Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.
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Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.
Après deux heures de trajet en bus, on arrive à Hébron. La ville la plus au sud de la Palestine. Changement brutal de décor et d'ambiance. La vieille ville qui date de l'époque Mamelouk est en partie occupée par les colons israéliens depuis une quarantaine d'années. Le centre historique est littéralement coupé en deux, et il y règne une atmosphère de ville assiégée. Snipers et militaires sur les toits, caméras omniprésentes, rues coupées par des murs de séparation, chek-points à tous les coins de rue. Ici se cristallise toutes les tensions des territoires. On se retrouve au petit matin du deuxième jour avec notre guide pour goûter les spécialités locales, cervelle de mouton bouillie en pièce-maîtresse, avant une brusque montée de tension en milieu de journée entre militaires israéliens et jeunesse hébronite.
Les casseroles palestiniennes
Les casseroles palestiniennes, c'est une fenêtre ouverte sur La Palestine, un regard posé par celles et ceux qui font vivre leur gastronomie, leur terroir. On avait envie de parler de ce coin du monde d'une façon un peu différente, en n'abordant pas le conflit de manière frontale. L'idée est très vite venue que l'un des communs universels, qui nous rassemble tous, c'était la bouffe. Et pourtant, même ce sujet là, on allait vite le découvrir, soulève bien des passions et des rancœurs dans un territoire ou rien, absolument rien n'est jamais simple. De Jérusalem à Hébron en passant par Bethleem, de Jerricho à Naplouse, et le long du mur de séparation à Aida Camp, on a rencontré un grand chef, un jardinier poète, des femmes qui font vivre leur gastronomie... On a arpenté les petites rues bordées d’échoppes d'une ville assiégée, goûté à la joie simple d'un moment pâtisserie avec le mur en toile de fond, et joui des milles saveurs de la vieille Jérusalem aux côtés d'un jeune chef. Tou-tes racontent leur passion pour les saveurs de leur pays, leurs vies, leur difficulté à exister, leurs envies de liberté, et bien sûr l'occupation de leur terre.