Dans l'ovaire du décor, retrouvez des conversations avec des personnes qui pensent leur monde différemment.
Ce projet était à l'origine exclusivement tourné vers l'accouchement et la périnatalité, mais j'ai rapidement senti que j'avais besoin de l'ouvrir à des sujets qui peuvent sembler sans rapport alors qu'ils font partie d'un tout bien plus grand, un système qu'on a je crois besoin de mettre en lumière.
Le fait que les femmes soient victimes de violences gynécologiques et obstétricales, qu'autant de césariennes soient pratiquées, qu'il y ait autant de dépression du post-partum n'est qu'une face d'une même société qui ne met pas les individus - et encore moins les femmes - au coeur de ses priorités.
Dans l'ovaire du décor j'ai donc envie d'entamer ou prolonger des discussions autour de sujets comme les relations familiales, les relations aux autres, l'amitié, la gestion des émotions, la colère, l'argent, tant d'autres et évidemment, toujours, l'accouchement.
L'idée est d'ouvrir des fenêtres sur des modes de pensées différents, des schémas familiaux inhabituels, secouer ses propres certitudes, pour peut-être construire une vie et faire des choix qui nous correspondent, pour de vrai.
Bienvenue !
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Ce projet était à l'origine exclusivement tourné vers l'accouchement et la périnatalité, mais j'ai rapidement senti que j'avais besoin de l'ouvrir à des sujets qui peuvent sembler sans rapport alors qu'ils font partie d'un tout bien plus grand, un système qu'on a je crois besoin de mettre en lumière.
Le fait que les femmes soient victimes de violences gynécologiques et obstétricales, qu'autant de césariennes soient pratiquées, qu'il y ait autant de dépression du post-partum n'est qu'une face d'une même société qui ne met pas les individus - et encore moins les femmes - au coeur de ses priorités.
Dans l'ovaire du décor j'ai donc envie d'entamer ou prolonger des discussions autour de sujets comme les relations familiales, les relations aux autres, l'amitié, la gestion des émotions, la colère, l'argent, tant d'autres et évidemment, toujours, l'accouchement.
L'idée est d'ouvrir des fenêtres sur des modes de pensées différents, des schémas familiaux inhabituels, secouer ses propres certitudes, pour peut-être construire une vie et faire des choix qui nous correspondent, pour de vrai.
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Dans la 2e partie de ma conversation avec Esther et Clémence, on aborde des sujets qui m'ont personnellement beaucoup questionné, et comme toujours puisque l'intime est politique, qui vous ont peut-être aussi parfois interrogé.
D'abord la question du regard de l'autre, et comment Clémence a trouvé le style qui lui convient, un style loin de coller aux attentes de la société et qui lui vaut parfois des remarques qui nourrissent finalement un esprit de contradiction qui lui convient bien.
Ensuite la question qui peut sembler anecdotique et pourtant, du pour ou contre aller chercher son enfant en soirée. Et les mots très justes d'Esther ont fort raisonné en moi, je suis sûre qu'ils raisonneront en vous aussi.
Je vous laisse découvrir la suite de la conversation, la philosophie d'Esther et les dernières minutes, enregistrées après que le micro ait été coupé, qui apportent des éléments importants pour comprendre le contexte familial d'Esther, Clémence et leur famille.
Bonne écoute !
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