Quatre thématiques prioritaires animent la Revue Projet : écologie, migrations, justice sociale et démocratie. Dans un contexte de crises multiples (catastrophes environnementales, concentration du pouvoir économique, démocratie représentative en souffrance, etc.), l’enjeu est de chercher des sources d’inspiration pour faire advenir du neuf. La Revue Projet entend contribuer à ce mouvement en décryptant des sujets complexes, fidèle à sa devise « comprendre pour agir ». « Dénoncer ne suffit pas ou ne suffit plus », comme l’indique Edgar Morin, « il nous faut énoncer encore vers où nous voulons aller. »
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Quatre thématiques prioritaires animent la Revue Projet : écologie, migrations, justice sociale et démocratie. Dans un contexte de crises multiples (catastrophes environnementales, concentration du pouvoir économique, démocratie représentative en souffrance, etc.), l’enjeu est de chercher des sources d’inspiration pour faire advenir du neuf. La Revue Projet entend contribuer à ce mouvement en décryptant des sujets complexes, fidèle à sa devise « comprendre pour agir ». « Dénoncer ne suffit pas ou ne suffit plus », comme l’indique Edgar Morin, « il nous faut énoncer encore vers où nous voulons aller. »
Confrontée au bouleversement écologique, notre société invoque la « transition écologique » à tout va et tous vents. Le diagnostic comme les solutions aux crises climatique et écologique résonnent dans une cacophonie de discours, de postures et même d’oppositions. Les mots de la science ne sont pas ceux du politique qui ne sont pas ceux des ONG ou des acteurs économiques. La transition écologique serait-elle notre nouveau Babel ?
À l’occasion du 400e numéro de la *Revue Projet*, nous vous emmenons avec [notre dossier anniversaire « Les langages de la transition »](https://www.revue-projet.com/questions-en-debat/les-langages-de-la-transition/370) démêler les mots de l’écologie.
Dans cet épisode, nous nous intéressons au Giec et plus précisément à sa mécanique. Comment des scientifiques du monde entier, de cultures et de disciplines différentes, arrive à concevoir ces fameux rapports et les synthèses qui les accompagnent ? Sommes-nous là face à l’élaboration d’un langage commun ?
Pour répondre à ces questions (et bien d’autres !), trois invités, auteurs de ces fameux rapports :
• **Sophie Szopa** est chercheuse en chimie atmosphérique. Elle a été autrice principale et coordinatrice d’un chapitre pour le 6ème rapport du Giec. Elle a aussi contribué à la rédaction des résumés technique et pour décideurs.
• **Robert Vautard**, climatologue, a été élu co-président du Groupe du Giec sur les bases physiques du climat en juillet 2023. Il a aussi été auteur et coordinateur d’un chapitre du dernier rapport du Giec.
• **Jean-Charles Hourcade** est économiste. Il est l’un des auteur du rapport 1°5C du Giec paru en 2018 et auteur de la synthèse du sixième rapport.
L’entretien est mené par Benoît Hervieu-Léger, rédacteur en chef adjoint de la* Revue Projet*.
Cet épisode est soutenu par l’Ademe (l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et la Fondation Terre Solidaire.
Réalisation : Martin Monti-Lalaubie
Musique générique :
Titre : Dolling
Auteur : Cybersdf
Source : https://soundcloud.com/cybersdf
Licence : https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/deed.fr
Téléchargement : https://www.auboutdufil.com
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Quatre thématiques prioritaires animent la Revue Projet : écologie, migrations, justice sociale et démocratie. Dans un contexte de crises multiples (catastrophes environnementales, concentration du pouvoir économique, démocratie représentative en souffrance, etc.), l’enjeu est de chercher des sources d’inspiration pour faire advenir du neuf. La Revue Projet entend contribuer à ce mouvement en décryptant des sujets complexes, fidèle à sa devise « comprendre pour agir ». « Dénoncer ne suffit pas ou ne suffit plus », comme l’indique Edgar Morin, « il nous faut énoncer encore vers où nous voulons aller. »