Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
Aujourd’hui, on sort le cuir, les bottes et surtout le réacteur dorsal, parce que je vais vous parler d’un héros culte des comics : Rocketeer, et plus précisément de l’album La cargaison maudite, publié chez Delcourt.Créé à l’origine par Dave Stevens au début des années 80, Rocketeer, c’est un personnage qui a tout du héros pulp : un pilote casse-cou des années 30, Cliff Secord, qui tombe par hasard sur un prototype de jetpack. À partir de là, son destin bascule : costume rétro, casque profilé, revolver à la main… et le ciel devient son terrain de jeu. Une sorte de cousin américain de Tintin croisé avec Indiana Jones, avec une touche de Flash Gordon.
Nonobstant
Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.