1514 quartiers en métropole et en Outre-mer, répartis dans 859 communes. Une population de 4,8 millions de personnes, dont 41 % des ménages ont un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté.
Cet empilement de chiffres caractérise techniquement ce que sont les quartiers dits « prioritaires » de France. Derrière, il y a surtout des femmes et des hommes qui font vivre au quotidien des initiatives positives, en termes d’éducation, de luttes contre l’exclusion, pour l’insertion sociale et la culture.
Raphäl Yem invite au micro ces personnes, qui raconteront leurs visions, leurs ambitions, leurs réalités.
Les belles histoires et les beaux projets. Pour leurs beaux quartiers. Les vrais.
Une émission soutenue par la Fondation BNP Paribas.
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1514 quartiers en métropole et en Outre-mer, répartis dans 859 communes. Une population de 4,8 millions de personnes, dont 41 % des ménages ont un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté.
Cet empilement de chiffres caractérise techniquement ce que sont les quartiers dits « prioritaires » de France. Derrière, il y a surtout des femmes et des hommes qui font vivre au quotidien des initiatives positives, en termes d’éducation, de luttes contre l’exclusion, pour l’insertion sociale et la culture.
Raphäl Yem invite au micro ces personnes, qui raconteront leurs visions, leurs ambitions, leurs réalités.
Les belles histoires et les beaux projets. Pour leurs beaux quartiers. Les vrais.
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Pour ce premier épisode, en cette journée nationale du refus de l’échec scolaire, Les Beaux Quartiers vont s’intéresser aux spécialistes de l’école, de l’éducation, de la formation.
Raphäl Yem reçoit d’une part Anina Ciuciu, marraine du collectif Ecole Pour Tous, qui vise à scolariser des jeunes éprouvant une difficulté à s’inscrire à l’école : ceux des bidonvilles, des squats, des hôtels sociaux, de la rue, issus des communautés du voyage, les mineurs isolés ou encore les jeunes majeurs. Elle est accompagnée de Abdelaali El Badaoui, qui préside Banlieue School, une asso qui aime à déconstruire, dans nos quartiers, les stéréotypes liés à l’éducation, comme l’auto-censure, l’auto-exclusion, l’intériorisation de stigmates, ou encore la paresse scolaire.
Ensemble, ils répondront à cette question : pourquoi les élèves de nos beaux quartiers réussissent mieux que les autres ?
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