Fatigue, difficultés de concentration, moral en berne : nous avons tous, un jour ou l'autre, expérimenté ces symptômes liés à un coucher tardif ou au manque de sommeil. Le nombre d'heures que nous consacrons à dormir, la quantité et la qualité de notre alimentation sont autant de facteurs qui participent à notre santé et notre bien-être. Mais les moments que l’on choisit pour dormir et manger influencent également notre métabolisme à plus long terme. Étienne Challet, chercheur à l’institut des Neurosciences cellulaires et intégratives (INCI / CNRS) étudie les rythmes biologiques et leurs interactions avec la nutrition et le sommeil. Il nous explique quelles peuvent être les conséquences de modes de vie désynchronisés sur notre santé.
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