
La plupart des opérations de restauration ou de réhabilitation d’écosystèmes sont fondées sur des mesures imparfaites de la biodiversité. Difficile alors de laisser le “sauvage” s’exprimer. D’autant plus que celui-ci est contraint par des millénaires d’interactions Homme-nature, et par l’omniprésence de l’Homme dans le fonctionnement de la biosphère. Ré-ensauvager nos espaces naturels est-il alors possible dans ce contexte?