Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
All content for Nonobstant is the property of Xavier NATAF and is served directly from their servers
with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
Disponible chez Playlist Society, Seinfeld, fini de rire, de Hendy Bicaise, revisite la célèbre sitcom des années 90 pour en révéler la noirceur cachée. Bien plus qu'une comédie sur rien, cette série explore le vide, la maladie et la mort… l’art de faire rire pour ne pas pleurer. L’auteur, critique de cinéma, déconstruit l’image d’une sitcom légère pour en extraire une vision froide de l'existence humaine — où l’absence d’empathie, l’absurde quotidien et la superficialité des liens deviennent armes de comédie.
Nonobstant
Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.