
La plupart des cultivateurs s’appuient encore sur un contrôle d’éclairage analogique 0–10V, mais la vérité, c’est que cette technologie freine les installations modernes. Le gradateur analogique atteint un maximum d’environ 20 à 30 luminaires par ligne, nécessite plusieurs dongles (LMA14s), et présente un risque d’erreurs de signal aléatoires pouvant provoquer un scintillement indésirable ou même des allumages « fantômes » pendant la nuit. Pour une culture à grande échelle, ce n’est pas seulement gênant — c’est coûteux et risqué.
Dans cet épisode, nous discutons avec Josh Barker, Directeur de la culture chez Miami Mango, des raisons pour lesquelles le contrôle d’éclairage numérique représente l’avenir de l’horticulture. De l’intégrité du signal et la possibilité de connecter des centaines de luminaires sur une seule ligne, à la correction « Last Command » qui évite les risques de re-végétation, jusqu’au contacteur numérique OPA2 révolutionnaire qui élimine la consommation cachée de courant nocturne — cette conversation aborde tous les aspects essentiels.
Nous partageons également des expériences réelles, dont le fameux test de scintillement du 4 juillet, qui a poussé les fabricants à corriger le comportement de leurs protocoles. En prime, découvrez un aperçu exclusif de la plateforme logicielle Omega, conçue pour unifier l’éclairage, la climatisation (HVAC) et les analyses de culture sur un seul tableau de bord.
Que vous gériez quelques salles ou une installation de plusieurs hectares, cet épisode est incontournable si vous souhaitez :
Éliminer la consommation fantôme la nuit
Étendre votre système d’éclairage sans multiplier les dongles ni le désordre des câbles
Améliorer la sécurité et la fiabilité grâce aux pilotes numériques
Pérenniser votre installation grâce à un logiciel de gestion intégré
💡 Si vous êtes sérieux à propos de la réduction des coûts, de la protection de vos cultures et d’une expansion plus intelligente — le numérique est la seule voie d’avenir.