
Après quelques années de fête à notre actif et deux ans de pandémie mondiale, on a dû se rendre à l’évidence : la fête n’est pas anodine.
Qu’elle soit la récompense d’une semaine acharnée de boulot ou un état d’esprit, la fête n’incarne pas seulement la recherche du plaisir, mais dit beaucoup de nous :
Pour certains un cercle militant, pour d’autre un espace cathartique… Pourquoi est-ce qu’on aime la fête autant qu’on peut la détester ? Est-ce que la fête est un refuge, ou au contraire un lieu mal encadré, qui exacerbe nos fragilités ?
Pour comprendre pourquoi la fête nous fait tourner la tête, nous avons rencontré des noctambules et nous avons écouté leur histoire.