
En cette période particulière de pandémie, nombreux sont ceux qui s’émerveillent de voir “la nature reprendre ses droits”. Mais que représentent ces quelques semaines de confinement face à plusieurs siècles de pression humaine ? Notre perception de l’ampleur des dégâts que nous lui infligeons serait-elle biaisée ? Est-elle identique pour tous ? Pour quelles raisons ?