’est aussi demeurer dans sa Présence divine et servir le monde tout en étant parfaitement au cœur de sa vie, guidée par sa joie et ses élans. Elle ne fait qu’un avec la Vie qui se déverse à travers elle. Elle en est l’instrument.
Sa Présence est aussi puissante et impactante que discrète et aimante.
Si ces quelques mots te « parlent », cet épisode est pour toi. Il n’est pas réservé qu’aux femmes, car si tu es un homme et tu lis ces mots, toi aussi tu es concerné. Dans cet épisode, je partage avec toi quelques étapes de l’alchimie intérieure qui s’est opérée en moi pour en arriver là. Ce n’est pas l’étape ultime, à laquelle je t’invite à aspirer. Ma parole t’offre simplement quelques repères et, je l’espère, cette sensation que oui, on peut être enfin en paix avec soi-même, tout en étant ce que l’on est.
