Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.
Aujourd’hui, louis, je voudrais mettre un coup de projecteur sur un album publié chez Glénat, collection « Treize Étrange »: Albert Kahn : l’archiviste de la planète, Sur un scénario de Didier Quella-Guyot et dessins de Manu Cassier.Né en 1860 près de Strasbourg, Albert Kahn est issu d’une famille juive alsacienne. Très jeune, il quitte l’Alsace pour Paris, où il gravit les échelons de la finance : employé de banque, spéculateur de diamants en Afrique du Sud, avant de fonder sa propre institution. Dans cet album de 96 pages Didier Quella-Guyot nous plonge au cœur du projet pharaonique d’Albert Kahn : les Archives de la planète : sauvegarder la mémoire visuelle de l’humanité, en lançant des expéditions photographiques et filmographiques dans le monde entier
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Le livre Moi, Orson Welles – Entretiens avec Peter Bogdanovich, récemment réédité aux éditions Capricci, est une mine. On y retrouve Welles comme on l’aime : cabotin, brillant, excessif. Et surtout, il y parle beaucoup de ses rapports singuliers avec le judaïsme et la culture juive.Quand on pense à Orson Welles, on voit d’abord Citizen Kane, l’enfant prodige d’Hollywood, ou encore la silhouette massive, cigare vissé à la main. Mais derrière le génie flamboyant se cache aussi un homme fasciné — et profondément marqué — par le judaïsme et la culture juive.