
Nos études doivent-elles nécessairement nous passionner ? Comment faire si ce n’est pas le cas à 100% ?
Pour répondre à ces questions, j’ai le plaisir d’accueillir Valentine, une étudiante en école d’ingénieurs confiante et rassurante.
Persuadée que le coté humain est fait pour elle, Valentine s’oriente après le lycée vers des études de psychomotricité. Mais très vite elle se rend compte que l’aspect humain et le facteur émotionnel sont un peu trop présents et ne lui correspondent pas.
Courageuse, elle décide de se réorienter vers un DUT informatique puis d’intégrer une école d’ingénieurs.
Mais la technicité de l’informatique ne la passionne pas davantage. Mais cette fois-ci, Valentine ne décide pas de changer radicalement de voie. Elle prend le parti pris de regarder ses études d’un autre angle et de recherche une ouverture, une opportunité qui lui permettrait d’utiliser ses compétences techniques tout en trouvant le métier qui lui correspondrait.
Elle entreprendra comme le font très souvent les diplômés ingénieurs une formation managériale afin de devenir chef de projet.
Valentine est motivante et rassurante. Elle nous affirme que changer de voie et remettre en question ses choix pendant ses années d’études est courant et tout à fait sain.
Elle nous affirme que le « travail passion» est une quête plus au moins longue selon les individus et qu’il ne faut surtout pas culpabiliser de ne pas le trouver à 20 ans !
Bonne écoute les copains !