La Cage de Frank Gastambide, c’est un peu comme monter sur le ring sans entraînement : on commence plein d’entrain, puis, coup après coup, on perd patience, jusqu’à jeter l’éponge. Dès les premières minutes, j’ai senti que quelque chose clochait. Le concept était prometteur, mais plus l’épisode avançait, plus je m’accrochais au moindre espoir… comme si une surprise allait me remettre dans le match. Spoiler alert : ça n’est jamais arrivé.

Alors que je m'attendais à des uppercuts scénaristiques et à des combats d’idées percutants, La Cage m’a offert… de longues séances d'attente, des dialogues qui tournent en rond, et des situations où la tension est aussi présente qu'un arbitre endormi. J’aurais presque voulu enfiler des gants et passer derrière la caméra ! Entre deux soupirs, j’ai même commencé à calculer combien de minutes il me restait avant la fin.

Finalement, l’expérience aura été sportive… mais pas dans le bon sens. La Cage, c’est un marathon d’endurance pour ceux qui espéraient de l’adrénaline et ont reçu une bonne séance de Yoga . Merci pour l’expérience, Frank, mais la prochaine fois, je laisse les gants à la maison !