
Aujourd’hui, nous allons nous pencher sur une questioncruciale : le numérique est-il un facteur d’équilibre, ou bien sommes-nous en train d’assister aux mouvement incontrôlés d’une techno-structure loin deson point d’équilibre où la pensée analytique de Sapiens, fondée sur la preuve et la rationalité, entre en collision avec la pensée probabiliste de Numéricus, régie par des algorithmes et des sets de données opaques ?