
J'ai détesté La Promesse de l'Aube. Je n'ai pas pu terminer Les Racines du Ciel. Mais les premières pages de Clair de femme me sont un chef d'oeuvre : la vision du monde traduite par le style m'ouvre des perspectives fantastiques et m'emporte loin (la flûte qui grignote le silence, le mensonge sur Vegas, etc.)
Sans parler de la façon subtile d'amener le portrait de Lydia, et jusqu'à la révélation discrète de son prénom. Bref : je suis déjà convaincu. Deux paragraphes auront suffi.
A écouter avec un alcool fort, parce que le couple est un alcool fort. Un gin tonic bien tassé, par exemple. Et un second. En musique : les solos de batterie de Buddy Rich (on pourra également goûter la bande originale de Birdman).
Cheers !