Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.
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Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.
Quand on arrive à Naplouse, on ne peut s’empêcher de penser un peu à la Corse. Une ville de montagne, des habitant·es fiers·ères, qui résistent, un terroir et une identité très forte. On rencontre Ihad un peu part hasard, le nez en l'air, occupés que nous sommes a admirer les milles subtilités de l'architecture de la ville et le vol des étourneaux. L'homme est très calme, posé, on pourrait le croire presque résigné si l'on ne prenait pas la peine de pousser un peu plus la conversation. On va passer beaucoup de temps avec lui, parler de sa ville, des deux intifadas et de la survie alimentaire dans une agglomération sous blocus militaire. Un peu plus tard, il nous présente Ziha une jeune chef palestinienne de 25 ans. Il était grand temps d'aborder la question de la place des femmes dans la société palestinienne, et dans la gastronomie bien sûr.
Voix off : Carl Gravier
Les casseroles palestiniennes
Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.