Derrière chaque porte close, il y a des voix qu’on n’entend pas.
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) a été créé par la loi en 2007 pour les écouter - et pour veiller au respect des droits fondamentaux de toutes celles et ceux que la justice ou l’administration décident d’enfermer.
Ses contrôleurs peuvent entrer à tout moment, de jour comme de nuit, dans les prisons, les hôpitaux psychiatriques, les centres de rétention administrative, les locaux de garde à vue ou les centres éducatifs fermés. Ils franchissent chaque porte, rencontrent détenus, patients, retenus, personnels, et rendent compte publiquement de ce qu’ils observent, en formulant des recommandations pour garantir la dignité et les droits humains.
Chaque année, près de 150 lieux sont visités et des centaines de témoignages reçus.
À la tête de cette institution, Dominique Simonnot, ancienne journaliste, occupe depuis 2020 la fonction de contrôleuse générale. Avec la série Les Enfermé·es, elle fait entendre les voix de celles et ceux qui vivent ou travaillent derrière les murs - et parfois, les murs eux-mêmes.
Une traversée sonore des prisons, des hôpitaux psychiatriques et des centres de rétention administrative, où chaque lieu, chaque silence, chaque mot interroge ce que l’enfermement dit de notre société.
All content for Les Enfermé·es is the property of Making Waves and is served directly from their servers
with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
Derrière chaque porte close, il y a des voix qu’on n’entend pas.
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) a été créé par la loi en 2007 pour les écouter - et pour veiller au respect des droits fondamentaux de toutes celles et ceux que la justice ou l’administration décident d’enfermer.
Ses contrôleurs peuvent entrer à tout moment, de jour comme de nuit, dans les prisons, les hôpitaux psychiatriques, les centres de rétention administrative, les locaux de garde à vue ou les centres éducatifs fermés. Ils franchissent chaque porte, rencontrent détenus, patients, retenus, personnels, et rendent compte publiquement de ce qu’ils observent, en formulant des recommandations pour garantir la dignité et les droits humains.
Chaque année, près de 150 lieux sont visités et des centaines de témoignages reçus.
À la tête de cette institution, Dominique Simonnot, ancienne journaliste, occupe depuis 2020 la fonction de contrôleuse générale. Avec la série Les Enfermé·es, elle fait entendre les voix de celles et ceux qui vivent ou travaillent derrière les murs - et parfois, les murs eux-mêmes.
Une traversée sonore des prisons, des hôpitaux psychiatriques et des centres de rétention administrative, où chaque lieu, chaque silence, chaque mot interroge ce que l’enfermement dit de notre société.
Les Enfermé·es, à écouter le 19 novembre sur toutes les plateformes.
Les Enfermé·es
Derrière chaque porte close, il y a des voix qu’on n’entend pas.
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) a été créé par la loi en 2007 pour les écouter - et pour veiller au respect des droits fondamentaux de toutes celles et ceux que la justice ou l’administration décident d’enfermer.
Ses contrôleurs peuvent entrer à tout moment, de jour comme de nuit, dans les prisons, les hôpitaux psychiatriques, les centres de rétention administrative, les locaux de garde à vue ou les centres éducatifs fermés. Ils franchissent chaque porte, rencontrent détenus, patients, retenus, personnels, et rendent compte publiquement de ce qu’ils observent, en formulant des recommandations pour garantir la dignité et les droits humains.
Chaque année, près de 150 lieux sont visités et des centaines de témoignages reçus.
À la tête de cette institution, Dominique Simonnot, ancienne journaliste, occupe depuis 2020 la fonction de contrôleuse générale. Avec la série Les Enfermé·es, elle fait entendre les voix de celles et ceux qui vivent ou travaillent derrière les murs - et parfois, les murs eux-mêmes.
Une traversée sonore des prisons, des hôpitaux psychiatriques et des centres de rétention administrative, où chaque lieu, chaque silence, chaque mot interroge ce que l’enfermement dit de notre société.