
Courte nouvelle de mon auteur longtemps préféré. Je retrouve toujours avec plaisir le rythme souple des phrases, leur galop tranquille et naturel, pour servir l'élan des relations de séduction.
A écouter avec un verre de vin italien, ou cet éternel Spritz, mais au St Germain plutôt qu'au Campari, pour ajouter la pointe douceâtre du sureau et rappeler les grandes heures d'un boulevard bien parisien que le Hussard arpenta comme son petit salon pendant ses années glorieuses.
Et Don Juan, bien sûr, en fond ; auditrice ou auditeur, tu sauras pourquoi.
Cheers !