
Dans ce poème Paul Éluard exprime un amour total, infini et presque irréel.
L’auteur dévoile sa fragilité, son apprentissage douloureux de la vie et son besoin de l’autre pour se connaître.
C’est une ode à l’amour absolu, plus grand que lui-même, qui transcende les illusions et révèle la lumière intérieure.