« Perdition & Festivités »

Theodora pleure en boîte, fout le feu aux paradis artificiels mais ne perd pas son 93 adoptif.

Elle nous fait fantasmer un futur.

Un futur où la cold wave se fond sur de l’amapiano, où le rap est hyperpop et la pop n’est plus que du Theodora.

Un futur où la musique décloisonnée ne prend rien mais donne constamment.

Un univers entier où les êtres faibles, peinés et brisés peuvent danser et fêter librement, maîtres du rythme de leur vie.

Plus rien n’est figé, tout est en mouvement : les amours trop flous, les identités éclatées et la lose, tellement belle.

C’est comme une drogue : on peut s’y perdre mais on y revient.

On attendait Theodora sans le savoir.

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