Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.
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Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.
Dernière étape de notre voyage, le camp de réfugié·es d'Aida, en périphérie de Bethléem. Le camp est littéralement bordé par le mur de séparation, immense, imposant. Ses tours de gardes israéliennes et les graf de scènes de batailles et de martyrs qui le jalonnent en font un objet architectural un peu surnaturel. Il est clairement un personnage central de la vie des habitants du camp. On croise Daniel, un anglais volontaire international d'origine palestinienne qui accepte de nous faire la visite des lieux. On finit la journée avec lui dans un petit salon de thé au fond d'une ruelle. En compagnie d'un petit groupe d'habitant·es du camps, on prépare un dessert traditionnel en musique, on rit, on palabre.
Les casseroles palestiniennes
Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.