
À la fin du chapitre 2 du Tanya, l’Admour Hazaken révèle une idée réconfortante et profonde : aucune âme juive n’est vraiment coupée de sa source divine. Même la plus simple des âmes reste rattachée, comme un membre au corps, à la tête spirituelle — les âmes des grands tsadikim. Cette connexion essentielle unit tout le peuple juif à Hachem, à travers une même origine et une même vitalité. Un message d’unité, d’humilité et de valeur inestimable de chaque âme.