Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
Les éditions Litos viennent de rééditer Le Photographe d’Auschwitz, de Luca Crippa et Maurizio Onnis— l'histoire de l'homme qui Sauveur, 40 000 clichés photographiques des flammes qui servir à documenter les horreurs nazis Wilhelm Brasse est photographe. Un jour, la guerre le rattrape. Il est arrêté, déporté à Auschwitz. Là, on l’affecte au service d’identification : son travail, prendre des portraits. Ces images, glacées, servent la machine documentaire du camp. Elles deviennent aussi la preuve. Brasse survit en faisant ce qu’il sait faire — cadrer, déclencher — tout en gardant au fond de lui l’horreur de ce qu’il photographie. Le livre retrace sa vie dans le camp, sa façon de résister à la contrainte, et comment, après la guerre, ses tirages serviront aux procès et à la mémoire.
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.