Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
The Legend of Clifford Hicks, signé Tommaso Valsecchi au scénario et Riccardo Rosanna au dessin, publié chez Glénat dans la collection Treize Étrange, est un album qui nous plonge dans l’univers du jazz américain, à la croisée de la musique, de la mémoire et de la légende.L’histoire s’ouvre sur une atmosphère typique des clubs enfumés des années 1940 et 1950. Clifford Hicks, trompettiste talentueux, y apparaît comme une figure à la fois familière et mystérieuse. Ce n’est pas un personnage historique réel, mais il est construit comme une somme de plusieurs musiciens emblématiques : on y devine des échos de Miles Davis, de Dizzy Gillespie, de Clifford Brown, ou même de Chet Baker. Ce mélange crée un héros de fiction crédible, une incarnation de tous ces artistes qui ont marqué le jazz, parfois dans l’ombre, parfois trop tôt disparus.
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.