L’œil dans le rétro est une séquence hebdomadaire de Matin Première. Chaque semaine, Pierre Marlet se plonge dans un événement passé pour éclairer le présent. L’Histoire n’est pas un éternel recommencement, mais on comprend mieux l’actualité en comprenant comment de grands événements ont eu lieu, pourquoi ils ont marqué leur temps ou comment ils sont devenus une date importante. Parfois, ils ont été mal interprétés, d’autres fois, ils sont tombés dans l’oubli. Et pourtant, ils ont souvent eu un impact déterminant.
Pourquoi le monde ne parle pas français ou anglais ? C’est en partie à cause de la guerre de 7 ans et un peu la faute à Napoléon. Comment le monde a-t-il échappé de justesse à la guerre nucléaire durant la guerre froide ? Grâce au sang froid d’officiers américains ou russes, à celui du président des Etats-Unis ou du secrétaire général du parti communiste de l’URSS… Ce qu’on croyait être un missile nucléaire relevait de la fake news.
À partir d’un événement précis, "L’œil dans le rétro" fait revivre les grands dictateurs du XXe siècle : Staline, Hitler, Mussolini. Il revient sur les figures marquantes de l’histoire de Belgique, à commencer par les rois comme Albert Ier ou Léopold II.
Avec François Mitterrand, Charles De Gaulle, Emmanuel Macron ou Nicolas Sarkozy, nous revivrons les campagnes présidentielles françaises toujours palpitantes. Avec Martin Luther King, Donald Trump ou Barack Obama, nous reviendrons sur les racines du racisme en Amérique. L’Histoire explique le présent : Margaret Thatcher a annoncé le Brexit, Juan Carlos a sauvé la démocratie en Espagne, le mot génocide a été créé par un juriste qui a vécu en Ukraine, John Fitzgerald Kennedy a détesté la CIA après l’invasion ratée de Cuba. Le football a sa propre géopolitique : on ne comprend rien à l’Argentine sans comprendre le statut qu’y occupe Maradona ou Messi ; on ne sait rien du Tour de France si on ignore comment Raymond Poulidor ou Eddy Merckx ont nourri son mythe.
Placer son œil dans le rétro nous fait vivre l’actu autrement, en nous racontant la grande Histoire à travers des destins particuliers d’individus ou de nations.
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L’œil dans le rétro est une séquence hebdomadaire de Matin Première. Chaque semaine, Pierre Marlet se plonge dans un événement passé pour éclairer le présent. L’Histoire n’est pas un éternel recommencement, mais on comprend mieux l’actualité en comprenant comment de grands événements ont eu lieu, pourquoi ils ont marqué leur temps ou comment ils sont devenus une date importante. Parfois, ils ont été mal interprétés, d’autres fois, ils sont tombés dans l’oubli. Et pourtant, ils ont souvent eu un impact déterminant.
Pourquoi le monde ne parle pas français ou anglais ? C’est en partie à cause de la guerre de 7 ans et un peu la faute à Napoléon. Comment le monde a-t-il échappé de justesse à la guerre nucléaire durant la guerre froide ? Grâce au sang froid d’officiers américains ou russes, à celui du président des Etats-Unis ou du secrétaire général du parti communiste de l’URSS… Ce qu’on croyait être un missile nucléaire relevait de la fake news.
À partir d’un événement précis, "L’œil dans le rétro" fait revivre les grands dictateurs du XXe siècle : Staline, Hitler, Mussolini. Il revient sur les figures marquantes de l’histoire de Belgique, à commencer par les rois comme Albert Ier ou Léopold II.
Avec François Mitterrand, Charles De Gaulle, Emmanuel Macron ou Nicolas Sarkozy, nous revivrons les campagnes présidentielles françaises toujours palpitantes. Avec Martin Luther King, Donald Trump ou Barack Obama, nous reviendrons sur les racines du racisme en Amérique. L’Histoire explique le présent : Margaret Thatcher a annoncé le Brexit, Juan Carlos a sauvé la démocratie en Espagne, le mot génocide a été créé par un juriste qui a vécu en Ukraine, John Fitzgerald Kennedy a détesté la CIA après l’invasion ratée de Cuba. Le football a sa propre géopolitique : on ne comprend rien à l’Argentine sans comprendre le statut qu’y occupe Maradona ou Messi ; on ne sait rien du Tour de France si on ignore comment Raymond Poulidor ou Eddy Merckx ont nourri son mythe.
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S’il y a bien des jeux dont tout le monde a entendu parler, ce sont ceux de 1936. En raison de la personne qui dans le stade, selon le protocole, en déclare l’ouverture. Ce n'est autre qu'Adolf Hitler. Pourquoi donc le Comité International olympique lui a-t-il fait un tel honneur ?
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L'œil dans le rétro
L’œil dans le rétro est une séquence hebdomadaire de Matin Première. Chaque semaine, Pierre Marlet se plonge dans un événement passé pour éclairer le présent. L’Histoire n’est pas un éternel recommencement, mais on comprend mieux l’actualité en comprenant comment de grands événements ont eu lieu, pourquoi ils ont marqué leur temps ou comment ils sont devenus une date importante. Parfois, ils ont été mal interprétés, d’autres fois, ils sont tombés dans l’oubli. Et pourtant, ils ont souvent eu un impact déterminant.
Pourquoi le monde ne parle pas français ou anglais ? C’est en partie à cause de la guerre de 7 ans et un peu la faute à Napoléon. Comment le monde a-t-il échappé de justesse à la guerre nucléaire durant la guerre froide ? Grâce au sang froid d’officiers américains ou russes, à celui du président des Etats-Unis ou du secrétaire général du parti communiste de l’URSS… Ce qu’on croyait être un missile nucléaire relevait de la fake news.
À partir d’un événement précis, "L’œil dans le rétro" fait revivre les grands dictateurs du XXe siècle : Staline, Hitler, Mussolini. Il revient sur les figures marquantes de l’histoire de Belgique, à commencer par les rois comme Albert Ier ou Léopold II.
Avec François Mitterrand, Charles De Gaulle, Emmanuel Macron ou Nicolas Sarkozy, nous revivrons les campagnes présidentielles françaises toujours palpitantes. Avec Martin Luther King, Donald Trump ou Barack Obama, nous reviendrons sur les racines du racisme en Amérique. L’Histoire explique le présent : Margaret Thatcher a annoncé le Brexit, Juan Carlos a sauvé la démocratie en Espagne, le mot génocide a été créé par un juriste qui a vécu en Ukraine, John Fitzgerald Kennedy a détesté la CIA après l’invasion ratée de Cuba. Le football a sa propre géopolitique : on ne comprend rien à l’Argentine sans comprendre le statut qu’y occupe Maradona ou Messi ; on ne sait rien du Tour de France si on ignore comment Raymond Poulidor ou Eddy Merckx ont nourri son mythe.
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