
Qu’est-ce qui fait que l’amour reste ?
On parle souvent du début, des papillons, de l’évidence.
Mais qu’en est-il de l’après ?
Quand l’amour ne se mesure plus aux battements de cœur affolés, mais à la présence qui rassure.
Quand il ne se crie plus, mais se prouve dans les détails, les silences, les gestes anodins qui veulent dire “je suis là”.
Est-ce que l’amour qui dure est moins intense, ou simplement plus vrai ?
Et si, au fond, le secret n’était pas dans la passion qui embrase, mais dans la constance de ceux qui restent ?